Souvenir de l’Ecole normale de Quimper (2è partie du 20è siècle )
« Nous avions une formation professionnelle de qualité »
Les visiteurs intéressés par le témoignage d’un ancien élève-maître publié dans le Télégramme du 30 janvier 2021 pourront le consulter en suivant le lien :
https://www.letelegramme.fr/dossiers/sur-les-bancs-de-lecole-normale-de-quimper/souvenir-de-l-ecole-normale-nous-avions-une-formation-professionnelle-de-grande-qualite-30-01-2021-12696799.php
École normale, IUFM, Espe puis Inspe : la rédaction invite celles et ceux qui sont passés par l’école des instituteurs de Quimper à témoigner de leur vie d’étudiant, côté cour ou …
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Souvenir de la vie normalienne ( 2è partie du 20è siècle à l’ENG de Quimper )
« Ce prof n’avait pas un mot à nous dire pour nous tenir »
Les visiteurs intéressés sont invités à consulter le témoignage d’un ancien élève-maître paru dans le Télégramme du 7 janvier 2021 en suivant le lien :
https://www.letelegramme.fr/dossiers/sur-les-bancs-de-lecole-normale-de-quimper/souvenir-de-l-ecole-normale-ce-prof-n-avait-pas-un-mot-a-dire-pour-nous-tenir-07-01-2021-12684956.php
École normale, IUFM, Espe puis Inspe : la rédaction invite celles et ceux qui sont passés par l’école des instituteurs de Quimper à témoigner de leur vie d’étudiant, côté cour ou …
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« L’Ecole normale : pilier de la République » Bernard Poignant, ancien professeur à l’ENG de Quimper se souvient !
Il confie son témoignage au Télégramme du 5 janvier 2021. Les visiteurs pourront en prendre connaissance en suivant le lien :
https://www.letelegramme.fr/finistere/quimper/l-ecole-normale-pilier-de-la-republique-bernard-poignant-se-souvient-05-01-2021-12683827.php
Début décembre, profitant de la vente aux enchères virtuelle d’un millier d’objets de l’ancienne école Normale de Quimper, nous lancions un appel à témoignages aux professeurs et …
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Ecole normale de Quimper : il était écolier « cobaye » des élèves-maîtres de formation professionnelle (1970-1971) !
Les visiteurs du site pourront accéder, en suivant le lien proposé, le témoignage correspondant recueilli et mis en forme par Olivier Scaglia , journaliste au Télégramme :
https://www.letelegramme.fr/dossiers/sur-les-bancs-de-lecole-normale-de-quimper/souvenirs-de-l-ecole-normale-il-etait-de-ces-ecoliers-cobayes-25-12-2020-12680313.php
La vente de matériels et objets de l’École normale dont nous avons rendu compte le 6 décembre a réveillé des souvenirs. Comme chez ce Quimpérois qui fut, non pas Normalien, mais élève …
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Il est rappelé, qu’à cette date, les élèves-maîtres n’avaient pas le statut d’étudiant et que les écoliers de 7è auxquels ils s’adressaient étaient sans conteste au CM2 !
Regard de femme sur un mémorial orphelin (addendum)
Après réflexion Jacques Denniélou, auteur du propos attribué à la pleurante du Monument aux Instituteurs du Finistère Morts pour la France sculptée par Armel Beaufils , en a proposé une version alternative. Comme les deux se complètent heureusement elles se trouvent désormais associées dans le document final que les visiteurs pourront consulter en cliquant ici.
Qu’y avait-il donc dans les bagages des normaliens ?
Certes des menus objets nécessaires à leur vie quotidienne . Cependant en fin de scolarité normale devaient s’y entasser les éléments du » bagage normalien » qui les accompagnaient jusqu’à leurs premier postes d’instituteur à l’école publique. Mais ce bagage a changé de nature et de signification au fil des décennies .
Pour mieux s’en rendre compte les visiteurs sont invités à consulter (entre autres):
1. Ce qui pouvait tenir lieu de bagage en 1887, en lisant l’article de A. Vessiot paru dans la Revue Pédagogique : » Le bagage de l’élève-maître à sa sortie de l’école normale » en suivant le lien:
https://education.persee.fr/doc/revpe_2021-4111_1887_num_10_1_2185
2. Ce qui semble prévaloir par les temps présents, en prenant connaissance de l’article de Lucie Roger paru en 2016 dans Phronesis :
» Le maître cultivé; sa définition et des implications pour une modélisation » auquel on pourra accéder par le lien :
https://books.google.fr/books?id=U1bfDQAAQBAJ&pg=PT150&lpg=PT150&dq=Phronesis+le+ma%C3%AEtre+cultiv%C3%A9&source=bl&ots=kThSX0mgHY&sig=ACfU3U2C_a6lXkwlqUcoVYWUeAeIs-nuew&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwjE0e_JwZHuAhXEyYUKHUvuAJ8Q6AEwEHoECBMQAg#v=onepage&q=Phronesis%20le%20ma%C3%AEtre%20cultiv%C3%A9&f=false
Présentation du numéro : Décrire et comprendre le travail éducatif dans les professions de l’humain invite à une lecture de l’agir professionnel en situation intégrant dialectiquement anticipation, conception, action, réflexion critique et visant à créer les conditions d’un apprentissage transformateur chez autrui. Mais quels fondements sont à l’origine des savoirs sollicités par ces professionnels du travail éducatif ? Les doctrines éducatives comme les idées pédagogiques traversent l’histoire de ces professions et les histoires des professionnels. Or, force est de constater que ces conceptions ou doctrines éducatives, ces idées ou formes pédagogiques s’accompagnent souvent de deux ambitions : l’innovation et l’efficacité. Ces deux ambitions soulignent sans doute la part d’utopie constitutive de tout projet éducatif. Mais elles nous encouragent à déceler en elle l’héritage patrimonial des thèses pédagogiques d’aujourd’hui, Nous proposons dans ce numéro une le
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On y relèvera notamment que « pour être des pédagogues cultivés, les enseignants doivent connaître au-delà des objets de la culture seconde contenu dans le programme ; être en mesure de rendre les savoirs intelligibles et signifiants pour les élèves ; avoir un regard critique sur ses propres origines, sur ses pratiques culturelles et sur son rôle social, etc. Il s’agit davantage d’une posture culturelle qui est attendue que d’une culture à transmettre ».
