13 novembre 2015 – 13 novembre 2025

Se garder de l’oubli ou de la banalisation :133 morts,413 blessés et les proches ou moins proches traumatisés à vie .
C’est à cette fin  et à l’instar de Mezetulle que asvpnf.com ,site dévolu à la laïcité, à la tolérance et à la liberté de conscience et d’expression que nous invitons nos visiteurs, amoureux inconditionnels  de la paix et des valeurs républicaines, à consulter le fichier joint en cliquant ici que nous avons emprunté à Mezetulle.
 
Que Catherine Kintzler soit remerciée de nous permettre la représentation du document mis en ligne sur Mezetulle sur ce site.

Célébration du 107è anniversaire

de

 l’Armistice  du 11 novembre 1918

 

Le 11 novembre est désormais la « Journée nationale de commémoration de la Victoire et de la Paix – Hommage à tous les « Morts pour la France ».

Il est rappelé que «  l’Armistice  signé  mit un terme au conflit meurtrier débuté quatre ans plus tôt, laissant toutes les familles de France en deuil. Les monuments aux morts apparurent dans toutes les communes de France avec la volonté de ne pas oublier. Imposées par les anciens combattants dès 1921, la date devint une journée de commémoration nationale et depuis la loi du 20 février 2012, elle  a évolué en journée nationale d’hommage à tous les morts pour la France, quel que soit le conflit ».

Pour notre part nous avons célébré le sacrifice de nos instituteurs aînés  en fleurissant le monument des Instituteurs et des Institutrices du Finistère morts pour la France. Le  dit monument est érigé dans la Cour d’honneur de l’ancienne Ecole normale de garçons de Quimper sise sur le site de Roz Avel (rue de Rosmadec)  de  cette bonne ville .

Les visiteurs pourront consulter sur ce site deux fichiers accessibles en cliquant sur :

Fichier 1.  Message illustré de l’ASVPNF (11 novembre 2025) 

Fichier 2Diaporama  « Le promeneur du dimanche au jardin des ardoises »

Que Mme Douguet soit chaleureusement remerciée d’avoir mis à notre disposition les clichés de sa collection personnelle pour les intégrer à ces deux présentations.

Le respect de la Laïcité au sein des tribunes de l’Assemblée nationale

On relevait récemment dans la presse bien informée que  « les élèves voilées dans les tribunes de l’Assemblée nationale avaient le droit de l’être ».

Née à l’extrême droite, la polémique a été relayée par la présidente de l’Assemblée, Yaël Braun-Pivet.

Selon  Jade Toussay dans  Huffpost du 6 octobre 2025 :

-Le règlement de l’Assemblée n’interdit pas explicitement le port de signes religieux pour les visiteurs, contrairement à ce que certains prétendent.
-La polémique sur les jeunes filles voilées est née d’un tweet du député RN Julien Odoul et a été relayée par Yaël Braun-Pivet.
– Marc Fesneau souligne que les règles du droit commun sont respectées et appelle à clarifier le règlement sur les tenues vestimentaires.

Cette polémique inattendue a donné lieu à un communiqué de la Vigie de la Laïcité que nous avons reproduit- avec l’accord explicite de cette association- afin de le représenter sur ce site.

Les visiteurs pourront le consulter en cliquant ici

Impôt plancher sur la fortune

(Taxe Zucman)

La définition doctrinale fait apparaître  trois éléments essentiels qui caractérisent l’impôt :

 -c’est un acte de puissance publique,

 -il opère un prélèvement sur la propriété, 

– il est perçu dans un but d’intérêt général.

Ceci étant posé, il paraît opportun, compte tenu des bavardages incessants et improductifs  à ce sujet dans les medias  de rappeler, à l’instar de l’actu.juridique (URL .

https://www.actu-juridique.fr/constitutionnel/solidarite-et-necessite-de-limpot/ )

 que  : 

« les notions de solidarité et de nécessité de l’impôt sont actuellement de plus en plus utilisées. Toutefois, que représentent-elles ? Quels champs celles-ci recouvrent-elles ?

