SAUVEGARDER & VALORISER

 » Pour une République Laïque et Sociale « 

Une mise en perspective de l’ouvrage de Charles Coutel
 
    par 
                                               
 Philippe  Foussier
 
 


Cet ouvrage de C.Coutel fit déjà l’objet d’une insertion sur ce site  (voir à ce propos :

 

http://asvpnf.com/index.php/2020/02/13/reinstituer-lecole-publique-laique-pour-reinstituer-lelitisme-republicain/ )

 

        Il est rappelé, à l’instar de Mezetulle le Blog-revue de Catherine Kintzler, que : « dans son dernier livre, Pour une République laïque et sociale (Paris, L’Harmattan,2021), Charles Coutel proposait de ressourcer la cause républicaine à l’aune des grands penseurs des Lumières. C’est en puisant dans ces héritages que les républicains humanistes pourront tracer des perspectives à la hauteur des défis considérables qui nous assaillent ».

      Dans cette « entrée » de Philippe Foussier publiée le  26 mars 2021 dans le Blog mentionné, les visiteurs pourront consulter  l’appel de ce contributeur à la reconquête de la culture humaniste, une démarche à mener pour faire face à la gravité des évènements  et  de façon à  préserver, remettre en lumière  et  promouvoir  la laïcité républicaine .  Ils y accèderont via l’URL  :

 

https://www.mezetulle.fr/pour-une-republique-laique-et-sociale-de-charles-coutel-lu-par-p-foussier/

 

        Que Catherine Kintzler  soit remerciée de nous avoir autorisé à proposer cette nouvelle  insertion. 

Le centenaire oublié : celui de la répression de l’insurrection libertaire des marins de Kronstadt par Lénine et Trotsky en 1921 !

La mémoire de cet évènement fondateur de l’histoire contemporaine, au moment de l’instauration du régime soviétique, a été largement occultée  au fil des ans.  Ceci témoigne  d’une volonté politique  affirmée au plus haut niveau et  permettant par le déni  et l’oubli de  justifier, a posteriori,  la  répression féroce qui mit fin à la révolte des insurgés.

 

         Le massacre programmé de plus  2000 insurgés par l’Armée rouge le 17 mars 1921 et la déportation de 5000 autres en  Sibérie, via la  Crimée, renvoie à la répression  des communards par les versaillais lors de la semaine sanglante de mai 1871(cinquante ans avant!). Force est de constater que, dans les deux cas et malgré des contextes politiques différents,  des  pratiques barbares identiques furent mises en oeuvre pour éradiquer les dissidences.

 

     Il faut aussi reconnaître que le traitement  de l’histoire tragique  de ces deux insurrections populaires par les pouvoirs politiques en place  illustre  bien le fait  que « le silence est finalement la plus grande persécution « .  Cette insertion  souhaite contribuer à rompre ce silence et à faire émerger l’exemplarité de la démarche  des insurgés émancipateurs.  

 

        Les visiteurs  intrigués (ou non) par ce rapprochement qui ne semble pas pouvoir échapper  à l’exercice  d’une  probité intellectuelle ordinaire pourront consulter, en suivant les liens suivants, quelques éléments relatifs  aux insurgés de Cronstadt ou  Kronstadt  (près de Petrograd , Saint- Pétersbourg, Russie):

 

 1. https://www.marianne.net/culture/marianne-vous-remet-a-niveau/mars-1921-lenine-et-trotski-ecrasent-les-insurges-libertaires-de-cronstadt

 

  2.https://www.herodote.net/28_fevrier_1921-evenement-19210228.php

 

  3.https://www.en-attendant-nadeau.fr/2021/03/01/revolte-cronstadt/

 
 

 4.L’INSURRECTION DE CRONSTADT, MOMENT CHARNIÈRE DE LA RÉVOLUTION RUSSE (René Berthier) – Le Blog du groupe Proudhon de la Fédération anarchiste (Besançon)

La presse locale et la Commune de Paris (mars-mai,1871)

