Les voeux de l’ASVPNF pour 2023

Une bonne année 2023 pourrait, en toute hypothèse, réparer les dommages causés par les deux années « terribles » qui l’ont précédée tant pour la vie de  la  société et ses institutions que   pour celle de ses citoyens et de leurs corps intermédiaires  notamment les associations. Encore faudrait-il que les décideurs impliqués aux différents niveaux consentent à entendre les bruits sourds qui montent de nos cités et de nos campagnes…

Pour nous ASVPNF, il s’agit de ceux qui proviennent des souffrances endurées par notre Ecole publique laïque  qui, par le passé, institua la République.Ils correspondent aussi à celui  provenant des dysfonctionnements du « grand malade » du système à savoir le Collège. Ils résultent également des difficultés des élèves  telles que décrites dans le dernier magazine de l’INSERMM (n°55). Celui-ci   attirait l’attention de ses lecteurs sur les souffrances des élèves (de l’école primaire au lycée)  et la  lutte contre la phobie scolaire et  le refus scolaire anxieux. Selon Laelia Benoit, chercheuse à l’INSERM, la phobie scolaire correspond à la situation où « l’ élève, en l’absence de conduite antisociale, présente une vive détresse émotionnelle face à l’école, qu’il évite malgré les efforts raisonnables de ses parents pour l’y ramener » Cf. inserm.fr/actualite/phobie-scolaire-effet-de-mode-ou-realite-profonde.

C’est dans un tel  contexte  évoquant à différents égards celui d’un bateau à la dérive que l’ASVPNF (Association pour la Sauvegarde et la Valorisation du Patrimoine Normalien du Finistère) a offert ses vœux à ses adhérents ainsi qu’à différents interlocuteurs des collectivités territoriales et du monde académique.

Les visiteurs de ce site pourront consulter  tant le message correspondant que la carte de vœux qui l’accompagnait en cliquant successivement sur Document 1 et Document 2 .

 Document 1.  Message aux adhérents de l’ASVPNF.

Document 2. Carte de vœux 2023  de l’ASVPNF

Une adhérente  de l’Association, souhaitant garder l’anonymat, a conçu et réalisé ladite carte de voeux. Qu’elle soit chaleureusement remerciée pour sa contribution.  

Chronique des tribulations et turpitudes ecclésiales et cléricales de l’église catholique (Avent 2022)

Sous cet intitulé, les visiteurs de ce site pourront consulter , en cliquant ici un document à charge contre les pratiques inacceptables  de  cette institution et de ses prêtres , telles qu’on peut les appréhender en suivant  les publications récentes de media que l’on ne peut suspecter de partialité en la matière.  On parle sans ambages du naufrage  de l’Eglise ; les faits sont accablants.

Turpitudes cléricales autour du célibat sacerdotal

Selon Marcel Metzger (Lettre d’information de Golias Hebdo, 23 novembre 2022) : « Avant le temps du concile Vatican II, des curés, que leur formation au séminaire avait convaincus de la supériorité du célibat clérical, considéraient le mariage comme « un remède contre la concupiscence ». La formule résume un propos de saint Augustin : « Le sacrement de mariage, en donnant la grâce, réprime la concupiscence dans sa racine. » Dans la pastorale, on n’ose plus tenir de tels propos…»

On retiendra ici le propos introductif de l’article  : « Par les temps qui courent, la formule pourrait fort bien être appliquée au clergé de l’Église romaine, après les scandaleuses révélations d’abus sexuels commis par des prêtres, des évêques et même des cardinaux. D’innocentes victimes, en particulier des enfants, ont fait les frais de la concupiscence de ces clercs dévoyés. Tout cela aurait pu être évité si, dans l’Église romaine, on avait pris au sérieux cette maxime de Pascal : « Qui veut faire l’ange fait la bête » .

La question de bon sens que tous les citoyen ordinaires, croyants ou non, se posent :

« Fallait-il donc attendre l’épouvantable débandade actuelle pour se rendre enfin à l’évidence ? »

Les visiteurs de ce site pourront consulter, en cliquant ici, la majeure partie de l’article de Marcel Metzger. Ils y auront « également accès à l’URL : https://www.golias-editions.fr/2022/11/24/pour-un-concile-national/

Il s’intitule :

«  Pour un Concile national »

On rappellera à ce propos  que :

selon Wikipedia :« Un concile (du latin concilium, « assemblée »), ou synode (du grec ancien sun-odos « chemin commun » ), est une assemblée d’évêques de l’Église catholique (latine ou non) ou orthodoxe. Il manifeste une dimension essentielle de toute Église chrétienne : la synodalité ou organisation hiérarchique du corps en vertu de laquelle les prélats chargés du gouvernement de chaque portion de l’Église (évêques) sont susceptibles de se réunir pour prendre l’ensemble des décisions qui engagent la foi et la discipline de tous sous l’autorité d’un primat”. Cf. https://fr.wikipedia.org/wiki/Concile , pour plus de  détails.

