Retrouvé dans ses archives personnelles par François Trividic (promotion 55-59) et illustré par un crobar récent signé par André Le Goff(promotion 54-58) ce poème donna lieu à une traduction française de son auteur.
Il soulignait la difficulté de cette démarche en ces termes : « la translation dans une autre langue -ici le français- est un exercice doublement bénéfique pour l’auteur; il doit d’abord faire l’inventaire complet de ce qui est contenu dans l’original breton. Après quoi reste la tâche de faire passer dans la seconde langue le plus possible des éléments de la première, soit en serrant de près le texte, soit en prenant du recul par rapport à lui pour mieux l’embrasser.Il peut se faire qu’on n’y arrive pas… ». Dure leçon pour ses élèves bretonnants ou pas !
Quoi qu’il en soit les visiteurs intéressés pourront consulter en cliquant sur les liens la version originale dudit poème, sa traduction française et la version illustrée de la dernière strophe.
Que les deux protagonistes de cette reconstitution soient chaleureusement remerciés pour leur fructueuse collaboration!