Petite chronique de la guerre civile entre armée communaliste et armée républicaine
 
 


     Les éléments rapportés dans cet article  n’ont pas pour objet de tenter de rendre compte de l’ensemble des évènements insurrectionnels (et de leur répression) qui eurent cours du 18 mars au 28 mai 1871. Les cinq tomes de la Grande Histoire de la Commune  de Georges Soria  y suffisent à peine !… 

 

    Ils ont vocation à en  illustrer quelques points particuliers au moyen d’articles et de  brèves d’un journal finistérien de l’époque ayant “couvert” l’évènement  (avec ses choix politiques et philosophiques), journal accessible sous une forme numérisée aux Archives départementales du Finistère.

 

     Les récits proposés au lecteur, ciblés au début  (25 mars 1871), à la  mi-parcours (25 avril 1871) et à la fin (30 mai 1871) de l’insurrection  ne  permettent  qu’une représentation très partielle  de cette période fondatrice de notre histoire. Celle-ci, il faut en convenir est trop largement occultée du débat et des ouvrages. Il serait tentant d’élucider les raisons de cette situation et d’en évaluer les conséquences.

 

    Il est entendu  que la Commune de Paris, malgré son contexte particulier et la violence des faits concernés, reste une des clés de notre histoire contemporaine.  Ainsi elle apparaît comme la digue à l’élan monarchiste, la source d’options nouvelles pour la République, la porte ouverte au marxisme et au radicalisme, le fondement de l’enthousiasme de 1914 et des barricades de 1944,  la source d’enseignements  pour Lénine et Trotsky, et pour d’autres révolutions  modernes (cf.Georges Duveau,1961;  Histoire du Peuple Français de 1848 à nos jours,  Livre deuxième, I, 5,319-321). On a déjà souligné ici la contribution  des expériences de la Commune aux fondements  de notre école publique républicaine.  Nous y reviendrons prochainement.

 

     Les visiteurs pourront consulter en cliquant ici un ensemble de documents transcrits de la presse ancienne finistérienne de l’époque  sélectionnés pour aider à reconstituer quelques aspects de  l’histoire de la vie des Parisiens pendant cette période sombre et mal connue de notre pays.

Le procès en conscientisation et intimidation à l’Université : Tous bons pour la rééducation ? Alerte !…

« Université et recherche : procès en « conscientisation » et intimidation

Suite du programme de rééducation »

  

          Tel est l’intitulé de l’ article de Catherine Kintzler paru dans son Blog-revue Mezetulle le   28 février 2021. « Il  fait suite à celui où, en juin 2020, elle analysait comment une activité académique ayant pignon sur rue, au motif légitime de faire obstacle à d’éventuelles discriminations, s’engage dans une entreprise d’ordre moral reposant sur l’auto-accusation identitaire. 
 
       Le recours à un programme expiatoire de culpabilisation comparable dans ses procédés à celui d’une inquisition ou, plus proche de nous, à celui d’une « rééducation » est désormais banal. Non seulement des objets d’étude et d’intérêt deviennent suspects par eux-mêmes, mais encore et surtout, des personnes sont soupçonnées d’être par nature et de manière inconsciente des opérateurs de discrimination et de domination du fait de leur origine, de leur couleur de peau, de leur « ancrage ». Et mieux vaut ne pas se défendre : toute argumentation est d’avance disqualifiée comme un symptôme de crispation versé au dossier de l’instruction à charge. »

 

         Les visiteurs pourront le consulter cet article  en suivant le lien :

 

https://www.mezetulle.fr/universite-et-recherche-proces-en-conscientisation-et-intimidation/

 

         S’agissant de  « conscientisation » (acte intellectuel de la prise de conscience) et pour simplifier on notera que cet anglicisme aux  origines discutées par les spécialistes,  pourrait recouvrir une « méthode pédagogique par laquelle l’éducateur prend comme support de son enseignement la réalité matérielle et sociale environnant le sujet, de façon à l’impliquer et à le motiver au mieux possible pour son apprentissage. Ladite méthode a été notamment pratiquée, dans le cadre de l’alphabétisation, par Paulo Freire (pédagogue brésilien de  l’alphabétisation pour les opprimés ; 1927-1997).