Qui donc prendra-t-il l’initiative d’une telle démarche ?

  On ne le sait… aussi en attendant est-il nécessaire de se tenir informé de la question. On propose ici quelques lectures éclairantes permettant de se construire un point de vue au-delà des opinions .

Ainsi  l’hebdomadaire Marianne  fait état d’un article   intitulé :

Célibat des prêtres :

« C’est tout le système prohibitionniste sur la sexualité qu’il faut repenser »

Propos recueillis par Jean-Loup Adenor

 

 Selon cet auteur : « Alors que l’Eglise est secouée par les accusations d’agression sexuelle contre le cardinal Ricard, les évêques de Beauvais et de Soissons ont recensé 11 nouvelles victimes présumées de violences sexuelles dans leurs diocèses. Et comme à chaque fois que le sujet des abus sexuels commis dans l’église catholique revient dans le débat, la question sur la fin du célibat des prêtres ressurgit. »

Entretien avec Christine Pedotti,

fondatrice de la revue « Témoignage chrétien ».

 

“La fin d’une tradition quasi-millénaire ? La révélation d’un nouveau scandale d’agression sexuelle, concernant cette fois-ci le cardinal Ricard, accusé d’avoir eu une conduite « répréhensible avec une jeune fille de 14 ans », fait à nouveau tanguer l’Église catholique. Parmi les pistes envisagées par les catholiques pour assainir l’institution : mettre fin au célibat des prêtres. Une bonne idée, selon Christine Pedotti, directrice de la rédaction de la revue Témoignage chrétien. Car si elle ne réglerait pas tout, la fin du célibat des prêtres permettrait de réviser la doctrine catholique sur la sexualité, toujours perçue comme « malsaine », d’après elle. (Cf . https://www.marianne.net/societe/laicite-et-religions/celibat-des-pretres-cest-tout-le-systeme-prohibitionniste-sur-la-sexualite-quil-faut-repenser )

Les visiteurs pourront aussi (la  recherche est loin d’être épuisée)trouver des références importantes dans l’ouvrage de  Jean Mercier  paru en 2014 :

 

Célibat des prêtres – La discipline de l’Église doit-elle changer ?

– E-book – PDF

« Le célibat des prêtres est-il responsable de la pénurie des vocations qui frappe l’Église catholique ?L’ordination d’hommes mariés permettrait-elle de remédier à ce problème  Jean Mercier répond à ces deux questions qui font l’objet d’un débat souvent passionnel. Reprenant le sujet en amont, avec la volonté de se dégager des idées reçues, il a le souci de dessiner des pistes d’avenir réalistes, hors de toute polémique stérile.Au fil des pages, l’auteur fait le bilan des difficultés et des atouts du célibat sacerdotal, et des défis qu’il a suscités au sein de l’Église depuis deux mille ans. Il présente la synthèse des fondements théologiques et spirituels du célibat et aborde la question essentielle de l’équilibre psychologique et affectif du prêtre. On trouvera surtout ici la première étude de la faisabilité d l’ordination d’hommes mariés, établie en particulier à partir d’un audit totalement inédit de la vie des prêtres mariés (anciens prêtres anglicans ou pasteurs protestants) que compte l’Église catholique, notamment en Angleterre ». On notera que Jean Mercier est journaliste, rédacteur en chef adjoint à La Vie, en charge des questions religieuses et plus particulièrement de l’actualité. (Cf. https://www.decitre.fr/ebooks/celibat-des-pretres-la-discipline-de-l-eglise-doit-elle-changer-9782220066929_9782220066929_9.html)

Que Christian Terras, Rédacteur en chef de Golias, soit cordialement remercié de nous autoriser ce nouvel emprunt !

Chez les hiérarques mitrés de France Aller de Charybde en Scylla

Les visiteurs de ce site ont eu l’opportunité, au cours de ces derniers mois, d’y consulter un certain nombre de pages placées sous l’égide des turpitudes et vaticinations cléricales  ayant conduit notamment à des actes pédocriminels répréhensibles commis par les prêtres et prélats de l’Eglise catholique de France. Il importait que les citoyens de notre République laïque  soient tenus   informés de la  gravité des faits, de leur ampleur , des dommages et traumatismes  causés aux  victimes. Le traitement de ces  affaires tant par la justice des hommes de ce pays que par la justice divine venue d’ailleurs méritaient également quelque attention. La question relative  au « dédommagement » des victimes  et aux « réparations » à leur prodigue, à la charge de l’Eglise et de ses diocèses,  a  aussi été discutée dans quelques parutions.

  Mais au-delà de la période d’offuscation, de tristesse et de honte chez certains et de la scandalisation chez d’autres, il était  opportun pour tenter d’émerger de ces sombres turpitudes qui ne manquent pas d’affecter l’ensemble de notre société ,  de se rassurer au moyen d’un article  stigmatisant les méfaits d’un cléricalisme d’un autre temps  et orientant vers des horizons refondateurs en la matière.

