SAUVEGARDER & VALORISER

Vers les lendemains de l’année terrible dans la presse finistérienne de 1871

Comment la République pouvait-elle ressortir des ravages et des suites  d’une Guerre perdue  contre les prussiens  et d’une Guerre civile  terminée dans le sang et la répression au terme de l’Insurrection de la Commune de Paris ? Telle était la vaste question qui s’imposait au peuple de France  en juin 1871 à l’épilogue de ce que Victor Hugo appela l’année terrible. Elle le fut !

 

 L’état des lieux de la situation a fait l’objet de nombreux travaux (Cf. en particulier, La grande Histoire de la Commune de Georges Soria , V, 8,  339-364, 1971 .Ed. Robert Laffont pour le Livre Club Diderot)

 

 Les visiteurs de ce site, déjà bien informés par les publications, expositions et manifestations organisées autour de la  Célébration du centcinquantenaire de la Commune de Paris , pourront procéder à une première remise en perspective de l’année terrible  par la lecture de la poésie n° XII de L’Année terrible de Victor Hugo (Document 1 )

  

A ceux qu’on foule aux pieds

 

Ils pourront également consulter,( Document 2) , des transcriptions d’articles de presse ancienne réalisées  à partir du trihebdomadaire  l’Electeur du Finistère (Juin1871)  et regroupées sous l’intitulé  : « Vers les lendemains de l’année terrible dans la presse finistérienne de 1871″ .

 Les 18 items sélectionnés  qui y sont regroupés  témoignent de la gravité et de la complexité de la situation. Ils sont listés ci-dessous : 

1. Brest 1er juin 1871: évidence de l’accord…………………………… 1

2. Les Républicains…………………………………………………………………8

3. Bulletin………………………………………………………………………………17

4. Nouvelles diverses…………………………………………………………… .24

5. Editorial de Léon Glandut, 6 juin 1871………………………………….32

6. Justice………………………………………………………………………………..37

7. La vraie fusion…………………………………………………………………….42

8. Le bulletin de Léon Glandut…………………………………………………47

9.L‘Etat civil à Paris………………………………………………………………..50

10.L’orthographe et le style des fonctionnaires de la Commune..51

11. Ce que nous a coûté la Commune……………………………………….55

12. Editorial du 10 juin 1871 par Léon Glandut………………………….56

13. Fusion monarchienne et fusion populaire……………………………61

14. Nouvelles diverses……………………………………………………………..67

15. Revue des Journaux…………………………………………………………..74

16. Une autre Lettre  de Victor Hugo………………………………………….80

17.L’arrestation de  Henri Rochefort………………………………………….82

18. Variétés : La litérature populaire sous le second empire……….85
 
 
 
                   Document 1.   A ceux qu’on foule aux pieds
 
                   Document 2.   Vers les lendemains de l’année terrible dans la presse finistérienne de 1871

 

Jean Vanier, ami des handicapés de la Communauté de l’Arche, était un abuseur sexuel.

Diverses tribulations de cet ordre, perpétrées en milieu ecclésial, ont déjà été  stigmatisées sur ce site considérant que pour faire reculer les cléricalismes il importe de bien les connaître . 

C’est ainsi que l’on pouvait apprendre dans la presse  que  »  dix mois après la mort du vénéré (Jean Vanier) fondateur de l’œuvre, qui accueille des milliers de déficients intellectuels dans 154 communautés réparties dans trente-sept pays, une enquête dévoilée le 22 février a établi que cet homme, décédé à l’âge de 90 ans en mai 2019, fils du gouverneur général du Canada et docteur en théologie de l’Institut catholique de Paris, avait abusé sexuellement, entre 1970 et 2005, d’au moins six femmes adultes, non handicapées, parfois dans le cadre d’un accompagnement spirituel » (Cf.l’article de  Marie-Béatrice Baudet et Cécile Chambraud paru dans Le Monde du  12 mars 2020 à l’URL Les noirs secrets de Jean Vanier, le fondateur de l’Arche : « Il a joué avec son corps et a fait mal à des femmes 

 
Cette information dont la gravité ne peut échapper à personne  fut relayée et complétée dans le quotidien La Croix que l’on ne peut, en l’occurrence, suspecter de partialité . Le lecteur pourra s’en convaincre en lisant l’article de Céline Hoyeau du 22 février 2O21 dédié plus particulièrement aux pratiques  érotico-mystiques des frères Philippe, pères spirituels de Jean Vanier à l’URL la-croix.com/Religion/Enquete-freres-Philippe-annees-dabus-toute-impunite-2021-02-22-1201141952.

