Picorer des glanes de Pour La Science (1)

URL:https://www.google.com/search?q=pour+la+science+juin+2021&rlz=1C1GCEA_enFR799FR799&oq=&aqs=chrome.0.35i39i362l4j46i39i362j35i39i362l3…8.3444946702j0j15&sourceid=chrome&ie=UTF-8

 

In Pour La Science  524 , juin 2021

 

 

1.  Homo sapiens informaticus

Le progrès technique favorise-t-il la paix ?

par

Gilles Dowek

 

En facilitant la communication, internet contribuerait parfois à augmenter la tolérance et la paix dans nos sociétés.

 

URL:https://www.pourlascience.fr/sr/homo-sapiens-informaticus/le-progres-technique-favorise-t-il-la-paix-21856.php

 

 

 
Vivre sur Terre ou sur Mars

par

Catherine Aubertin 
 
Pour assurer la survie de l’humanité, on voit se dessiner deux grands scénarios radicalement différents.

 

URL:https://www.pourlascience.fr/sr/disputes-environnementales/vivre-sur-terre-ou-sur-mars-21724.php

 

 

3.  Les sciences à la loupe

Que signifie « observer » en science ?

par

 Yves Gingras

 

Il est très rare que les scientifiques puissent observer directement un phénomène. Ils le font à travers 
des instruments et des théories.

 

 URL :https://www.pourlascience.fr/sr/les-sciences-a-la-loupe/que-signifie-observer-en-science-21726.php

Picorer des glanes de Pour La Science (2) In Pour La Science 525 , juillet 2021

URL : https://www.pourlascience.fr/sd/astronomie/pour-la-science-n0525-21891.php

  
1.  Disputes environnementales

 Repenser l’économie après la pandémie

Les plans de relance post-Covid négligent les aspects environnementaux : un déni de réalité et une occasion manquée.

par

Catherine Aubertin

 URL :https://www.pourlascience.fr/sr/disputes-environnementales/repenser-l-economie-apres-la-pandemie-21999.php

 

2.  Science et société
 
Comment mesurer la culture scientifique

Le savoir scientifique entre parfois en conflit avec des croyances bien ancrées. Il faut en tenir compte pour formuler correctement les questions des sondages

par

Yves Gingras

URL:https://www. pourlascience.fr/sd/science-societe/comment-mesurer-la-culture-scientifique-22001.php

 

Histoire des écoles normales du département de la Meuse

 Notre ami Fernand Lambert ,ancien de l’école normale de garçons de Bar-le-Duc (promotion 1963-1967), nous a adressé copie d’un document dédié à cette histoire  qu’il a retrouvé dans les archives de son Association. L’article correspondant, particulièrement documenté, fut  écrit par Antoinette Robert professeure  d’histoire-géo successivement  à l’école normale de filles de Bar-le Duc puis à l’école normale mixte de cette même ville. 
    Les visiteurs intéressés pourront le consulter en cliquant ici .  
 
   Que notre frère d’arme, F.Lambert, soit remercié pour cette nouvelle contribution enrichissant notre patrimoine commun. 

La Françafrique au prix du génocide Tutsi au Rwanda.

Après les tentatives de destruction des Arméniens et des Juifs d’Europe, le génocide des Tutsi en 1994 est le dernier des génocides du 20è siècle. Orchestré par le parti au pouvoir au Rwanda, le génocide a fait un million de victimes en l’espace de 3 mois. A l’instar des génocides précédents, celui des Tutsi a commencé par une phase de stigmatisation de la population, s’est poursuivi par la persécution qui allait déboucher sur la mise à mort. Pour autant, ce meurtre de masse caractérisé a ceci de particulier qu’il est le premier « génocide de proximité ». Bourreaux et victimes étaient en effets des voisins, comme sont aujourd’hui voisins les survivants Tutsi et les Hutu convaincus de crimes par les juridictions de proximité mise en place par le nouveau régime. Par son ampleur comme par les mécanismes mis en oeuvre, le génocide des Tutsi pose aux Etats, aux organisations internationales et aux citoyens des questions cruciales et toujours actuelles. ( D’après Le génocide des Tutsi au Rwanda – Mémorial de la Shoah …www.memorialdelashoah.org › genocides-xx-siecle › g.

)

    C’est en ce sens  que les visiteurs de ce site pourront consulter  en cliquant ici, un article récent paru dans Golias news  portant un regard nouveau sur un génocide donnant lieu à polémiques  notamment en France.  Son histoire reste à écrire mais comme indiqué  ici la triste   implication  de notre pays et de ses institutions y paraît désormais établie .
 
    Que le rédacteur en chef de Golias news soit remercié de nous avoir autorisé à reproduire cet article. 
 

