Histoire des écoles normales du département de la Meuse
Notre ami Fernand Lambert ,ancien de l’école normale de garçons de Bar-le-Duc (promotion 1963-1967), nous a adressé copie d’un document dédié à cette histoire qu’il a retrouvé dans les archives de son Association. L’article correspondant, particulièrement documenté, fut écrit par Antoinette Robert professeure d’histoire-géo successivement à l’école normale de filles de Bar-le Duc puis à l’école normale mixte de cette même ville.
Les visiteurs intéressés pourront le consulter en cliquant ici .
Que notre frère d’arme, F.Lambert, soit remercié pour cette nouvelle contribution enrichissant notre patrimoine commun.
La Françafrique au prix du génocide Tutsi au Rwanda.
Après les tentatives de destruction des Arméniens et des Juifs d’Europe, le génocide des Tutsi en 1994 est le dernier des génocides du 20è siècle. Orchestré par le parti au pouvoir au Rwanda, le génocide a fait un million de victimes en l’espace de 3 mois. A l’instar des génocides précédents, celui des Tutsi a commencé par une phase de stigmatisation de la population, s’est poursuivi par la persécution qui allait déboucher sur la mise à mort. Pour autant, ce meurtre de masse caractérisé a ceci de particulier qu’il est le premier « génocide de proximité ». Bourreaux et victimes étaient en effets des voisins, comme sont aujourd’hui voisins les survivants Tutsi et les Hutu convaincus de crimes par les juridictions de proximité mise en place par le nouveau régime. Par son ampleur comme par les mécanismes mis en oeuvre, le génocide des Tutsi pose aux Etats, aux organisations internationales et aux citoyens des questions cruciales et toujours actuelles. ( D’après Le génocide des Tutsi au Rwanda – Mémorial de la Shoah …www.memorialdelashoah.org › genocides-xx-siecle › g.
Archives et documentation du Mémorial de la Shoah. Découvrez le génocide des Tutsi au Rwanda.
www.memorialdelashoah.org
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C’est en ce sens que les visiteurs de ce site pourront consulter en cliquant ici, un article récent paru dans Golias news portant un regard nouveau sur un génocide donnant lieu à polémiques notamment en France. Son histoire reste à écrire mais comme indiqué ici la triste implication de notre pays et de ses institutions y paraît désormais établie .
Que le rédacteur en chef de Golias news soit remercié de nous avoir autorisé à reproduire cet article.
Les échos de la succession difficile du cardinal Barbarin.
Les visiteurs de ce site, informés de différents épisodes de l’affaire Barbarin et de ses suites pourront consulter, en cliquant ici, un article de Christian Terras faisant état sur un ton humoristique de la prise de fonction de Mgr de Germay, nommé par le pape nouveau primat des Gaules le 22 octobre 2020.
Il y est fait allusion à une série de bande dessinée créée par R. Goscinny où le charmant vizir IZNOGOUD voulait « être calife à la place du calife » bien aimé de Bagdad ; Mgr Haroun el Poussah…
Que C. Terras qui nous a autorisé à reproduire sa nouvelle contribution sur ce site en soit chaleureusement remercié .
Combattre avec des caricatures ; surtout ne pas renoncer !
Dans son dernier article de la rubrique « Questions de confiance » dans Pour La Science (2020, 518, 22 ), Virginie Tournay nous fait part de sa réflexion, avec humour, sur les implications diverses des établissements publics d’enseignement et de la hiérarchie académique dans le combat à mener auprès notamment des professeurs en charge de l’enseignement moral et civique pour que la liberté d’expression puisse continuer de s’exprimer et ne fasse pas l’objet d’autocensure .
Le visiteurs intéressés pourront consulter, en cliquant ici, l’article de cette auteure. Elle nous a autorisé à le reproduire et à le mettre en ligne sur ce site . Nous l’en remercions vivement.
A propos des caricatures, il est rappelé Sandrine Maurot, pasteur de l’église protestante de Roubaix, a lancé un appel dès le 17 octobre 2020 à tous les croyants quelle que soit leur confession et à tous les non-croyants, à partager leurs caricatures :
« Amis musulmans, juifs, catholiques, orthodoxes, évangéliques, bouddhistes, agnostiques et athées, à vous de jouer. Je serai heureuse de découvrir vos caricatures ! »
Il s’agit donc de ne pas céder à la peur et de poursuivre l’enseignement de la laïcité et de la liberté d’expression en France en apportant un soutien sans faille aux professeurs dans leurs établissements.
LIEN :
Combattre avec des caricatures
Les sciences nous rendent-elles crédules ?
Telle est l’interrogation de Gilles Dowek sans sa chronique publiée dans Pour la Science,2020, 518, 20 ! Il nous a autorisé à la reproduire pour l’insérer sur ce site et nous l’en remercions .
