Les violents affrontements entre communautés tchétchènes et « maghrébines » qui ont eu cours à DIJON du 12 au 15 juin 2020 ont largement interpellé les pouvoirs publics, les media et l’opinion publique. Ils ont donné lieu à de nombreux articles et les trois titres reproduits ci-dessous sont suffisamment explicites pour justifier l’indignation produite :
– Dijon, la paisible, chamboulée par quatre jours de violences.
– Dijon : les violences de la « horde sauvage » ne resteront pas impunies.
– Violences à Dijon: les interpellations se poursuivent, des armes saisies.
La presse a également fait état de l’appréciation portée sur ces évènements par le dirigeant de la Tchétchénie, Ramzan Kadyrov : pour ce dernier les actes de sa communauté en France avaient été corrects, les autorités locales n’ayant pu y mettre de l’ordre.
C’est dans ce contexte et en gardant toute la mesure et le recul nécessaires que les visiteurs du site sont invités à consulter, en cliquant ici, un article à ce sujet écrit par Catherine Kintzler et publié dans son Blog revue Mezetulle le 26 juin 2020. Il est intitulé :