C’est dans un tel contexte que l’on a pu assister à la parution chez Golias d’un article écrit par Pierre Vignon  intitulé :

 

« Pour les laïcs, l’heure sonne de sortir  leur Eglise du pastis »

Publié le  17 novembre  2022 dans la  Lettre d’information  de Golias Hebdo, il met en exergue le fait  que l’Eglise et ses hiérarques tombent sur Scylla en voulant éviter Charybde (Incidis in Scyllam  cupiens vitare Charybdim). Pour résumer son propos , Pierre Vignon écrit :

«A chaque fois, c’est encore pire ! Je savais depuis des mois, par des confidences reçues, qu’il y aurait une affaire Ricard, mais j’ignorais son contenu. C’est chose faite depuis le 7 novembre dans l’après-midi. Eric de Moulins-Beaufort, seul, prend la décision de convoquer une conférence de presse d’une vingtaine de minutes, en avance d’un jour sur le calendrier. Il emploie les deux tiers à établir les faits dans l’affaire Santier, avec l’espoir d’une justification, et révèle le communiqué du cardinal Ricard, cause de la subite conférence de presse. En prime, il donne, sans préciser les noms, le chiffre de onze évêques. On n’insistera pas sur la symbolique du chiffre 11 dans un tel contexte1, surtout qu’il est inversé. Ce n’est plus un pour douze mais douze pour un, comme aurait dit Alexandre Dumas un jour de rhume ! »

 Les visiteurs pourront le consulter en cliquant ici ou en se rendant à l’URL : https://www.golias-editions.fr/2022/11/17/pour-les-laics-lheure-sonne-de-sortir-leur-eglise-du-pastis/

 
 Mais le délitement de l’institution religieuse se poursuivant à un rythme soutenu et étant bien  entendu  « qu’il n’y a rien de caché qui ne doive être découvert » (parole d’évangile selon Matthieu (sic !)) il paraît opportun, pour compléter l’état des lieux ecclésial, de pointer  l’affaire  Jean-Pierre Grallet récemment rapportée dans les colonnes du Monde du  16 novembre 2022,  sous la plume de Sarah Belouezzane. Il est   intitulé :

 

L’archevêque émérite de Strasbourg reconnaît à son tour une agression sexuelle

L’auteure souligne que : « Alors que, le 8 novembre, le président de la Conférence des évêques de France, Eric de Moulins-Beaufort, avait lancé un appel aux évêques coupables de violences sexuelles à se faire connaître, Jean-Pierre Grallet a admis « des gestes déplacés envers une femme majeure », ledit J-P Grallet déclarant à sa décharge :« Je me suis égaré et j’ai blessé une personne. Le pardon que je lui ai demandé, je l’exprime aussi à tous ses proches, ainsi qu’à tous ceux qui, aujourd’hui, seront meurtris, sous le choc de cette révélation. »

URL :https://www.lemonde.fr/societe/article/2022/11/16/l-archeveque-emerite-de-strasbourg-reconnait-a-son-tour-une-agression-sexuelle_6150191_3224.html

On ne manqera pas de rappeler aux citoyens contribuables visiteurs de ce site, que  l’ancien archevêque en question exerçait son ministère, du fait de l’histoire particulière de son diocèse, dans un  environnement où les relations de l’Eglise et de l’Etat restent régies selon les princpes du Concordat de 1801. Il était de ce fait  grassement entretenu  par la République, bénéfiant  d’un salaire  mensuel  d’un montant net de l’ordre de 5000€. Ceci ne fait qu’amplifier le scandale causé par  son comportement délictueux rapporté par Le Monde.

Au total – et ce n’est sans doute pas le final-on apprend dans La Croix du 16 novembre 2022 que :

L’ex-archevêque de Strasbourg visé par une enquête pénale

pour des faits « de nature sexuelle »

« Mgr Jean‐Pierre Grallet, ancien archevêque de Strasbourg entre 2007 et 2017, a reconnu mercredi avoir eu « des gestes déplacés » envers « une jeune femme majeure » dans les années 1980, des faits pour lesquels une enquête pénale a été ouverte. »Cf. https://www.la-croix.com/L-archeveque-Strasbourg-vise-enquete-penale-faits-nature-sexuelle-2022-11-16-1301242417

 

Que Christian Terras, Rédacteur en chef de Golias , soit chaleureusement remercié de nous autoriser ce nouvel emprunt.