Regard de femme sur un mémorial orphelin
Les anciens élèves-maîtres de l’Ecole normale de garçons de Quimper reconnaîtront aisément le regard plein de douleur et de tendresse que porte à jamais, sur les stèles du mémorial des instituteurs et institutrices du Finistère Morts pour la France, la sculpture de Armel Beaufils constituant l’élément central de ce monument .
Parmi ces gaillards normaliens, Jacques Denniélou protagoniste de la promotion 1954-1958, ayant encore la force de conviction nécessaire pour faire parler la pierre, lui a prêté un propos plein de sagesse que l’on pourra consulter en cliquant ici. Qu’il soit remercié pour sa contribution.
Force est de constater que « Sans un regard de femme, que vaut la peine des hommes ? » (G. Bachelard) , que « La vérité est un regard qui va droit à l’âme » (R. Rolland) et qu’en définitive » Si un regard est bien souvent une réponse, le silence en est une autre » (S. Cottin) !
Les Ecoles normales primaires de la 3è République étaient-elles vraiment les casernes de Jules Ferry ?
Réalité ou provocation journalistique …rares sont les occurrences de la sorte même si l’assimilation des normaliens aux Hussards noirs de l’Escadron créé et intégré à l’armée de la Révolution en 1793 ou plus précisément aux Hussards noirs de la République chers à Charles Péguy (1913) -en raison de leur tenue -peut donner lieu à des résonances lointaines témoignant d’une discipline quelque peu militaire réglant leurs vies d’élèves-maîtres .
Quoi qu’il en soit c’est ainsi que se trouvent qualifiées leurs écoles du début du 20 siècle dans un article du journal La Marseillaise soigneusement conservé et mis à notre disposition par l’un de nos adhérents. Certes il appelle à la réflexion et les visiteurs pourront le consulter en cliquant ici
Faut-il rappeler en cette circonstance que les adolescents concernés étaient devenus élèves-maîtres , pensionnaires complets de leur école, suite à un concours dont ils avaient été lauréats? Ce concours nécessitait, en fait, « plusieurs années de préparation de la part du candidat qui s’orientait vers lui, très souvent, sur les conseils reçus de son instituteur alors qu’il était encore sur les bancs de l’école primaire. Il devenait ensuite l’objectif visé pendant plusieurs années de cours complémentaire ou, plus souvent, d’école primaire supérieure et nourrissait les espérances de tout l’entourage familial. Celui-ci se situait très fréquemment dans les couches les plus modestes de la population « .
Dans un tel contexte il n’est pas surprenant, qu’ayant pu bénéficier des bienfaits de « l’ascenseur social » lesdits élèves-maîtres étaient d’autant plus enclins à supporter un régime d’études et une discipline sans concession. Ils étaient, au demeurant, soumis aux règles d’un engagement décennal contraignant qu’ils avaient signé avec l’autorisation de leur père
Quand André Le Goff fait l’inventaire -sans concession- de ses anciens maîtres à l’ENG de Quimper, dans les années 50 du siècle dernier !
Une des récentes contributions illustrées de notre adhérent s’intitule : » Un inventaire à la Prévert« (Document 1). Il y est fait mention du quintil célèbre de Guillaume Apollinaire que nous rappelons aux visiteurs (Document 2). Ceux-ci pourront consulter les fichiers correspondants en cliquant successivement sur les notations indiquées ci-dessous en bleu.
Que l’auteur soit chaleureusement remercié de reconstituer ses lointains souvenirs , éléments importants de la mémoire normalienne et de nous autoriser à les représenter sur ce site .
Document 1. Un inventaire à la Prévert.
Document 2. L’adieu de Guillaume Apollinaire .
A la mémoire de nos grands anciens (3): Jean Le Dû(1912-1985) et Daniel Trellu ( 1919-1998) Promotions ENG 29-32 et 35-38
Dans l’ouvrage publié en 2020 par l’Association Les Amis du Patrimoine de Trégunc (F-29910) ( Histoire des écoles de Trégunc -Livre 2 ), l’un de nos adhérents a retrouvé les portraits de deux instituteurs Trégunois , anciens élèves-maîtres de l’Ecole normale de garçons de Quimper; Jean Le Dû et Daniel Trellu .
Roland Picard, Président de l’Association mentionnée , nous a dûment autorisé à reproduire les fichiers correspondants de façon à les représenter sur ce site. Qu’il en soit vivement remercié.
Les visiteurs pourront les consulter en en cliquant ici .