Impliqué depuis bientôt 70 ans dans la défense de l’outil irremplaçable de formation des instituteurs publics constitué par les écoles normales primaires (dont on se débarrassa en 1989, ignorant ce par quoi il fallait les remplacer) et dans les infructueuses démarches en cours pour sauvegarder et valoriser le patrimoine éducatif correspondant, un ancien normalien adhérent à l’ASVPNF propose à la réflexion des visiteurs de ce site un texte illustré dont il est l’auteur.
Il est intitulé :
Supplique d’un enseignant pour la survie d’un monument.
Force est de constater que toutes les autres formes de recours, de médiation et de procédures démocratiques mises en oeuvre pour convaincre de l’utilité sociétale des revendications associatives formulées à ce propos n’ont généré, à ce jour, que des réponses évasives ou dilatoires de la part des pouvoirs publics et des collectivités territoriales concernés.
Pour quelqu’un qui connaît l’auteur, le titre par lui-même comporte déjà une dose d’humour car notre ami n’est pas un habitué des prétoires, ni des églises : sans doute est-ce la chanson de Brassens qui l’a inspiré…Le sérieux et l’émotion qui se dégagent du récit sont atténués par la légèreté de ce que Max appelle son crobar. Son travail n’apparaît donc, ni comme un pamphlet, ni comme une prière : c’est une simple demande de justice. Doit-on rappeler que « la mémoire est la sentinelle de l’esprit » ?
Les visiteurs de ce site pourront consulter le document correspondant en cliquant ici.
Que l’auteur, répondant au pseudonyme Max ar Gov, soit remercié pour sa contribution porteuse d’espoir pour la défense d’un patrimoine en cours de dispersion, d’oubli voire de déni.