Turpitudes cléricales et épiscopales de l’après – réunion de la CEF à Lourdes (novembre 2022)

Selon René Poujol, dans un article du 11 novembre 2022 publié dans « Mon Eglise et moi»  intitulé :

« Les évêques et les affaires : après Santier et Ricard, le cardinal Poupard ? »…,  la CEF réunie en assemblée générale à Lourdes après  avoir eu à connaître les affaires cataclysmiques  des évêques Santier et Ricard, a découvert celle du cardinal Poupard, ancien ministre de la culture du pape Jean-Paul2 .
R. Poujol rapporte  qu’en cette bonne ville «  les évêques de France réunis pour leur Assemblée plénière d’automne ont eu à affronter les retombées de l’affaire Michel Santier, dont Eric de Moulins de Beaufort a présenté le 7 novembre à la presse une chronologie très précise. Ils ont également pris connaissance de la lettre par laquelle leur ancien président, le  Jean-Pierre Ricard, reconnaît des faits répréhensibles à l’égard d’une jeune mineure de 14 ans, à l’époque où il était curé à Marseille. Des aveux sans doute moins spontanés qu’on l’a dit dans un premier temps. La rumeur circulait depuis quelques semaines déjà. Comme celle, bien plus ancienne, qui concerne une autre personnalité de tout premier plan, le cardinal français Paul Poupard, qui devra bien finir par s’expliquer sur des accusations très précises portées contre lui que les dirigeants de la Cef connaissent tout autant ». L’article complet de R. Poujol est accessible à : http://www.renepoujol.fr/les-eveques-et-les-affaires-apres-santier-et-ricard-le-cardinal-poupard/#more-7413

 On rapporte par ailleurs, le 13 novembre 2020, sur le site du Comité de La Jupe (contact@comitedelajupe.org) :  ce samedi 19 novembre à 13h30 :

 

« Dans nos Eglises, l’omerta on n’en veut pas. Marchons contre les violences sexistes et sexuelles »

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 Chères amies, chers amis,

« L’actualité récente de l’Église catholique en France et les révélations en cascade d’abus spirituels, sexuels et sexistes par des clercs nous le rappelle tristement : le chemin est encore long vers une Église sûre pour tous et toutes, et fidèle au message de l’Évangile. L’embarras des évêques et l’absence de réaction forte de l’institution nous montre malheureusement que le clergé n’a toujours pas pris conscience de l’ampleur des violences sexistes et sexuelles dans l’Église et de la profondeur de la crise à laquelle il fait face.  Pour rompre la culture du silence, manifestons ensemble notre solidarité avec les victimes de ces violences, dans l’Église et la société civile … »

URL :https://mail.yahoo.com/d/folders/1/messages/AFG7bF4MZVPQY3EL2gHYqLsQMyc?.src=ym&.intl=fr

 Pour une information plus complète en la matière,  on pourra aussi  consulter 3 articles  parus  récemment dans Golias News :

1. Esclaves en Eglise : « Prier c’est bien, obéir c’est mieux… »

par Golias, 10 novembre 2022

 

 “Deux mouvements qui se réclament du Tout-Puissant, Œuvre de Dieu ou Don de Dieu, sont aujourd’hui sur la sellette, malgré la bienveillance, pour ne pas dire la complicité dont ils ont longtemps bénéficié et continuent à bénéficier de par le monde. Ils ont bien des points communs, et en particulier un talon d’Achille : des femmes laïques, sans droits, jusque-là maintenues sous une emprise qui semblait inaltérable, ont su unir leurs forces pour se faire entendre. Quand des prélats se tiennent prudemment en retrait, les tribunaux prennent la relève.”

URL : https://www.golias-editions.fr/2022/11/10/esclaves-en-eglise-prier-cest-bien-obeir-cest-mieux/:

 

2. Le coup de grâce ?

par Golias ,11 novembre 2022

 

« Par où commencer les sidérations de ces dix derniers jours ? L’affaire Santier avait accaparé dès le 3 novembre 2022, l’ordre du jour de l’assemblée plénière de Lourdes, et voilà que le 6 du mois, le Cardinal Jean Pierre RICARD confessait par courrier s’être «conduit de façon répréhensible avec une jeune fille de 14 ans » alors qu’il avait 38 ans. En réalité l’aveu de cet automne avait été précédé d’une réclamation de la victime. Selon l’interview de Soeur Véronique Margron, présidente de la Conférence des religieuses et religieux de France (Corref) au journal La Croixi : « En février 2022, la victime du cardinal Ricard apprend dans la presse que celui-ci est nommé pour gouverner temporairement les Foyers de charité, une communauté secouée en 2020 par des révélations d’abus commis par son cofondateur, le père Georges Finet. Indignée, elle prend contact avec moi et m’explique qu’il ne peut pas décemment exercer cette charge, puisqu’il l’a agressée lorsqu’elle avait elle-même 13 ans… J’ai immédiatement prévenu le président de la CEF. Ce dernier a tout de suite pris contact avec la victime d’abord, puis avec le cardinal Ricard, qui a renoncé à sa mission au sein des Foyers de charité. Tout cela n’a pris que dix jours»

URL : https://www.golias-editions.fr/2022/11/11/le-coup-de-grace/

 

