En 1885, suite à la perte de ses fonctions ministérielles éminentes, Jules Ferry retrouve son mandat de député vosgien pour se préoccuper de l’agriculture.

« Jules Ferry aspirait fondamentalement  à ce que tous les peuples s’élèvent au niveau du peuple français. Il ne considérait pas les sociétés humaines comme intrinsèquement inégales mais à des stades différents de développement. Il souhaitait  que les plus attardées rattrapent les autres et c’est ce qui l’amena à devenir le chef de file du courant « coloniste »  et à son oeuvre coloniale contestée . À la Chambre des députés, il n’y avait guère pour le  contredire  que les droites libérale, royaliste et nationaliste, lesquelles désapprouvaient le coût des entreprises coloniales et plaçaient au premier rang des priorités la revanche sur l’Allemagne. Il y avait  aussi George Clémenceau, le chef du parti radical , qui répliquait parfois  avec brio à ses discours »: (D’après Alban Dignat , Herodote.net, Le media de l’Histoire; 20 juin 2020″).
 
  Les lois scolaires et l’oeuvre législative de Jules Ferry– sous la 3è République- demeurent exemplaires. Son implication dans la « républicanisation » de l’agriculture est moins connue.
 
     Les visiteurs intéressés par cet aspect de l’oeuvre politique de Jules Ferry pourront consulter,  en cliquant icile reportage du journal quimpérois Le Finistère du 28 août 1886 sur son  discours de Senones (F-88210)   intitulé :
                               «  La République et l’Agriculture «