 

On ne peut, à l’évidence, sortir indemne de la pratique pendant plusieurs décennies  de ce type de doctrine mystique délirante et déviante. Ceci vaut  tant sur le plan humain et victimaire que sur celui de la crédibilité des institutions concernées.

Les lecteurs pourront ,à ce propos, consulter en cliquant ici un article récent de Pierre Vignon paru le 16 septembre 2021 dans Golias news .

 Intitulé fort judicieusement par l’auteur  :

 

                           » L’Arche entre ombres et lumières »  
les lecteurs pourront aussi y avoir accès en allant à l’URL : https://www.goliaseditions.fr/2021/09/16/larche-entre-ombres-et-lumieres/
 
Que Christian Terras, rédacteur en chef aux Editions Golias soit remercié de nous autoriser à le reproduire sur ce site .

Petite chronique des lendemains de l’insurrection révolutionnaire de la Commune de Paris (1871) dans la presse finistérienne .

Six mois  après la répression sanglante de l’Insurrection par les Versaillais aux ordres de Thiers, la France et la République se remettent en marche dans la confusion . On arbore parfois des idées nouvelles non sans états d’âme et références nostalgiques au passé. Il s’agit de revenir à Paris pour gouverner tout en continuant de juger et de déporter les Communards survivants.
 
 Les visiteurs pourront consulter en en cliquant ici  les items listés ci-dessous  correspondant à la  transcription d’articles de la presse ancienne de l’époque :

 

1. Brest, 9 novembre 1871 : Guerre à l’ ignorance !

2.  La Curée de M. Emile Zola

3. Le Ministre de l’Instruction publique et la nomination des Instituteurs

4. L’Instruction primaire à l’ordre du jour: Rien d’important !

5. Dépêches parisiennes  du 11 novembre 1871

6. Instituteur et machiniste

7. Les fausses  nouvelles (fake news) du 2 décembre 1871

8. Les  étrennes de 1871 : l’impôt sur le revenu !

9. Dépêches parisiennes de fin d’année 1871

De 1904 à 2021… en passant par le projet de loi d’Emile Combes

et par

la loi  « confortant le respect des principes de la République « 

 

Jean Baubérot, “grand penseur de la laïcité”, nous livre ses observations sur le projet de loi d’ Emile Combes de 1904, alors que l’on se rapprochait du vote de la Loi de Séparation de 1905. Elles interviennent en 2021 au moment où l’on s’achemine vers la promulgation de la loi « confortant le respect des principes de la République ». « Délit de séparatisme, encadrement de l’instruction en famille, contrat d’engagement républicain pour les associations, lutte contre la haine en ligne, meilleure transparence des cultes …Voici quelques unes des mesures phares du projet de loi qui a pour objectif de lutter contre le séparatisme et les atteintes à la citoyenneté » (https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/15/textes/l15b3649_projet-loi)

« La Vigie de la laïcité » (vous) a donné, dans sa dernière newsletter(Accueil | www.vigie-laicite.fr), de substantiels éléments d’analyse sur l’état actuel du projet de loi concernant le « séparatisme » et ledit « renforcement des principes républicains ». 