Certains visiteurs- croyant sans doute être définitivement immunisés contre la crédulité pour être passés sur les bancs de l’école publique laïque censée leur montrer la Science, le chemin du Vrai, celui de la Raison- ne manqueront pas d’être indignés par ce propos. Ils pourront le consulter en cliquant ici ou en suivant le lien noté ci-dessous .
Ils pourront ainsi constater que « si la crédibilité consiste en la capacité à croire en une théorie (le plus souvent fumeuse) de préférence à une autre ou son opposée plutôt qu’à rien « (G.Hagenforf, 2020, halshs-02570360) rejeter une information demande plus d’efforts intellectuels que d’y croire .
Ils seront aussi conduits, faisant référence aux vertus de l’école laïque rappelées ci-dessus, à se demander « pourquoi les croyances n’ont-elles pas été éradiquées d’un monde où la science et la connaissance n’ont cessé de progresser » (G. Bronner; 2013, La démocratie des crédules) depuis plusieurs siècles .
La lecture de la chronique de Gilles Dowek leur permettra un retour à l’exemple de l’héliocentrisme de Copernic (1473-1543) défendu envers et contre tous et d’en tirer le meilleur parti pour discriminer entre penseur de talent- égaré de bonne foi- et génie . Elle ne manquera pas , de surcroît , de renvoyer à d’autres croyances préoccupantes des temps présents.
Lien :
Les sciences nous rendent-elles crédules ?https://www.pourlascience.fr › les-sciences-nous-renden..
La culture scientifique est un bon outil pour nous protéger contre le déferlement d’infox, de bobards et de fake news dont nous sommes les victimes. Les sciences nous apprennent, en effet, que chaque affirmation doit être justifiée par une démonstration, un calcul, une observation ou une expérience.
www.pourlascience.fr
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Comment « parler de Dieu quand Dieu n’intéresse plus personne » ?
Tel est le sens d’un article signé par Alain Durand publié dans Golias News du 4 décembre 2020 que les visiteurs pourront consulter en cliquant ici (Document 1)
Question fondatrice certes pour ceux qui ont vocation à y répondre et pour ceux qui, en toute liberté, ont fait le choix de s’y intéresser.
L’article fait mention de la « sécularisation » de la société française, terme qu’il ne faut pas confondre ni avec » laïcisation » ni avec « laïcité ». C’est pourquoi les visiteurs sont invités à consulter en cliquant ici (Document 2) un bref article de Hakim Arabdiou ayant trait à ces questions complexes et à leurs interactions.
Que le rédacteur en chef de Golias News soit remercié pour cette nouvelle contribution.
Document 1. Parler de Dieu quand Dieu n’intéresse plus personne.
Document 2. Laïcité et sécularisation.
Un mémorial emblématique, confidentiel et orphelin !
Suite à son fleurissement, lors de la célébration du 102 è anniversaire de l’Armistice de la Grande Guerre, le Monument aux Instituteurs du Finistère Morts pour la France édifié en 1924 et « reconfiguré » à la Libération a retenu l’attention de Pauline Le Morlec, journaliste au Télégramme.
Ceci a donné lieu à une publication sur le Web et à un article paru dans Le Télégramme du dimanche 29 novembre 2020.
Les visiteurs intéressés pourront consulter ce dernier en cliquant ici.
Que P. Le Morlec soit remerciée pour ses recherches et son propos lesquels contribueront à faire sortir ce monument de l’anonymat.
Avant d’enseigner la liberté d’expression ses moyens et ses limites et de la pratiquer à l’Ecole ; enseigner la liberté et enseigner l’expression. Mais surtout ne pas y renoncer !
Les visiteurs , convaincus que l’on peut mourir en France pour avoir enseigner la tolérance, pourront consulter à ce sujet, en cliquant ici, un article de Gwénaële Calvès publié dans Mezetulle ( Blog-revue de Catherine Kintzler), le 13 novembre 2020.
Il est rappelé que l’enseignement concerné se dispense dans des établissements scolaires fonctionnant au quotidien dans une société de l’information. L’apprentissage de la Liberté, la liberté d’opinion, la liberté de pensée, la liberté de conscience, la liberté de religion ou de non-religion, la liberté de la presse adossée à la loi du 29 juillet 1881 (elle stipule dans son article premier que l’imprimerie et la librairie sont libres) et la liberté d’informer sont aussi concernés.
Le droit à la liberté d’expression est un droit fondamental qui a sa place dans tous les textes internationaux relatifs aux droits humains . Indispensable à la construction d’une société juste et respectueuse de l’État de droit ; elle est essentielle à l’exercice de l’ensemble des droits humains.
Il ne s’agit pas pour autant d’un droit absolu. La liberté d’expression peut être soumise à certaines restrictions, pour des motifs précisés par le droit international. Ainsi, toute incitation à la discrimination, l’hostilité ou la violence ne peut être considérée comme l’exercice légitime du droit à la liberté d’expression et doit être interdite par la loi.