 

       Que Catherine Kintzler soit cordialement remerciée de nous avoir autorisé à reproduire l’article en question.

Les Communes de Paris ; épisodes emblématiques de notre Histoire et de notre Histoire révolutionnaire.

La célébration du  150è anniversaire du début de l’Insurrection de la Commune de 1871 a déjà donné lieu à plusieurs parutions sur ce site. Elle fournit l’opportunité d’en souligner non seulement le rôle fondateur mais aussi le caractère répétitif. Ce dernier  pourrait résulter de la désignation d’évènements d’origines différentes par un   même et seul mot; celui de  « Commune » .  

         Désignant   dans de nombreux pays,  la circonscription administrative de base il s’agit bien, pour ce qui nous concerne, de la collectivité territoriale décentralisée dotée de la personnalité morale à la base  de l’organisation administrative française. Reste-t-elle  celle où « le peuple citoyen  agit pour lui-même et par lui-même »? 

 

         Les lecteurs intéressés par cette histoire en marche pourront consulter,  en cliquant sur les items suivants  repérés en bleu :

 

        Document 1 :    Un article de l’Electeur du Finistère sur la signification donnée à  la Commune  alors que sa phase insurrectionnelle est engagée.

   
        Document 2 :  La « première Commune” de la révolution française  (1789 -1795); quelques repères.

 

       Document 3 :    Un article de Philosophie Magazine intitulé les « Philosophes et la Commune ».

 

        Document 4 :   Une coupure de presse récente  témoignant de la prégnance singulière et de la portée universelle  des démarches « communardes' » .  
 

Modernité des combats émancipateurs de Nathalie Le Mel, Communarde déportée en Nouvelle Calédonie.

« Malgré la pandémie, le cent cinquantième anniversaire de la Commune ne manquera pas d’initiatives qui montreront une fois de plus que, loin d’être morte, la Commune reste une source merveilleuse d’inspiration et de confiance pour toutes celles et tous ceux qui se réclament encore des valeurs de la  République démocratique et sociale ».  Les visiteurs pourront s’en convaincre en suivant les liens suivants :

       https://www.commune1871.org/la-commune-de-paris/histoire-de-la-commune/commune-1871-ephemeride/1166-commune-1871-ephemeride-17-mars-les-canons-de-la-commune

          https://www.commune1871.org/nos-actualites/actualites/1140-150eme-anniversaire-de-la-commune-un-elan-populaire-pour-monter-au-mur

         Nous revenons ici sur  des éléments relatifs à l’histoire singulière de  Nathalie Le Mel – « pétroleuse » finistérienne- présumée coupable avant d’avoir été jugée. Ils furent présentés par Yvonne Rainero dans un discours qu’elle prononça  le 6 février 2021 à Quimper  lors de la célébration du 150è anniversaire du début de l’insurrection .

       On rappellera  que  Nathalie Le Mel était ouvrière relieuse et qu’en septembre 1864, une grève des ouvrières et des ouvriers relieurs éclata à Paris sur la réduction du temps de travail et l’augmentation des salaires. Eugène Varlin et Nathalie Le Mel y jouèrent un rôle dirigeant et cette grève, la première après la Loi sur les coalitions du 25 mai 1864, fut victorieuse. Mais les acquis  ne tardèrent pas à être remis en cause par les patrons…

     Les visiteurs pourront consulter le discours prononcé par Yvonne Rainero en cliquant ici.    

      Que Yvonne Rainero soit cordialement remerciée de nous avoir autorisé à reproduire le texte de son discours afin de le représenter sur ce site. 

Le 150è anniversaire de la Commune de Paris (18 mars 1871-28 mai 1871)

 Il s’agit de célébrer cet évènement révolutionnaire fondateur, le gouvernement insurrectionnel qui en résulta  et ses acquis émancipateurs ainsi que  la mémoire  des 27000 communards massacrés par l’armée versaillaise dite de l’ordre. 