“Ce projet de loi a été rapproché, dans divers médias, du projet de loi sur la séparation des Eglises et de l’Etat qu’Emile Combes avait déposé à l’automne 1904. Il n’est donc pas inutile de donner des informations sur le contenu de ce dernier texte. Au lecteur d’effectuer une comparaison entre ces deux projets, qui se situent, certes, dans des contextes très différents, mais dont l’état d’esprit peut paraitre analogue, du moins sur certains points. »  

Cette comparaison  sera grandement facilitée par la lecture préalable de l’article publié sur le site de Vigie de la Laïcité par  Jean Baubérot. Ledit  article s’intitule  :

Un précédent : le projet de loi d’Emile Combes 
sur la 
séparation des Eglises et de l’Etat (oct.-nov. 1904)

 Les visiteurs de ce site  pourront  le consulter  à l’URL suivante : 

https://7084e331-f642-4e01-99d5-7f9a8c018c76.filesusr.com/ugd/8cdd55_622aeb7937024517be542fd9ed88c39b.pdf 

Ils y auront également accès  en cliquant ici .
 
Nous remercions vivement les dirigeants de l’Association  « Vigie de la Laïcité » de nous avoir autorisé à reproduire et à représenter  cet article particulièrement documenté .
On rappellera que, selon Anne Chemin (Le Monde), « Jean Baubérot est un  grand penseur de la laïcité. Marqué par son engagement politique, cet historien a étudié le protestantisme avant de renouveler le cadre conceptuel de la laïcité. En rejetant toujours la parole dominante. »(Jean Baubérot, grand penseur de la laïcité)

Après le cent-cinquantenaire de la Commune de PARIS retrouver et (re)lire « Les Massacres de Paris » de Jean Cassou.

e roman historique antifasciste fut écrit  en 1935 par celui qui devint un poète de la Résistance à l’occupation allemande. Jean Cassou:   « né le 9 juillet 1897 à Deusto, près de Bilbao (Espagne), mort le 18 janvier 1986 à Paris ; écrivain, critique d’art ; résistant ; conservateur en chef du Musée national d’art moderne (1946-1965) ; professeur à l’école pratique des hautes études ; rédacteur en chef d’Europe (1936-1939, 1946-1949) ; résistant de la Haute-Garonne, commissaire de la République pour la région de Toulouse (1944), président du comité national des écrivains (1946-1947)… voir sa biographie complète à l’URL :  

https://maitron.fr/spip.php?article18913, notice CASSOU Jean, Raphaël, Léopold par Nicole Racine, version mise en ligne le 25 octobre 2008, dernière modification le 7 février 2021              

 Cet  ouvrage a fait l’objet d’une réédition en 2021 : « Les éditions Gallimard rééditent Les massacres de Paris de Jean Cassou, roman sur la guerre de 1870 et la Commune de 1871 paru pour la première fois en 1935, à la veille du Front populaire. Né de l’impérieuse nécessité de réhabiliter, après le 6 février 1934, le souvenir de la Commune, ce roman historique s’inscrit dans la stratégie plus globale de défense de la culture, mot d’ordre de l’antifascisme. Il remporta le prix de la Renaissance en 1936, l’un des prix littéraires les plus importants des années 1930. Non sans inquiéter le critique du Temps, André Thérive, qui y voyait un « apologue luciférien », rien de moins  !”(URL  : https://www.en-attendant-nadeau.fr/2021/04/28/revolutions-manquees-cassou/)

 Dans son Blog « ma commune de paris.com » Michèle Audin nous fait part de son indignation suscitée par la découverte, dans une  bibliographie critique de la Commune,  que  ce Livre serait      » un exemple des difficultés de la transposition en roman de la réalité historique ». En réalité il lui apparaît  que « feuilleton et roman historique « révolutionnaire », Les Massacres de Paris sont un beau roman « sur » la Commune, oui, un beau roman de son temps, et aussi un beau roman pour notre temps — contre les nationalismes, contre la guerre, est-ce bien dépassé?”

Les visiteurs intéressés pourront consulter en cliquant ici l’article original de Michèle Audin à ce propos.Il est également accessible à :l’URL : https://macommunedeparis.com/2021/07/14/les-massacres-de-paris-de-jean-cassou-un-roman-antifasciste/

 Que Michèle Audin soit chaleureusement remerciée ne nous avoir autorisé à reproduire et représenter l’article paru dans son Blog.

