Jules Simon raconte ses souvenirs d’élève au Collège de Vannes en 1830.

 Philosophe et homme d’état éminent, Jules Simon naquit à Lorient en 1814.  Devenu ministre de l’Instruction publique sous la 3è République , il conserva une mémoire fidèle du  collégien vannetais  qu’il fut. Les visiteurs  intéressés par ses souvenirs pourront  les consulter en cliquant ici. Il les avait publiés dans le feuilleton du journal Le Finistère en 1886 d’où ils ont été extraits , transcrits puis numérisés. 
      
     Par ailleurs, il est rappelé que:
 
            1.  Jules Simon (1814-1896), « profondément républicain et résolument conservateur », fait partie des républicains modérés qui vivent la transition démocratique en France. Député en 1848, il refuse de prêter serment à l’Empire. En 1870, il rejoint le gouvernement de défense nationale. Au début de la IIIe République, il est ministre de Thiers, puis président du Conseil sous Mac Mahon. En 1877, il s’oppose au président et démissionne. Elu à l’Académie française en 1875, il laisse ses « Souvenirs »…
                                                             cf. gallica.bnf.fr › conseils › content › jules-simon

 
                2.  Le 7  décembre 1851, quelques jours seulement après le coup d’État du 2 décembre instaurant le Second Empire, Jules Simon se rend à son cours de la Sorbonne et prononce l’allocution suivante, devenue célèbre :
« Messieurs, je vous fais ici un cours de morale. Je vous dois aujourd’hui non une leçon, mais un exemple. La France est convoquée demain dans ses comices pour blâmer ou approuver les événements qui viennent de se passer. N’y eût-il qu’un vote de blâme, je viens vous dire publiquement que ce sera le mien. » 
 
                                            

                                                   c

f. Wikipédia

fr.wikipedia.org › wiki › Jules_Simon

 » Pierre-Jakez HELIAS, un anniversaire oublié ! « 

Tel est l’intitulé de l’article de Fanch Broudic publié le 18 août 2020  dans son blog :                                                      
                                           www.langue-bretonne.org     
 
     En effet celui qui fut le maître de bon nombre des adhérents de l’ASVPNF est décédé il y a 25 ans, le 13 août 1995. Son oeuvre et ses prolongements, exemplaires bien au-delà de son pays bigouden natal, se retrouvent ainsi fort opportunément  remis en lumière .  
 
     Les visiteurs intéressés pourront consulter en cliquant ici ce rappel  qui ne manquera de susciter émotion et nostalgie chez les amoureux de la langue bretonne et chez ses défenseurs. Que Fanch Broudic soit chaleureusement remercié pour  l’éminente contribution qu’il a accepté de  mettre  à disposition de l’Association. 
 

Fustiger les abus spirituels et sexuels commis au sein de l’Eglise catholique en 2020 .

Les visiteurs sont invités à consulter à ce propos, en cliquant ici, un article récent de  Sandrine Plaud paru dans Golias news du 9 juillet 2020.  Elle  y  décrit  la lutte menée par  Dr. Isabelle  Chartier-Siben pour analyser les processus intellectuels et  psychologiques  qui, au nom de la foi, peuvent conduire   successivement à l’emprise, l’abus spirituel,  les dérives sexuelles et fatalement  à de graves  traumatismes.

 
  Son  article est intitulé : Dérives sexuelles et manipulations : l’Eglise catholique se remettrait-elle en cause  aujourd’hui  ? 
 
  Que Mme S. Plaud soit remerciée  pour cette contribution particulièrement explicite

Les créationnismes contre la liberté

Pour se préserver  de l’emprise des créationnismes et des idéologies obscurantistes, mener  avec pugnacité  le combat scientifique nécessaire…
Les visiteurs indignés par la montée  des obscurantismes et l’asservissement intellectuel qui en résulte pourront consulter à ce propos, en cliquant ici

Les créationnismes contre la liberté, un article de Catherine Kintzler paru dans son blog  revue Mezetulle le 22 juillet 2020. L’auteure y procède à la recension de l’ouvrage  de :
Cyrille Baudouin et Olivier Brosseau;
« Enquête sur les créationnismes. Réseaux, stratégies et objectifs politiques »
(Paris : Belin, 2013).
Dans ce contexte préoccupant, elle invite les lecteurs  à l’autodéfense intellectuelle.  Qu’elle soit remerciée de nous autoriser  à reproduire  son article intitulé :
                    « Les créationnismes contre la liberté« 

Chronique finistérienne des faits et bruits autour de l’Ecole en 1884 ( à suivre)

Les visiteurs intéressés par le devenir de l’institution scolaire et notamment des écoles normales de Quimper pourront consulter en cliquant ici, un ensemble de coupures de presse donnant accès tant aux événements locaux de l’époque qu’à ceux ayant une portée plus générale.Leurs intitulés sont  listés ci-dessous selon leur ordre d’apparition dans cette parution :
1. Les concours d’entrée aux écoles normales de Quimper
2. L’ouverture de l’Ecole normale de filles à Quimper

3. Les brevets de capacité
4. La guérison de la rage
5.  Les travaux de l’école normale de Quimper à l’exposition du Concours régional de Brest
6. Les concours d’admission aux écoles normales de Quimper
7. L’instruction primaire
8. L’enseignement primaire dans le Finistère
9. Discours de la distribution des prix au Collège de Quimper
10. Le discours de Jules Ferry à Périgueux
11. Nomination d’élèves-maîtres à l’école normale d’instituteurs de Quimper
12. Projet de Congrès d’Instituteurs en 1885
13. Ouverture de l’école normale de garçons de Quimper
14. Première rentrée à l’école normale d’instituteurs de Quimper sur le site de Roz Avel
15. A propos de la nouvelle école normale d’instituteurs
16. Licence laïque ; satire cléricale
17. Les écoles laïques cléricales (sic !)

Cabinet des curiosités normaliennes

Beaucoup de visiteurs de ce site se reconnaîtront dans les itinéraires de recherche et de réflexion qui y sont profilés. Ils sont invités à les enrichir en publiant les documents  représentatifs tant de leurs souvenirs et avatars d’élèves-maîtres que des expériences professionnelles qui en dérivent. Leurs paroles d’anciens  et leurs propos (illustrés ou non) se retrouveront dans la sous-rubrique « Cabinet des curiosités normaliennes ».