Sous l’égide de la République Française le blasphème, non  défendu  par la loi, se présente comme une atteinte à rien du tout. Il ne peut donc faire l’objet de délit

Les visiteurs intéressés par cette question récurrente, remise à jour par l’affaire Mila, pourront consulter en cliquant ici un article récent de  Catherine Kintzler publié dans son Blog-revue Mezetulle le 10 février 2020, ainsi que la discussion qui a eu cours suite à cette parution.