A la découverte de l’Ecole du Diable à Plouhinec (F-29780)

par

 

Jeanne Le Borgneépouse Albert Trividic

 

 

Sur ce site se trouvent déjà insérés  plusieurs extraits des mémoires de Jeanne Le Borgne , ancienne  élève-maîtresse à l’Ecole Normale d’Institutrices de Quimper de 1929 à 1932 (Promotion…). Pourvue de son CFEN, elle fut nommée stagiaire à l’Ecole des Filles de Plouhinec (Finistère), à compter du 1er octobre 1932. C’est dans ce bourg  du Cap Sizun qu’elle effectua la plus grande partie de sa carrière d’Institutrice publique .  Comme dans  tant d’autres communes  du Finistère : »l’église y régentait  tout et  l’école publique sans Dieu, républicaine, gratuite, obligatoire et laïque  était encore l’école du diable « .

Jeanne Le Borgne rapporte  ici dans ses mémoires, écrits alors qu’elle avait fait valoir ses droits à la retraite, les éléments d’une sorte de chronique villageoise  livrant son  témoignage direct sur divers  aspects inédits de la guerre scolaire à Plouhinec . Elle continuait de sévir à l’époque  malgré la laïcisation, les lois scolaires de la 3è République et la Loi de Séparation de 1905. Alimentée par les exactions incessantes du clergé catholique et de ses institutions toutes puissantes  et   menée sous la houlette  d’un maire hostile voulant se débarrasser du fardeau que constituait  pour sa collectivité l’école publique républicaine, cette guerre n’empêcha pas le développement d’une vie personnelle bien remplie.

Au total il s’agissait, à l’évidence, d’une besogne  de femme  pionnière pour laquelle elle ne fut guère préparée à l’école normale.

Les visiteurs de ce site pourront consulter en cliquant ici la transcription complète  du récit  de la vie professionnelle et personnelle de Jeanne Le Borgne

Une adhérente de notre Association qui  souhaite garder l’anonymat, nous a autorisé à numériser la photocopie  de l’oeuvre originale de Jeanne Le Borgne de façon  à la représenter sur ce site. Qu’elle en soit chaleureusement remerciée.

On ne manquera pas de préciser  que le diable découvert par les Plouhinécois de l’époque,  à l’école de la République, se présentait  sous les traits du diable des croyances (judéo-)chrétiennes et de la tradition populaire et représentait l’esprit et le principe du mal. En réalité, et selon le CNRTL, “ cet être  surnaturel rusé, personnification du mal, s’opposant à Dieu, auquel la tradition populaire prête un aspect repoussant (corps noir et velu, muni d’une queue, avec des cornes sur la tête, des pieds fourchus), pouvait  se donner parfois une apparence avenante ou séduisante pour entraîner plus sûrement les hommes au mal, au péché”…

Celui de l’Ecole publique de garçons de Plouhinec… était manifestement cornu !  

Après le cent cinquantenaire de la Commune de Paris : « Le mot communard, camarades ! »

 « Un communard (ou communeux) ou communaliste est une personne ayant participé aux événements de la Commune de Paris en 1871  ou par extension à une des autres communes insurrectionnelles de France lors de la guerre civile qui les opposaient au  gouvernement de Versailles. La plupart exercent des professions libérales, sont petits commerçants, ouvriers, employés ou artistes (en tant que tels représentés au  Conseil de la Commune), et ont pour points communs d’être républicains partisans de la démocratie directe et opposés à la capitulation lors de la guerre franco-prussienne de 1870-1871. Les profils politiques précis des communards sont variés mais une part importante se rattache au socialisme(tendances historiques de l’époque), à l’anarchisme ou à d’autre mouvements se revendiquant de l’autogestion. » D’après   Wikipédia 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Communard

 

 Mais qu’en est-il donc des Communardes ?