       On trouvera  ici des éléments  concernant  son déroulement et  sa fin tragique en guerre civile  associés à  ceux ayant trait  à la fin d’une  guerre impériale perdue face aux Prussiens, à la chute  du  second empire et à  la proclamation de la  3è République.  

      Il s’agit aussi, puisqu’il est avéré que l’Ecole est, et se fait, à l’image de la société qui la porte, de mentionner quelques unes des contributions de la Commune à cet égard  et notamment  en matière de laïcité. 

      Comment ne pas rappeler en effet que, dès le «  2 avril 1871, soit moins d’une semaine après la proclamation de la Commune, alors que des combats font rage à Courbevoie et Neuilly, est promulgué un décret portant sur la séparation de l’Eglise et de l’Etat. Le décret voté à l’unanimité stipule :  Article 1 : L’Eglise est séparée de l’Etat. Article 2 : Le budget des cultes est supprimé. Article 3 : Les biens dits de mainmorte, appartenant aux congrégations religieuses, sont déclarés propriété nationale. Article 4 : Une enquête sera faite immédiatement pour en constater la nature et les mettre à la disposition de la nation ».

     Par ailleurs  il sera présenté un certain nombre de données extraites de la presse de l’époque révélant  les nouvelles, dépêches et correspondances relatives à l’Insurrection telles  qu’elles parvenaient à l’époque au fin fond du département du Finistère, empreintes à l’évidence  des choix politiques du journal  lui-même et de son  correspondant parisien. S’agissant de la presse ancienne numérisée seul un trihebdomadaire  « couvrait » les évènements ce qui en restreint la portée … Il a cependant le mérite d’exister, d’être accessible et de révéler, 150 ans après la Commune,  le contenu et le sens de l’information  rendue disponible à l’époque dans des circonstances exceptionnelles telle qu’elle pouvait façonner  l’opinion publique et pour commencer celle de ses lecteurs…

    Cependant les lecteurs auront aussi accès à des informations du temps présent notamment  concernant la présentation  étonnante en 2020  de  la mémoire  du sacrifice des communards  via le classement d’un monument parisien dédié  aux partisans de l’ordre et autres cléricaux versaillais…

      Au total, les visiteurs de ce site pourront consulter, à ce propos,  six documents listés ci-dessous  (en cliquant sur les annonces  en bleu des documents) :

           Document 1. Extrait de  la présentation du Centenaire de la Commune de 1871.

           Document 2 . Eléments d’histoire de la Commune .

           Document 3 . La Commune et l’Ecole.

           Document 4 . Le Sacré-Coeur de la honte classé « monument historique « .

           Document 5 .  Echos de la Commune dans  la presse ancienne du Finistère.

           Document 6.  Caricatures de Pilotell relatives à la Commune .

Yvon Hervé, hussard noir de la fraternité et du bien public !

         Maintenant avec pugnacité son implication dans la gestion des collectivités locales après une  brillante carrière d’instituteur public , Yvon Hervé nous livre ses réflexions sur le sens de ses expériences professionnelles et humaines  toutes dédiées à l’éducation populaire , à  la justice sociale et au bien public, dans un ouvrage qu’il a récemment fait paraître.
 
           De son bref séjour à l’Ecole normale d’Instituteurs de Quimper, il retira des leçons fondatrices et entres autres, qu’il devait être le guide intellectuel, moral et social de sa collectivité d’exercice. Ce  précepte, mis en application sans faiblesse,   n’a cessé de donner du sens à son  cursus exemplaire.  
 
         Que son exemple soit médité par les jeunes générations de maîtres d’école devenues celles des professeurs…
 
          Les visiteurs intéressés par cet itinéraire singulier  d’instituteur-éducateur et d’acteur engagé  de la vie publique pourront consulter trois documents   en cliquant successivement sur les items notifiés ci-dessous en bleu :
 
              Document 1 :  Texte de présentation générale de l’ouvrage dédié aux Hussards de la République.
 