Le terme de « solidarité » est communément usité actuellement. Il a obtenu1 le statut d’un fondement juridique. Toutefois que représente-t-il réellement ? Est-il simplement une perception qui nous emporte vers la sympathie ou l’entraide, ou, dans un autre sens, un principe concret, celui d’une certaine interdépendance entre tous les citoyens.

Il faut rappeler que l’impôt est l’un des éléments essentiels du pouvoir de l’État. Ainsi, les grands principes du droit fiscal trouvent leur fondement dans la constitution ou, selon le Conseil constitutionnel, dans le « bloc de constitutionnalité »2.

La déclaration des droits de l’Homme et du citoyen de 1789 contient en son sein deux articles fondamentaux relatifs aux relations entretenues entre les notions d’impôt et de citoyen. D’une part, l’article 13 précise que « pour l’entretien de la force publique et pour les dépenses d’administration, une contribution commune est indispensable », d’autre part, l’article 14 dispose quant à lui « la nécessité de la contribution publique ». Le Parlement est tenu de respecter ces règles dans l’exercice du pouvoir législatif.

Le juge constitutionnel attribue aux principes fiscaux, d’une part, la légitimité du contrôle fiscal, d’autre part, la répression de la fraude fiscale. Par conséquent, « il en résulte ainsi que ni la fraude ni le refus de l’impôt ne sauraient se justifier au nom de la liberté individuelle »3. Toutefois, selon P. Beltrame, « [pour] certains auteurs qui interprètent littéralement le texte de 1789, seuls les impôts finançant l’entretien de la force publique ou servant à la couverture des charges de l’administration seraient concernés par cette règle, de sorte qu’en l’absence de nécessité de l’impôt rendrait la fraude, conçue comme un moyen de résistance à l’oppression, légitime »4. Le juge constitutionnel a eu à plusieurs reprises l’occasion de réfuter une telle vision.

Le Conseil constitutionnel a ainsi indiqué que ni la fraude ni le refus de l’impôt ne sauraient être invoqués au nom de la liberté individuelle du citoyen. Néanmoins, comme les droits et les libertés individuelles ne peuvent être remis en cause par l’administration fiscale détentrice de pouvoirs exorbitants au droit commun, le législateur concilie la solidarité et la liberté.

Ainsi, l’impôt doit être strictement « nécessaire » pour le citoyen. Ce caractère nécessaire de l’impôt, en s’appuyant sur le principe d’égalité devant les charges publiques, sanctuarise l’exigence constitutionnelle de lutte contre la fraude fiscale tout en étant complété à partir de 1989 par celle de lutte contre l’évasion fiscale.

La déclaration des droits de l’Homme et du citoyen accentue le caractère nécessaire de l’impôt au travers des articles 13 et 14. En effet, d’une part, le texte indique « une contribution commune est indispensable » – article 13 –, d’autre part, il proclame « la nécessité de la contribution publique » – article 14. Ainsi, les auteurs de la déclaration ont souhaité insister sur le fait que l’État ne peut fonctionner sans impositions. Par conséquent, selon C. de la Mardière, « cette idée est devenue le principe de nécessité, qui signifie simplement que celui-ci [l’impôt] est indispensable à toute vie en collectivité »5….

 

….Par ailleurs, on l’a vu, la mise en œuvre du principe de nécessité légitime la répression de la fraude fiscale. Toutefois, même si la lutte contre celle-ci constitue un objectif de valeur constitutionnelle13, le législateur doit élaborer des dispositions ne risquant pas d’être en conflit avec le principe de la liberté individuelle. »

Cf. https://www.conseil-constitutionnel.fr/publications/titre-vii/le-principe-d-egalite-en-matiere-fiscale

 
On devine au travers de ces propos de juristes du Conseil constitutionnel la difficulté pour le citoyen ordinaire toute l’humilité et la volonté   nécessaires pour se soumettre  aux  dures réalités de l’impôt sans lesquelles  l’action publique devient impossible . Encore faut-il  que les dispositions législatives prises soient de nature à le convaincre du respect de l’égalité devant la loi de finance. On admettra sans barguigner que les discussions et palabres présentes aux  niveaux gouvernemental et parlementaire  ne sucitent ni la confiance ni encore moins l’enthousiasme .