 

  Les visiteurs pourront se documenter sur cette question  de vocabulaire, attachée le plus souvent à la désignation  sur un  mode populaire voire péjoratif d’un citoyen se réclamant du communisme,  en consultant le fichier joint en cliquant ici. Ils  s’apercevront, entre autres, et à la suite de son auteure  Michèle Audin, que le mot « communeux » est utilisé par la presse parisienne dès le 12 octobre 1870, grâce au Figaro, qui nous explique que  Jules Richard appelle les partisans de la commune de Paris les communeux, pour les distinguer des communistes…

L’article original se trouve accessible sur le  Blog de Michèle Audin ([https://macommunedeparis.com%29%0D/]https://macommunedeparis.com)

 plus précisément à l’URL :https://macommunedeparis.com/2021/07/02/le-mot-communard-camarades/

Que Michèle Audin soit cordialement remerciée de nous avoir autorisé à reproduire cet article de façon à le représenter sur ce site

A propos du projet de loi « confortant le respect des principes de la République » Complément 3

Le projet de loi « confortant le respect des principes de la République »  discuté en nouvelle lecture à lAssemblée nationale a donné lieu  à une première insertion, sur ce site en reprise de l’analyse portée  par l’Association   La Vigie de la Laïcité sur ledit  projet de loi.

 

En complément , cette Association, avait ouvert un dossier intitulé « Spécial loi confortant le respect des principes de la République’ » comportant trois premiers articles des chercheurs de « La Vigie« . Ceux-ci  proposent leurs analyses personnelles sur ce débat à partir de leurs disciplines de recherche respectives.  
 
Ces  » documents étant publiés en  « libre accès » nous les avons reproduits afin de les rendre accessibles à nos visiteurs, particulièrement attachés à cette problématique et à son évolution.
 
Le troisième est intitulé :
 
 

Les interactions de la laïcité et des différentes modalités du « croire musulman» français

par 

 

Dounia Bouzar

 
On pourra le consulter en cliquant ici.
 

Que l’Association  lloi de 1901 « La vigie de la Laïcité » soit remerciée de nous avoir autorisé à effectuer pareil emprunt dans sa Newsletter n°2  du 2 juillet 2021.

A propos du projet de loi « confortant le respect des principes de la République » Complément 2

Le projet de loi « confortant le respect des principes de la République »  discuté en nouvelle lecture à lAssemblée nationale a donné lieu  à une première insertion, sur ce site en reprise de l’analyse portée  par l’Association   La Vigie de la Laïcité sur ledit  projet de loi.

 

En complément , cette Association, avait ouvert un dossier intitulé « Spécial loi confortant le respect des principes de la République’ » comportant trois premiers articles des chercheurs de « La Vigie« . Ceux-ci  proposent leurs analyses personnelles sur ce débat à partir de leurs disciplines de recherche respectives.  
 
Ces  » documents étant publiés en  « libre accès » nous les avons reproduits afin de les rendre accessibles à nos visiteurs, particulièrement attachés à cette problématique et à son évolution.
 
Le second est intitulé :
 
 
       

Le tournant sécuritaire de la laïcité française

par

 

Philippe Portier

  

On pourra le consulter en cliquant ici.

Que l’Association « La vigie de la Laïcité » soit remerciée de nous avoir autorisé à effectuer pareil emprunt.

A propos du projet de loi « confortant le respect des principes de la République » Complément 1

Le projet de loi « confortant le respect des principes de la République »  discuté en nouvelle lecture à lAssemblée nationale a donné lieu  à une première insertion, sur ce site en reprise de l’analyse portée  par l’Association   La Vigie de la Laïcité sur ledit  projet de loi.

 

En complément , cette Association, avait ouvert un dossier intitulé « Spécial loi confortant le respect des principes de la République’ » comportant trois premiers articles des chercheurs de « La Vigie« . Ceux-ci  proposent leurs analyses personnelles sur ce débat à partir de leurs disciplines de recherche respectives.  
 
Ces  » documents étant publiés en  « libre accès » nous les avons reproduits afin de les rendre accessibles à nos visiteurs, particulièrement attachés à cette problématique et à son évolution.
 
Le premier est intitulé :
 
 
             

Le projet de loi confortant les principes républicains: vers une guerre culturelle à la française?

 

par

 
Stéphanie Hennette Vauchez
 
 
 
 On pourra le consulter en cliquant ici.

 

  Que l’Association « La vigie de la Laïcité » soit remerciée de nous avoir autorisé à effectuer pareil emprunt.

                      

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