Qu’y avait-il donc dans les bagages des normaliens ?

Certes des menus  objets  nécessaires à leur vie quotidienne . Cependant  en fin de scolarité normale   devaient s’y entasser les éléments du  » bagage normalien » qui les accompagnaient jusqu’à leurs premier postes d’instituteur  à l’école publique.   Mais ce bagage a changé de nature et de signification au fil des décennies . 
 
          Pour mieux s’en rendre compte les visiteurs sont invités à consulter (entre autres):
 
           1. Ce qui pouvait tenir lieu de bagage en 1887, en lisant l’article de  A. Vessiot paru dans la Revue Pédagogique  :  » Le bagage de l’élève-maître à sa sortie de l’école normale  » en suivant le lien:                      
 
         https://education.persee.fr/doc/revpe_2021-4111_1887_num_10_1_2185
 
               2. Ce qui semble prévaloir par les temps présents, en prenant connaissance  de l’article de Lucie  Roger  paru en 2016 dans Phronesis :
 
           » Le maître cultivé; sa définition et des implications pour une modélisation » auquel on pourra accéder par le lien :
 
https://books.google.fr/books?id=U1bfDQAAQBAJ&pg=PT150&lpg=PT150&dq=Phronesis+le+ma%C3%AEtre+cultiv%C3%A9&source=bl&ots=kThSX0mgHY&sig=ACfU3U2C_a6lXkwlqUcoVYWUeAeIs-nuew&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwjE0e_JwZHuAhXEyYUKHUvuAJ8Q6AEwEHoECBMQAg#v=onepage&q=Phronesis%20le%20ma%C3%AEtre%20cultiv%C3%A9&f=false

          On y relèvera notamment  que « pour être des pédagogues cultivés, les enseignants doivent connaître au-delà des objets de la culture seconde contenu dans le programme ; être en mesure de rendre les savoirs intelligibles et signifiants pour les élèves ; avoir un regard critique sur ses propres origines, sur ses pratiques culturelles et sur son rôle social, etc. Il s’agit davantage d’une posture culturelle qui est attendue que d’une culture à transmettre ».