Le 8 mars, le monde entier célèbre la Journée internationale des Femmes.
Officialisée par les Nations unies en 1977, elle est également appelée par certains pays comme la France, Journée internationale des droits des Femmes.
Cette journée est issue de l’histoire des luttes féministes menées sur les continents européen et américain. Le 28 février 1909, une « Journée nationale de la femme» (National Woman’s Day) est célébrée aux USA à l’appel du Parti Socialiste d’Amérique.
À la suite d’une proposition de Clara ZETKIN en août 1910, l’Internationale socialiste des femmes célèbre le 19 mars 1911 la première « Journée internationale des femmes » et revendique le Droit de Vote des femmes , le droit au travail et la fin des discriminations au travail. Depuis, des rassemblements et manifestations ont lieu tous les ans.
C’est la Russie soviétique qui est le premier pays à l’officialiser en 1921 en en faisant un jour férié mais non chômé jusqu’en 1965. L’évènement restera principalement cantonné aux pays du bloc socialiste jusqu’à la fin des années soixante.
C’est en 1977 que les Nations unies officialisent la journée, invitant tous les pays de la planète à célébrer une journée en faveur des droits des femmes. La « Journée internationale des femmes » fait ainsi partie des 87 journées internationales reconnues ou introduites par l’ONU. (d‘après https://fr.wikipedia.org/wiki/Journ%C3%A9e_internationale_des_femmes
fr.wikipedia.org
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).
Il s’agit de militer et d’agir :
Pour la fin des inégalités par rapport aux hommes
Ce 8 mars 2023, rejoignez ONU Femmes et les Nations Unies pour célébrer la Journée internationale des Femmes placée cette année sous le thème :
Pour un monde digital inclusif
Innovation et technologies pour l’égalité des sexes.
« On s’accorde à dire que , 37% des femmes n’utilisent pas internet. Bien qu’elles constituent près de la moitié de la population mondiale, l’écart technologique est toujours en leur défaveur : par rapport à la population masculine, elles sont 259 millions à ne pas avoir accès à Internet.
Elles ne sont donc pas en mesure de développer les compétences numériques nécessaires et de s’engager dans des espaces numériques, ce qui diminue leurs possibilités de poursuivre des carrières dans les domaines des sciences, de la technologie, de l’ingénierie et des mathématiques … »
Les visiteurs de ce site pourront consulter en cliquant ici un document liminaire à cet égard… considérant qu’il ne s’agit pas de s’exonérer à bon compte de questions sans doute beaucoup plus terre à terre que celle mise en avant par l’ONU ce 8 mars 2023