L’apprentissage et la pratique de la liberté d’expression impliquent la capacité à penser au moyen des mots d’une langue maîtrisée . Il faut aussi, selon Marc Vannesson, « mettre l’accent sur l’apprentissage des émotions, de la raison. À ce titre, les ateliers philosophiques constituent un bon moyen d’apprentissage » . Les défis à relever sont essentiels pour notre société .
Faut-il rappeler que l’essence de la liberté et de son exercice critique se mesurent – ainsi que le pointait Alexis de Tocqueville dès 1840 dans De la démocratie en Amérique-aux détails, « autant que le diable s’y cache ».
Déjà il mettait en garde contre l’oubli de cet aspect des choses en écrivant : » « Après avoir pris ainsi tour à tour dans ses puissantes mains chaque individu, et l’avoir pétri à sa guise, le souverain étend ses bras sur la société tout entière ; il en couvre la surface d’un réseau de petites règles compliquées, minutieuses et uniformes, à travers lesquelles les esprits les plus originaux et les âmes les plus vigoureuses ne sauraient se faire jour pour dépasser la foule ; il ne brise pas les volontés, mais il les amollit, les plie et les dirige ; il force rarement d’agir, mais il s’oppose sans cesse à ce qu’on agisse ; il ne détruit point, il empêche de naître ; il ne tyrannise point, il gêne, il comprime, il énerve, il éteint, il hébète, et il réduit enfin chaque nation à n’être plus qu’un troupeau d’animaux timides et industrieux, dont le gouvernement est le berger. »
Notons enfin ce propos de Simone Weil datant de 1949 : » la liberté d’expression totale, illimitée, pour toute opinion quelle qu’elle soit, sans aucune restriction ni réserve, est un besoin absolu pour l’intelligence ».
Puissent ces pensées suscitées par l’expérience contribuer à renforcer les motivations des professeurs et éducateurs en charge de cet enseignement.
M. TRUDEAU, donneur de leçons sur la laïcité et la liberté d’expression à la française.
» Justin Trudeau est le 23e premier ministre du Canada. Sa vision du Canada est celle d’un pays où chacun a une chance égale et réelle de réussir. Ses expériences d’enseignant, de père, de leader et de militant pour les jeunes sont à la base de son dévouement envers les Canadiens – et de son engagement à faire du Canada un endroit où chacun peut bénéficier des opportunités qui lui permettent de prospérer. Ces origines ont contribué à façonner sa passion pour le service public et sa conviction que la force du Canada est sa diversité » (D’après Wikipedia)
Il convient aussi d’observer que Justin Trudeau, a l’habitude de fréquenter des lieux de culte comme des mosquées et des temples sikhs, parfois enfilant un costume de la religion du lieu, évidemment dans un but clientéliste. Cette pratique hautement antilaïque est considérée par les tenants du multiculturalisme comme la preuve de sa bonté et de son ouverture à la sacro-sainte « diversité ».
« Le Canada est le pays des accommodements raisonnables (reasonable accommodations) pour corriger les effets discriminatoires indirects. Lesdits accommodements sont devenus des obligations s’agissant de la tolérance au sens de la non-éviction de l’altérité dans les pratiques sociales et de l’intégration de tous les citoyens aux institutions démocratiques en prenant en compte l’expression de leur diversité. C’est ainsi que le Canada apparaît comme sorte de terre promise pour tous les intégrismes sachant bien que la Constitution de ce pays démocratique est fondée sur des principes qui reconnaissent la suprématie de Dieu et la primauté du Droit . Au demeurant le Chef de l’Etat canadien est aussi Chef de l’Eglise anglicane. » (D’après Wikipedia)
Il n’est donc pas étonnant que M. Trudeau ne puisse supporter ni les principes de la liberté d’expression ni les pratiques auxquelles elle donne lieu au sein de la République française. De fait, il considère a priori que la critique des croyances religieuses ne peut être que blasphématoire.
Les visiteurs souhaitant découvrir quelques aspects de cette situation que d’aucuns souhaiteraient importer en France pourront consulter deux contributions à ce propos en cliquant successivement sur les documents joints notés en bleu :
Document 1. Ce que M. Trudeau ne tolère pas ! (article de Jean-Michel Muglioni)
Document 2. Laïcité à la canadienne ( extrait d’une communication de David Rand)
En Vendée : actes de « repentance ecclésiale » pour les victimes déclarées de violences sexuelles au sein de l’Eglise.
» La honte au coeur » tel est l’intitulé de l’article de J-P. Sautreau paru à ce propos dans Golias News du 12 novembre 2020 .
Que l’Editeur en chef de Golias News soit remercié de nous avoir autorisé à reproduire cette nouvelle contribution .