Echos de turpitudes criminelles vaticanes: Meurtres au Saint-Siège, l’affaire Tornay-Estermann.

Vingt-trois ans après les meurtres  perpétrés, non loin des appartements du pape  Jean-Paul II, qui à l’époque  avaient fait grand bruit, la réalité de la culpabilité du jeune garde suisse  Cedric Tornay se retrouve de nouveau à l’ordre du jour suite aux contestations de sa famille.  En d’autres termes la question se pose de savoir si  Cedric Tornay, à l’instar d’un nouvel épisode d’un « Da Vinci code à la Dan Brown » n’aurait-il pas été suicidé (sic !) dans les murs du Vatican le 4 mai 1998 ? 

Selon L’Express  « ce pourrait être le titre d’un film: Meurtres en série au VaticanLe 4 mai 1998, trois personnes sont mortes. De mort violente, dans des circonstances troubles. A ce jour, toujours pas d’explications rationnelles ni convaincantes. Sherlock Holmes, à l’aide! Durant de longues années, cette énigme empoisonne la curie romaine. Crimes il y a eu, c’est une certitude. A l’arme à feu, c’en est une autre. Les victimes? Deux intimes du pape: son chef de la garde suisse, le colonel Aloïs Estermann, 44 ans, promu la veille à ce poste de confiance, et son épouse, Gladys. L’assassin? Le Vatican, lui, n’a aucun doute: le coupable n’est autre qu’un vice-caporal de la garde de 23 ans, Cédric Tornay. Le mobile? La vengeance. Seulement, voilà: impossible d’interroger le suspect. Et pour cause: il s’est suicidé juste après avoir accompli son forfait. » ( L’Express; 27juin 2002,Faits divers du monde: meurtres au Vatican ).

 
Le silence ecclésial  a prévalu depuis, la curie ayant jeté l’omerta sur les faits et l’enquête… Cependant il semblerait qu’en mai 2021  « Le Vatican s’ouvre sur l’affaire Estermann-Tornay  puisque Le Saint-Siège répond pour la première fois à la mère de Cédric Tornay, sous-officier accusé de l’assassinat en 1998 d’Aloïs Estermann, commandant de la Garde suisse. Elle conteste toujours la version officielle, selon laquelle son fils avait tué avant de se donner la mort. » ( https://www.letemps.ch/suisse/vatican-souvre-laffaire-estermanntornay . LeTemps; 5 mai 2021).

 

 

Pour tenter de comprendre, comment la justice de Dieu  n’est pas nécessairement celle des Hommes, les visiteurs pourront consulter, en cliquant ici, un article de  Frédéric Martel paru le 14 mai 2021 dans Golias news (https://www.golias-editions.fr/golias-news/) où sont soulignées, sans complaisance, certaines incohérences d’un dossier à charge pour la curie romaine .

 
Que Christian  Terras , rédacteur en chef de Golias news soit remercié de nous autoriser à reproduire et représenter ledit article sur ce site.