3. Diocèse de Blois : une invitation qui passe mal

par Golias,  10 novembtre  2022

« Quelle mouche a piqué les évêques de la région Centre-Val de Loire ces derniers temps ? Après la « com » désastreuse de Vincent Jordy à Tours (cf. Golias Hebdo n° 742), c’est au tour de Jean-Pierre Batut (Blois) de faire des siennes. Une invitation aux célébrations du 11 novembre adressée par l’évêché de Blois a suscité de vives réactions. En cause, une phrase soulignant pour l’occasion le centenaire de l’intégration de l’Ukraine au sein de l’Union soviétique. Invitation qui passe mal à l’heure où l’Ukraine se défend contre l’envahisseur russe. Certes, Kiev a connu une brève période d’indépendance après la Première Guerre mondiale, avant de réintégrer le bloc soviétique de 1922 à 1991. Fallait-il pour autant mettre en exergue cette date en vue des célébrations du 11 novembre, alors même que le pays va entamer son neuvième mois de conflit avec son vieil ennemi-voisin ? La réponse est clairement « non » ! A contretemps, le diocèse a plaidé, face aux réactions, « une erreur de formulation ». Reste que l’on se demande encore comment une telle formulation a pu être validée(Alexandre Ballario ) »

 

URL : https://www.golias-editions.fr/2022/11/10/diocese-de-blois-une-invitation-qui-passe-mal/

 

On ne peut, en pareil contexte, s’étonner   de voir paraître dans La Croix  du 10 novembre  2022,   sous la plume de  Theo Moy,                         un article intitulé :

« Je me sens trahi » : les lecteurs de « La Croix » réagissent aux  révélations des évêques sur les abus.

« Les lecteurs de La Croix ont écrit à leur journl (l’équivalent de 40 pages de messages a été reçu en à peine plus d’une journée) pour s’exprimer sur les affaires Santier et Ricard, et la crise que traverse l’Église de France. Ils expriment une grande colère, souvent dirigée contre les évêques, ainsi qu’une exigence de changements profonds. Plusieurs posent la question de leur appartenance à l’Église… »

URL : https://www.la-croix.com/Debats/Je-sens-trahi-lecteurs-Croix-reagissent-revelations-eveques-2022-11-10-1201241553

 

Que Christian Terras , Rédacteur en chef de Golias soit remercié de nous autoriser la reprise de trois nouveaux articles.

Commémoration du 11 novembre. Au pied des stèles d’un monument orphelin.

Edifié en 1924  au centre de la Cour d’Honneur de l’ancienne Ecole Normale d’Instituteurs de Quimper, ces stèles portent gravée la litanie interminable des anciens élèves morts pour la patrie pendant la Grande Guerre .

Non inauguré et  resté  confidentiel jusqu’en 2022, il se trouve désormais orphelin dans un domaine interdit au public, déserté de longue date par ses élèves-maîtres instituteurs puis  plus récemment par les exploitants d’ établissements aux appellations  plus prestigieuses.

Il représente la composante mémorielle du patrimoine des normaliens du Finistère et aussi revenait-il  à l’ASVPNF de rendre hommage à ceux dont la jeunesse et la vie se terminèrent brutalement au cours d’un conflit qui ne leur laissa pas le temps d’enseigner qu’affirmer la paix est le plus noble des  combats. L’ASVPNF tenait à le rappeler  au moment  où de nouvelles guerres surgissent  à nos portes.

Les visiteurs de ce site pourront consulter les deux documents joints à cet envoi en cliquant successivement sur Document 1 et Document 2 .

Document 1.    Le message de l’ASVPNF pour la commémoration du  104è anniversaire de l’Armistice du 11 novembre 1918

Document 2.   Le reportage photographique  effectué au pied du Monument aux Instituteurs du Finistère Morts pour la France .

 L’ASVPNF a été autorisée à représenter des photos mises gracieusement à sa disposition par Mme Y. Douguet; elle l’en remercie vivement .

Pédocriminalité épiscopale La situation cataclysmique au 7 novembre 2022

Selon la  Dépêche.fr  du 7 novembre 2022 (URL : https://www.ladepeche.fr/2022/11/07/pedocriminalite-dans-leglise-lex-president-de-la-conference-des-eveques-reconnait-une-conduite-reprehensible-sur-une-mineure-de-14-ans-10787891.php)

« Pédocriminalité dans l’Église : l’ex-président de la Conférence des évêques reconnaît une conduite « répréhensible » sur une mineure de 14 ans »

 Le cardinal Jean-Pierre Ricard, archevêque (émérite) de 2001 à 2019, a reconnu une conduite « répréhensible » sur une mineure il y a 35 ans. Dix autres évêques ou « anciens évêques » sont également « mis en cause » devant la justice civile ou canonique. 