              Document 2 :  Reproduction de la première de couverture de l’ouvrage. 
 
              Document 3 : Reproduction  de la quatrième de couverture de l’ouvrage .
 
        Que Yvon Hervé soit chaleureusement remercié ne nous avoir autorisé  à reproduire, afin de les représenter sur ce site, des éléments emblématiques de son livre .   

Quand le Tirailleur du Citoyen défendait ses Idoles !

L’histoire républicaine de la laïcisation de l’école publique et des autres institutions  ne s’arrêta pas, comme par enchantement, suite au vote de la Loi de Séparation de 1905. Ainsi,  suite à la Grande Guerre et à l’union sacrée  qui s’en suivit, la laïcité  fut de nouveau attaquée de manière frontale  par  l’église catholique dès  la victoire électorale du Cartel des Gauches en 1924. (cf.

Les illusions de la victoire en France

www.cndp.fr › jean-zay › frise › fiches › 06_illusion_v..
           En effet l’Assemblée  des Cardinaux et des Archevêques de France adopta, le 10 mars 1925, une déclaration solennelle qui « condamnait l’idée même de laïcité » et  prônait « les mesures à prendre pour la combattre « . Ladite assemblée considérait que les lois de laïcité votées depuis l’avènement de la 3è République substituaient  au « vrai Dieu » des « idoles » parmi lesquelles on citait  la liberté , la solidarité, l’humanité et la science…Les visiteurs pourront  prendre connaissance  du contenu de cette déclaration en consultant le document 1.
 
         C’est dans ce contexte particulier que Gorges Le Bail, fondateur et  rédacteur- en – chef  du Citoyen , hebdomadaire  finistérien de concentration républicaine, ouvrit dans son journal une chronique intitulée :
 
    « En tirailleur ; le culte des idoles ». 
 
       Entretenue avec beaucoup d’humour et de lucidité, pendant plusieurs semaines, elle donna lieu à un ensemble d’articles qui, transcrits de la presse ancienne numérisée,  ont été réunis en un document unique selon leur ordre d’apparition. Les visiteurs pourront le consulter (document 2)  .
                Document 1. Texte de la déclaration sur les lois dites de laïcité et les mesures à prendre pour les combattre.
 
                Document 2 .  En tirailleur: le culte des idoles.

 » L’avenir d’une désillusion : l’État et la République »

Sur le livre de Pierre Birnbaum « La Leçon de Vichy – Une histoire personnelle » 
(Seuil, 2019)
par 
Sabine Prokhoris, le 23 janvier 2021

 

            Les visiteurs intéressés par l’histoire du devenir de la République française et de celle de ses institutions pourront consulter, en suivant le lien proposé , l’analyse de l’ouvrage de Pierre Birnbaum  (2019) par Sabine Prokhoris , analyse parue dans  Mezetulle  le 25 février 2021.

 
  

           URL : https://www.mezetulle.fr/lavenir-dune-desillusion-letat-et-la-republique/
 
           A ce propos , C. Kintzler  souligne dans son Blog-revue que   :   « L’ouvrage de Pierre Birnbaum La Leçon de Vichy – Une histoire personnelle (Seuil, 2019) est l’occasion pour Sabine Prokhoris de méditer sur la « rupture » qu’il introduit dans le travail de son auteur, historien-sociologue de l’État. Elle souligne la remise en question de la position méthodologique d’un chercheur qui se voulait détaché de toute contingence personnelle, mais aussi celle de nombre d’aspects de la théorie  de l’État qu’il a précédemment élaborée. Cette rupture n’est pas un reniement. C’est par le nœud de l’histoire intime et de l’histoire collective que la question est posée : « comment penser à nouveaux frais les liens, auparavant vus comme consubstantiels en France, de l’État et de la République ? ».
 
         Catherine Kintzler nous a autorisé à reproduire et représenter cette contribution : qu’elle en soit cordialement remerciée.

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