Les échos de la succession difficile du cardinal Barbarin.

Les visiteurs de ce site, informés de différents épisodes de l’affaire Barbarin et de ses suites pourront consulter, en cliquant ici,  un article de Christian Terras  faisant état sur un ton humoristique de la prise de fonction de Mgr de Germay, nommé par le pape nouveau primat des Gaules le 22 octobre 2020. 
       Il y est fait allusion à une série de bande dessinée créée par  R. Goscinny  où  le charmant vizir   IZNOGOUD  voulait « être calife à la place du calife »  bien aimé de Bagdad ; Mgr Haroun el Poussah… 
       Que C. Terras  qui nous a autorisé à reproduire sa nouvelle contribution sur ce site en soit chaleureusement remercié . 

Combattre avec des caricatures ; surtout ne pas renoncer !

 Dans son dernier article de la rubrique « Questions de confiance » dans Pour La  Science (2020,  518, 22 ), Virginie Tournay  nous fait part de sa réflexion, avec humour,  sur les implications diverses  des établissements publics d’enseignement et  de la hiérarchie académique dans le combat à mener auprès notamment des professeurs en charge de l’enseignement moral et civique  pour que la liberté d’expression puisse continuer de s’exprimer et ne fasse pas l’objet d’autocensure .
        Le visiteurs intéressés pourront consulter, en cliquant ici, l’article de cette auteure. Elle nous a autorisé à le reproduire et à le mettre en ligne sur ce site . Nous l’en remercions vivement.
        A propos des caricatures, il est rappelé  Sandrine   Maurotpasteur de l’église protestante de Roubaix, a lancé un appel  dès le 17 octobre 2020 à tous les croyants  quelle que soit leur confession et à tous les non-croyants, à partager leurs  caricatures :
 
« Amis musulmans, juifs, catholiques, orthodoxes, évangéliques, bouddhistes, agnostiques et athées, à vous de jouer. Je serai heureuse de découvrir vos caricatures ! »
  
      Il s’agit donc de ne pas céder à la peur et de poursuivre l’enseignement de la laïcité et de la liberté d’expression en France en apportant un soutien sans faille aux professeurs dans leurs établissements.
 
 LIEN  :       
                                 
Combattre avec des caricatures


Les sciences nous rendent-elles crédules ?

Telle est l’interrogation de Gilles Dowek sans sa chronique  publiée dans Pour la Science,2020, 518, 20 ! Il nous a autorisé à la reproduire pour l’insérer sur ce site et nous l’en remercions .
 
     Certains  visiteurs- croyant sans doute être définitivement immunisés contre la crédulité pour être passés sur les bancs de l’école publique laïque censée leur montrer la Science, le  chemin du Vrai, celui de la Raison- ne manqueront pas d’être indignés par ce propos. Ils pourront le consulter en cliquant ici ou en suivant le lien noté ci-dessous . 
 
      Ils pourront ainsi constater que « si la crédibilité consiste en la capacité à croire en une théorie (le plus souvent fumeuse) de préférence à une autre ou son opposée plutôt qu’à rien « (G.Hagenforf, 2020, halshs-02570360) rejeter une information demande plus d’efforts intellectuels que d’y croire .

        Ils seront aussi conduits, faisant référence aux vertus de l’école laïque rappelées ci-dessus, à se demander « pourquoi les croyances n’ont-elles pas été éradiquées d’un monde où la science et la connaissance n’ont cessé de progresser  » (G. Bronner; 2013, La démocratie des crédules) depuis plusieurs siècles .  

     
      La lecture de la chronique de Gilles Dowek  leur permettra  un retour à l’exemple de  l’héliocentrisme de  Copernic (1473-1543) défendu envers et contre tous  et d’en tirer le meilleur parti  pour  discriminer entre penseur de talent- égaré de bonne foi- et génie .  Elle  ne manquera pas , de surcroît , de renvoyer à d’autres croyances préoccupantes des temps présents.  
 
        Lien  :   

Les sciences nous rendent-elles crédules ?https://www.pourlascience.fr › les-sciences-nous-renden..

Comment « parler de Dieu quand Dieu n’intéresse plus personne  » ?

Tel est le sens d’un article  signé par  Alain  Durand publié dans Golias News du 4 décembre 2020 que les visiteurs pourront consulter en cliquant ici (Document 1)
 
      Question fondatrice certes pour ceux qui ont vocation à y répondre et pour ceux qui, en toute liberté, ont fait le choix de s’y intéresser.
 
      L’article fait mention de  la « sécularisation » de la société française,  terme qu’il ne faut pas confondre ni  avec » laïcisation » ni avec « laïcité ». C’est pourquoi les visiteurs sont invités à consulter  en cliquant ici (Document 2) un bref article de Hakim Arabdiou ayant trait à ces questions complexes et à leurs interactions.
 