Onze évêques ou anciens évêques ont été « mis en cause » devant la justice civile ou la justice de l’Eglise pour des signalements, a annoncé ce lundi 7 novembre, Éric de Moulins-Beaufort lors d’un point presse de la Conférence des évêques à Lourdes (Hautes-Pyrénées). »

 Selon  ce prélat , «  il y a aujourd’hui six cas d’évêques qui ont été mis en cause devant la justice de notre pays ou devant la justice canonique (droit de l’Eglise, ndlr), a déclaré le président de la CEF. Deux autres, qui ne sont plus en fonction, font l’objet d’enquêtes aujourd’hui de la part de la justice de notre pays après des signalements faits par un évêque et d’une procédure canonique ; un troisième fait l’objet d’un signalement au procureur auquel aucune réponse n’a été donnée à ce jour et a reçu du Saint-Siège des mesures de restriction de son ministère , a-t-il encore souligné. Il a indiqué que le cardinal (Jean-Pierre) Ricard, ancien évêque de Bordeaux, était aussi concerné ».

Le compte n’est pas bon ! Le Tableau de la Cène (2022 (sic ! ndlr) reste incomplet… C’est sans doute le cas Michel Santier qui a échappé à cette triste énumération !

 Les visiteurs  pourront  consulter, en cliquant ici, le texte  complet de la Déclaration , en date du 7 novembre 2023 , du Président de la CEF. Il est également accessible  à l’URL : eglise.catholique.fr/conference-des-eveques-de-france/textes-et-declarations/531672-declaration-de-mgr-eric-de-moulins-beaufort-archeveque-de-reims-president-de-la-conference-des-eveques-de-france-le-7-novembre-2022/

Turpitudes cléricales et épiscopales à l’épreuve de la justice divine (suites de l’affaire Santier)

« Réuni à Lourdes et discrédité par l’affaire Santier, l’épiscopat catholique au bord du gouffre »

titrait Libération du 3 novembre 2022 sous la plume de   Bernadette Sauvaget. Cf. l’ URL : https://www.liberation.fr/societe/religions/reuni-a-lourdes-et-discredite-par-laffaire-santier-lepiscopat-catholique-au-bord-du-gouffre-20221103_5B3LG3TCKFA7ZIPG2ZNGQIR4OA/

Selon cette journaliste : »La Conférence des évêques de France se réunit à partir de ce jeudi dans un climat assombri par la légèreté avec laquelle l’Eglise a traité le scandale des «strip-confessions» avant qu’il ne soit rendu public. Le collectif Apné organise des manifestations dans toute la France pour faire entendre la voix des fidèles sous le choc. »

« Les calottes sont cuites » ; depuis que l’affaire Santier a éclaté – du nom de l’ancien évêque de Créteil (Val-de-Marne) et de Luçon (Vendée) qui a pratiqué des strip-confessions dans les années 90 – le jeu de mots court sur les réseaux sociaux. Si la forme est humoristique, le fond ne cache rien de la grave crise de confiance qui s’est creusée, ces trois dernières semaines, entre les évêques catholiques et leurs fidèles. Ces derniers reprochent à l’épiscopat son silence sur les pratiques déviantes de Michel Santier qui a écopé, en octobre 2021, de mesures disciplinaires du Vatican. L’affaire et les sanctions, elles, n’ont été révélées par la presse qu’un an plus tard. Comme chaque année, les évêques catholiques – à peu près une centaine – se retrouvent à Lourdes (Hautes-Pyrénées) du 3 au 8 novembre pour leur traditionnelle assemblée d’automne. L’an 2021 ressemble furieusement à 2022 car, au dernier moment, l’agenda des travaux a été percuté par l’actualité. L’année dernière, c’était celle du rapport Sauvé ; cette année, il s’agit de l’affaire Santier. Ce dernier scandale – qui met en cause l’un des leurs même s’il a pris sa retraite – contraint les évêques à plancher, à nouveau, sur la question des violences sexuelles au sein de l’institution. .. »

 

La Vie, l’hebdomadaire catholique,  titrait , dès  le 2 novembre 2022 :

Après l’affaire Santier, les évêques sous pression à Lourdes

Les évêques se réunissent à Lourdes du 3 au 8 novembre 2022, dans un climat de tensions liées aux révélations de l’affaire Santier, beaucoup attendent des réponses et des actes en termes de justice ecclésiale et de communication sur les sanctions.

Selon Caroline Celle , Youna Rivallain et Marie-Lucile Kubacki, la situation serait cataclysmique :  « c’est sans doute ce qui pouvait arriver de pire, un an après la Ciase et tout le travail que nous menons sur la question des abus… », souffle un évêque, à l’approche du 3 novembre, date à laquelle l’épiscopat doit se retrouver pour la traditionnelle assemblée plénière de Toussaint, à Lourdes. « C’est un peu comme un jour sans fin », commente un autre. En effet, après plusieurs assemblées consacrées aux abus, et l’annonce de résolutions fortes en novembre 2021, lorsque les évêques avaient mené une véritable démarche de repentance, se mettant à genoux devant la basilique de Lourdes, « l’affaire Santier » ne passe pas…”. Cf. l’URL: https://www.lavie.fr/christianisme/eglise/apres-laffaire-santier-les-eveques-sous-pression-a-lourdes-85073.php