 

C’est ce qui nous conduit à accueillir avec intérêt l’article  de Thierry Foucart mis en ligne le 21 octobre 2025 sur Mezetulle, le blog revue de Catherine Kintzler. Il s’intitule :

Impôt plancher  sur la fortune (Taxe Zucman)

Il est espéré que les visiteurs, parfois indignés par la teneur des débats parlementaires et journalistiques puissent y trouver matière à évaluer la réalité de leurs capacités contributives à l’impôt .

Selon Catherine Kintzler : « Au moment du débat budgétaire, Mezetulle reçoit cette analyse de Thierry Foucart sur l’impôt plancher sur la fortune (la « taxe Zucman »). Même si ce projet semble avoir pris un peu de plomb dans l’aile à l’ouverture du débat, il n’est pas impossible qu’il revienne sous d’autres formes. Et en tout état de cause, il est toujours bon, pour le citoyen et le contribuable, d’être éclairé sur la nature de l’impôt, ses modes de calcul, ses motifs et ses conséquences »

On retiendra ici, pour sacrifier à l’humour salutaire en la matière, deux aphorismes selon lesquels  « un impôt exagéré détruit la base sur laquelle il porte » (Jean Baptiste Say,  ,1767-1832) et  que c’est « en trayant sans cesse la vache à lait, que l’on tue la poule aux œufs d’or » (Henri Jeanson ,1900-1970).

L’article  orginal de Thierry Foucart est accessible en cliquant ici .
Que Catherine Kintzler soit très cordialement remerciée de nous permettre ce nouvel emprunt à Mezetulle.

Petite chronique d’après Ciase et Betharram (II)

Le droit d’inventaire associé à la libération de la parole, continue à produire des effets dévastateurs sur les institutions de l’Eglise catholique et à susciter l’espoir de réparations chez des victimes traumatisées à vie . La liste des faits et méfaits ne cesse de s’allonger inexorablement. Les visiteurs de ce site pourront consulter un ensemble d’items dévolus à la question regroupés dans trois  fichiers  que les visiteurs pourront consulter  tour à tour en cliquant ici .
Une fois de plus, ils révèlent l’étendue du champ de ruines et l’importance du chantier… si on a la volonté de reconstruire !

POURQUOI IL FAUT REGULER LES JEUX VIDEO

Protégeons la santé mentale de notre jeuness; à l’ ASVPNF on retient un tel mot d’ordre sans ambages  !
A l’instar de François Braizehttps://francoisbraize.wordpress.com/ ) on observera que lorsque  » l’idéologie libertaire vient au soutien des intérêts mercantiles  on se retrouve sur la mauvaise pente pour découvrir qu’il est nécessaire ,pour protéger notre jeunesse, de réguler les jeux vidéo violents. »
Dans un article paru à Télos  dont on pourra prendre connaissance en cliquant ici ,Nathalie Heinich prend parti à ce sujet et on la rejoint !
« Une des fabriques  des amputés de l’empathie, des assassins potentiels et avérés de tous ordres, doit être surveillée de près et régulée drastiquement »  
« Courage, il faut le faire sans faux semblants ni reculade face aux difficultés qui seront réelles  » 
« Mais, on a bien, et depuis longtemps, régulé les publications destinées à la jeunesse sans trembler. Alors faisons donc de même pour les jeux video  sans tarder ! « 
 Que Nathalie Heinich et François Braize soient remerciés pour leur soutien 

Turpitudes et contreturpitudes cléricales et ecclésiales

Une triste chronique sans fin

(suite du 30 09 2025)
 

Nous avions fait le pari d’alimenter cette chronique au moment où d’aucuns pouvaient espérer voir se tarir les sources cléricales qui l’alimentaient au gré non seulement  des rapports,  des travaux des commissions ad hoc , des recommandations de la hiérarchie ecclésiale mais aussi des appels à la raison  et tribunes  des porteurs de contre-turpitudes proclamées par  certains catholiques de progrès.

Il n’en a rien été ; on s’aperçoit chemin faisant que l’ordre du  jour demeure,le navire continuant de prendre l’eau et que  « tout est en place pour que ça continue ».