     Que le rédacteur en chef de Golias News soit remercié  pour cette nouvelle contribution.
 
                   Document 1.  Parler de Dieu quand Dieu n’intéresse plus personne.
 
                   Document 2.  Laïcité et sécularisation.

Un mémorial emblématique, confidentiel et orphelin !

Suite à son fleurissement, lors de la célébration du 102 è anniversaire de l’Armistice  de la Grande Guerre, le Monument aux Instituteurs du Finistère Morts pour la France édifié en 1924 et « reconfiguré » à la Libération  a retenu l’attention de Pauline Le Morlec,  journaliste au Télégramme
      Ceci a donné lieu à une publication  sur le Web et à un article paru dans Le Télégramme du dimanche 29 novembre 2020.
 
      Les visiteurs intéressés pourront  consulter ce dernier en cliquant ici. 
 
      Que  P. Le Morlec soit remerciée pour ses recherches et son propos  lesquels contribueront  à faire sortir ce monument de l’anonymat.

Avant d’enseigner la liberté d’expression ses moyens et ses limites et de la pratiquer à l’Ecole ; enseigner la liberté et enseigner l’expression. Mais surtout ne pas y renoncer !

Les visiteurs , convaincus que l’on peut mourir en France pour avoir enseigner la tolérance, pourront consulter à ce sujet, en cliquant ici, un article de Gwénaële Calvès publié dans Mezetulle ( Blog-revue de Catherine Kintzler), le 13  novembre 2020.
 
     Il est rappelé que l’enseignement concerné   se dispense dans des établissements scolaires   fonctionnant au quotidien dans une société de l’information. L’apprentissage de la Liberté, la liberté d’opinion, la liberté de pensée,  la liberté de conscience, la liberté de religion ou de non-religion, la liberté de la presse adossée  à la loi du 29 juillet  1881 (elle  stipule dans son article premier que l’imprimerie et la librairie sont libres) et la liberté d’informer sont  aussi concernés. 
 
     Le droit à la liberté d’expression est un droit fondamental qui a sa place dans tous les textes internationaux relatifs aux droits humains . Indispensable à la construction d’une société juste et respectueuse de l’État de droit ; elle est essentielle à l’exercice de l’ensemble des droits humains.
     Il ne s’agit  pas pour autant  d’un droit absolu. La liberté d’expression peut être soumise à certaines restrictions, pour des motifs précisés par le droit international. Ainsi, toute incitation à la discrimination, l’hostilité ou la violence ne peut être considérée comme l’exercice légitime du droit à la liberté d’expression et doit être interdite par la loi.
 
     L’apprentissage  et la pratique de la liberté d’expression  impliquent  la capacité à penser  au moyen  des mots  d’une langue maîtrisée  .  Il  faut aussi, selon Marc Vannesson, « mettre l’accent sur l’apprentissage des émotions, de la raison. À ce titre, les ateliers philosophiques constituent un bon moyen d’apprentissage » .  Les défis à relever sont essentiels pour notre société . 
 
     Faut-il  rappeler  que  l’essence de la liberté et de son exercice critique se mesurent – ainsi que le pointait Alexis de Tocqueville  dès 1840 dans De la démocratie en Amérique-aux détails, « autant que le diable s’y cache ». 
 
      Déjà il mettait en garde contre l’oubli de cet aspect  des choses en écrivant :  » « Après avoir pris ainsi tour à tour dans ses puissantes mains chaque individu, et l’avoir pétri à sa guise, le souverain étend ses bras sur la société tout entière ; il en couvre la surface d’un réseau de petites règles compliquées, minutieuses et uniformes, à travers lesquelles les esprits les plus originaux et les âmes les plus vigoureuses ne sauraient se faire jour pour dépasser la foule ; il ne brise pas les volontés, mais il les amollit, les plie et les dirige ; il force rarement d’agir, mais il s’oppose sans cesse à ce qu’on agisse ; il ne détruit point, il empêche de naître ; il ne tyrannise point, il gêne, il comprime, il énerve, il éteint, il hébète, et il réduit enfin chaque nation à n’être plus qu’un troupeau d’animaux timides et industrieux, dont le gouvernement est le berger. »
        
      Notons enfin  ce propos de Simone Weil  datant de 1949 : » la liberté d’expression totale, illimitée, pour toute opinion quelle qu’elle soit, sans aucune restriction ni réserve, est un besoin absolu pour l’intelligence ». 
 
     Puissent ces pensées suscitées par l’expérience  contribuer à renforcer les motivations des professeurs et éducateurs  en charge  de cet enseignement.