Les visiteurs de ce site pourront consulter à ce propos ,en cliquant ici, la …

Lettre ouverte à Eric de Moulins-Beaufort

de

Christian Delahaye

Parue dans Golias News  du  3 novembre 2022, elle révèle  que : « Face au dégoût et à la révolte exprimés jusque dans les colonnes de la presse mainstream, l’affaire Santier a fini par faire réagir le président de la Conférence des évêques de France dans la « Lettre de l’Eglise catholique ». Sa missive ajoute plusieurs scandales aux scandales. Cette lettre ouverte y répond. Cf. l’URL : https://www.golias-editions.fr/2022/11/03/lettre-ouverte-a-eric-de-moulins-beaufort/

 

Que Christian Terras, Rédacteur en chef  à Golias, soit  cordialement remercié d’autoriser ce nouvel «  emprunt » ;

Atteintes à la laïcité à l’Ecole

“ L’Éducation nationale doit reconnaître

l’offensive islamiste à l’école

et y répondre fermement ! »

 

Tel est l’intitulé du communiqué commun de l’UFAL et de l’ Union laïque  à ce propos. Il est paru le 27 octobre 2022  sur le site de l’Union des FAmilles Laïques  à l’adresse : https://www.ufal.org/laicite/laicite-communiques-de-presse/leducation-nationale-doit-reconnaitre-loffensive-islamiste-a-lecole-et-y-repondre-fermement

 
 
 

 

Les visiteurs intéressés pourront le consulter en cliquant ici.

Les responsables de l’UFAL  nous ont autorisé à le reproduire pour le représenter ici. Qu’ils en  soient remerciés .

On en retiendra notamment  qu’il faut que «  la République laïque, par sa voix, fasse entendre la fermeté de ses principes. Les établissements et écoles ont besoin de consignes nationales claires. La faiblesse, la pusillanimité, la stratégie d’évitement n’ont jamais eu pour effet que de galvaniser les adversaires de la laïcité »
 

On notera par ailleurs et à l’instar du Monde du 13 octobre 2022 , sous la plume de  Sylvie Lecherbonnier que:

 

«   Les atteintes à la laïcité sont en hausse dans les établissements scolaires ».

 En clair : «L’augmentation, depuis le deuxième semestre, concerne principalement le port de signes et tenues religieuses, en particulier les abayas et les qamis. Le ministère de l’éducation nationale y voit un effet des incitations sur les réseaux sociaux. Sur le mois de septembre, 313 faits d’atteinte au principe de laïcité ont été recensés par les directeurs et les chefs d’établissement, dont la moitié dans six académies (Créteil, Toulouse, Nice, Versailles, Normandie, Paris). Quatre sur cinq sont le fait d’élèves et, fait nouveau, la moitié a eu lieu dans des lycées. Le collège concentrait les signalements jusqu’alors” . Cf. https://www.lemonde.fr/societe/article/2022/10/13/hausse-desatteintes-a-la-laicite-recensees-a-l-ecole_6145589_3224.html

La religion Woke , un nouvel obscurantisme à combattre !

 L’ouvrage de Jean-François Braunstein  intitulé (la religion woke) était ainsi présenté par Babélio  : « Une vague de folie et d’intolérance submerge le monde occidental. Venue des universités américaines, la religion woke, la religion des « éveillés », emporte tout sur son passage : universités, écoles et lycées, entreprises, médias et culture.Au nom de la lutte contre les discriminations, elle enseigne des vérités pour le moins inédites. La « théorie du genre » professe que sexe et corps n’existent pas et que seule compte la conscience. La « théorie critique de la race » affirme que tous les Blancs sont racistes mais qu’aucun « racisé » ne l’est. L’« épistémologie du point de vue » soutient que tout savoir est « situé » et qu’il n’y a pas de science objective, même pas les sciences dures. Le but des wokes : « déconstruire » tout l’héritage culturel et scientifique d’un Occident accusé d’être « systémiquement » sexiste, raciste et colonialiste. Ces croyances sont redoutables pour nos sociétés dirigées par des élites issues des universités et vivant dans un monde virtuel.L’enthousiasme qui anime les wokes évoque bien plus les « réveils » religieux protestants américains que la philosophie française des années 70. C’est la première fois dans l’histoire qu’une religion prend naissance dans les universités. Et bon nombre d’universitaires, séduits par l’absurdité de ces croyances, récusent raison et tolérance qui étaient au cœur de leur métier et des idéaux des Lumières. Tout est réuni pour que se mette en place une dictature au nom du « bien » et de la « justice sociale ». Il faudra du courage pour dire non à ce monde orwellien qui nous est promis.Comme dans La philosophie devenue folle, Braunstein s’appuie sur des textes, des thèses, des conférences, des essais, qu’il cite et explicite abondamment, afin de dénoncer cette religion nouvelle et destructrice pour la liberté. »

« Un essai choc et salutaire. »Cf. l’URL: https://www.babelio.com/livres/Braunstein-La-religion-woke/1448228

