» Tsunami dans l’Eglise : le rapport Sauvé »

Déjà le 1er octobre 2021, quelques jours avant la parution du rapport Sauvé, le journal La Provence titrait  sous la plume de  Delphine Tanguy

                      “  ABUS SEXUELS : « L’ÉGLISE S’APPRÊTE À FAIRE FACE À UN TSUNAMI »

 

On pourra accéder aux  compléments à l’URL :  https://www.laprovence.com/article/edition-marseille/6509685/leglise-sapprete-a-faire-face-a-un-tsunami.html

 

Le terme tsunami (vague d’orage en japonais)  se retrouvait aussi dans l’article de Tangi Salaün et Noémie Olive  publié le  4 octobre dans Challenges :

 

Rapport sur les abus sexuels: pour les victimes,

un « tsunami » qui oblige l’Eglise

 

Ces auteurs rapportent que  selon Olivier Savignac( Président de l’Association de victimes « Parler et revivre« ) qui s’appuie sur une estimation réalisée par l’INSERM  pour le rapport, « ces prêtres et religieux ont fait 216.000 victimes depuis 1950. C’est un séisme, c’est un ouragan, c’est un tsunami et il faut que ce soit un tsunami parce qu’aujourd’hui, quand on voit les chiffres, c’est tellement accablant que personne ne peut rester dans le déni, au sein de l’Eglise catholique et dans la société toute entière ». Voir la suite à l’URL :https://www.challenges.fr/top-news/rapport-sur-les-abus-sexuels-pour-les-victimes-un-tsunami-qui-oblige-l-eglise_783431

 
 
 

 

 Plusieurs articles relatifs à l’onde de choc provoquée par le rapport Sauvé au sein de l’Eglise catholique ont déjà été insérés sur ce site .  Cependant l’information en la matière reste partielle alors qu’il importe que la vérité se fasse afin que la justice passe. C’est pourquoi nous accueillons ici , dès sa parution , l’éditorial argumenté du Bulletin de la fédération  d’Ille et Vilaine de la Libre Pensée  (n°89, 4è trimestre 2021). Son intitulé cataclysmique est  repris au début  de  la présente parution.

 

  Que son auteur Jean Sébastien Pierre, collègue et ami, soit félicité pour la qualité de son propos et remercié de nous avoir autorisé  à le reproduire sur ce site .

 

  Les visiteurs pourront consulter ledit éditorial en cliquant ici.