En pareil contexte nous nous proposons  de continuer à entretenir cette chronique aussi fidèlement que possible, il y va de notre volonté de faire émerger la vérité des  choses et des faits et d’exercer notre droit de savoir et de faire savoir !

Les visiteurs trouveront ci-dessous un fichier volumineux dévolu à ces questions. Il  comporte deux sections:

Première section : Le dossier de La Croix  intitulé « L’Eglise face à la pédophilie et aux abus sexuels »

Deuxième section :Les nouvelles de Golias  (une série de 20 articles ) 

Le dit fichier est accessible au moyen d’un simple clic gauche sur ; cliquez ici

 

Que  Christian Terras ,rédacteur en chef de Golias, soit remercié de nous avoir permis ces nouveaux emprunts.

Appel de Radio France

                                         pour la Liberté de savoir 
 
« Il y a précisément une semaine, Radio France lançait un grand appel pour la Liberté de Savoir, sous la forme d’une tribune ouverte à la signature de tout citoyen ou institution souhaitant apporter son soutien à cette initiative. 
En 7 jours, cet appel a rencontré une forte mobilisation des publics en réunissant déjà près de 10 000 signatures ! Ces 10 000 signatures rejoignent la centaine de premiers grands signataires associés dès son lancement : d’éminents représentants de grandes Institutions, des personnalités des mondes scientifiques et académiques, de grands créateurs de contenus reconnus pour leur travail de diffusion des savoirs sur les réseaux sociaux ainsi que les figures des antennes de Radio France engagées sur la transmission des savoirs.
Parmi les 10 000 signataires qui ont rejoint l’appel depuis jeudi dernier : 14 dirigeants de grandes écoles et universités, près de 50 directeurs de recherche de grandes institutions, près de 200 chercheurs et plus de 800 enseignants… »

 

Les visiteurs de ce site alertés récemment contre le droit à l’ignorance pourront consulter, en cliquant ici, le texte de l’appel pour la liberté de savoir.

Un combat sans faiblesse 

                                        contre le Droit à l’Ignorance
 
Faisant suite aux turbulences de l’été 2025 ayant accompagné le vote de la loi Duplomb relative, entre autres, à la réintroduction de l’acétamipride en France et  la présentation du rapport de la commission d’enquête sur les violences perpétrées dans les établissements scolaires (Affaire Betharram), l’ASVPNF a diffusé à ses adhérents  la Lettre d’Information n°8 dédiée à son combat contre le Droit à l’ignorance tant au niveau sociétal qu’au niveau scolaire.
 
Les visiteurs pourront en prendre connaissance en cliquant ici

Turpitudes et contreturpitudes eccésiales et cléricales

( Septembre 2025)
 
   Il importait, après une période estivale marquée  par  des effets délétères résultant tant du changement climatique  que de  l’instabilité  gouvernementale, de tenter de faire le point après les épisodes du vote de la Loi Duplomb et de la publication du rapport de la  « commission d’enquête parlementaire sur les violences dans les établissemets scolaires » (suite à l’affaire Betharram). A l’ASVPNF on est enclin à penser  que les turbulences politiques en cours,malgré leur gravité, ne sont pas de nature à  faire verser aux oubliettes ces deux évènements révélateurs de l’état de nos institutions et de notre société. 
C’est ce qui nous conduit à continuer à informer nos visiteurs des problèmes de société observés au travers du prisme de la laîcité

républicaine.Il s’agit désormais d’une « laïcité-combat » telle qu’elle semble s’imposer aux citoyens ordinaires et que nous avons commencé à documenter sur ce site, sous la pression des évènements.

Pour l’instant les visiteurs pourront consulter un fichier constitué de deux groupes d’items :
 
Les premiers résultent de la compilation d’une longue suite d’articles parus dans le quotidien La Croix réunis dans le dossier : »L’Eglise face à la pédophilie et aux abus sexuels ».
Les seconds sont des résumés d’articles prélevés dans les différentes rubriques  du site des éditions Golias  (Golias News).
 
 
Que Christian Terras, Rédacteur en chef de Golias, soit cordialement remercié de nous permettre ces nouveaux emprunts à Golias News.