 Concernant ce même ouvrage Christian Rioux, dans un article paru dans Le  Devoir  du 5 octobre 2022, écrit  : « Le monde crève de trop de rationalité, de décisions prises par les ingénieurs. Je préfère des femmes qui jettent des sorts plutôt que des hommes qui construisent des EPR. »Cette profession de foi en faveur des sorcières plutôt que des ingénieurs qui construisent des réacteurs nucléaires n’a pas été lancée par un obscur hippie qui vit au fond des bois. Elle l’a été par la députée écologiste Sandrine Rousseau, une professeure d’économie et qui était, jusqu’à tout récemment, vice-présidente de l’Université de Lille. S’il fallait un exemple pour illustrer le dernier livre de Jean-François Braunstein, il n’y en aurait probablement pas de meilleurs ! Cf.Et si le wokisme était une religion?

Christian Rioux  souligne que : »Selon Braunstein, la pensée woke est fondée sur une critique du rationalisme, des Lumières et de l’humanisme. Sandrine Rousseau ne dit-elle pas que, pour elle, le problème commence avec le rationalisme de Descartes ? Elle reproche aussi à Buffon et à Linné d’avoir classé les plantes, et donc « hiérarchisé » la nature”.
On pointera ,à l’instar de cet auteur, qu’il faut y croire puisque c’est absurde, que ce serait  la religion des élites mais qu’en qu’en réalité elle a prospéré sur un terreau d’inculture voire d’ignorance
Selon  Braunstein, cette nouvelle forme de pensée religieuse profite de l’effondrement de l’école. Il écrit : «  Tout ça prolifère sur un terreau d’inculture énorme. Depuis quelques années, en France, on a supprimé presque toutes les épreuves de culture générale considérées comme discriminantes. Pour réduire Colbert au Code noir, il ne faut rien connaître de cet immense ministre. De même, pour réduire Voltaire au racisme, il ne faut pas l’avoir lu. »

 

 Au total  il apparaît  ainsi que :  » l’ouvrage  de Braunstein est détonnant et, chose rare en France,  il est parvenu à se mériter aussi bien les éloges du critique du Monde (gauche) que de celui du Figaro (droite).”

C’est dans un tel contexte d’obscurantisme recrudescent (cf. https://francoisbraize.wordpress.com/2022/10/24/vous-avez-dit-cancel/) que  les visiteurs  de ce site pourront consulter :

 1. L’article fondateur  de François Braize paru le 11 octobre 2022 qui ,déjà par son titre, renvoie à d’autres combats libérateurs* :

 

Woke en stock…

Il est introduit ainsi : « Mille millions de mille sabords ! Le woke comme un bégaiement de l’histoire pour les bachi-bouzouks. Ce billet bien saignant pour quelques considérations à propos du dernier livre (« La religion Woke ») de Jean-François Braunstein, philosophe. Très très intéressant, comme un réquisitoire lucide sur ce qui se passe quand beaucoup abdiquent ou se couchent devant l’offensive quand ils n’y contribuent pas… ».

 Il est accessible  en cliquant  sur Document 1 .

2.L’article  de Jean-Michel Muglioni paru le 23 octobre 2022 dans  la Lettre de Mezetulle. Il est intitulé  :

 

 À propos du livre de Jean-François Braunstein « La religion woke »

 

Selon Catherine Kintzler : « Jean-Michel Muglioni ne propose pas un compte rendu de lecture, mais il hasarde quelques réflexions que la lecture du livre de Jean-François Braunstein, La Religion woke (Grasset, 2022) a pu lui suggérer. Il demande qu’on n’y voie qu’une interrogation sur un monde qu’il ne comprend pas. »

 

On se limitera ici à énumérer les items de l’article  : croire l’incroyable, le rapport au réel, sommes nous tous des despotes, le refus du corps, la fausse parité, l’idéologie sociétale, ressentiment et nihilisme. Ils sont révélateurs de la réflexion suscitée chez  l’ancien professeur de   philosophie par la lecture de l’ouvrage de Jean-Francois Braunstein.

 L’article est accessible en cliquant  sur Document 2

 

Que Catherine Kintzler et François Braize  soient chaleureusement  remerciés de nous autoriser ces  emprunts. Nous sommes persuadés qu’ils contribueront  à démystifier le wokisme  et à éclairer le combat nécessaire à mener  par les citoyens  de progrès de France et d’ailleurs (faisant référence à la Science, à la Raison et au  Bon sens) contre cette nouvelle forme d’obscurantisme. Il s’agit de bien connaître le nouveau dogme et ses  grands prêtres pour mieux les combattre  sans  concession.

 

*Dans l’album Coke en stock (1958) de Hergé, le lecteur apprend que le trafic d’esclaves existe encore. Au terme d’un périple au large des Emirats arabes et à l’issue d’un impressionnant combat naval, Tintin parviendra à démanteler l’odieux commerce clandestin organisé par le sinistre RastatopoulosCoke est le nom de code donné aux esclaves africains.