Étiquette : sauvegarder et valoriser
Les méfaits de la pédophilie ecclésiale et du cléricalisme.
par
“L’Église a instauré la loi du secret qui dépasse le silence entourant le fonctionnement de ses institutions. Elle savait que le secret fait partie intégrante du mode opératoire des prêtres pédophiles. L’Eglise a nié et minimisé l’ampleur des agressions sexuelles sur mineurs tant en nombre, qu’en gravité, en contournant, et déviant la notion de crime en choisissant de parler plutôt de pédérastie et d’homosexualité. L’Église a appliqué de manière inconsidérée le pardon, en ne plaçant pas l’abus sexuel comme un crime. L’Église ne pourra en finir avec la pédophilie, tant qu’elle attirera en son sein des individus immatures psychiquement et sexuellement, et tant qu’elle continuera à entretenir et à développer, dans le modèle clérical, le fantasme de la toute puissance divine. C’est l’archaïsme de l’Église qui favorise les abus sexuels et spirituels, car ces deux types d’abus sont la conséquence d’un même rapport malsain du pouvoir et du sacré. L’Église n’en finira avec les abus sexuels et spirituels que lorsqu’elle s’ouvrira à la démocratie, et qu’elle fera sa réforme notamment dans le domaine de la sexualité. Elle en finira avec ces maux, lorsque son fonctionnement interne cessera de renforcer les tendances à l’immaturité psychologique et spirituelle de ses clercs…” (Cf. l’article de Christian Terras en cliquant ici . Il est également accessible à l’URL : https://www.goliaseditions.fr/2021/10/05/rapport-sauve-comment-leglise-catholique-a-instaure-la-loi-du-secret/
Plus récemment le 2 novembre 2022, Golias a fait paraître, dans le prolongement de cet article fondateur, un ouvrage collectif écrit sous la direction de Christian Terras et intitulé :
« Rapport Sauvé : l’évangile de la honte »
Selon Golias, “L’Église a appliqué de manière inconsidérée le pardon, en ne plaçant pas l’abus sexuel comme un crime. L’Église ne pourra en finir avec la pédophilie, tant qu’elle attirera en son sein des individus immatures psychiquement et sexuellement, et tant qu’elle continuera à entretenir et à développer, dans le modèle clérical, le fantasme de la toute puissance divine. C’est l’archaïsme de l’Église qui favorise les abus sexuels et spirituels, car ces deux types d’abus sont la conséquence d’un même rapport malsain du pouvoir et du sacré. L’Église n’en finira avec les abus sexuels et spirituels que lorsqu’elle s’ouvrira à la démocratie, et qu’elle fera sa réforme notamment dans le domaine de la sexualité. Elle en finira avec ces maux, lorsque son fonctionnement interne cessera de renforcer les tendances à l’immaturité psychologique et spirituelle de ses clercs » URL : https://www.golias-editions.fr/produit/rapport-sauve-levangile-de-la-honte/
On rappellera à ce propos que si :
– Evangile équivaut en matière de foi chrétienne, à « Bonne Nouvelle, annonce du salut du monde offert en Jésus-Christ; vie et enseignement du Christ par les Apôtres »
– Honte peut signifier un « Trouble de l’âme causé par la crainte du déshonneur », la honte est quelquefois la conscience d’une action qui dégrade l’homme dans sa propre estime ; elle peut être aussi la crainte de recevoir un blâme mérité ou non, la vexation d’être désapprouvé, et par conséquent elle peut se soumettre soit aux préjugés dominants soit aux lois morales permanentes, aux exigences de l’honnêteté ou à celles des usages (voyez Trench, Synonymes du Nouveau Testament, paragraphe XIX).
– Le pape François lui-même clamait sa honte : après avoir fait part (mardi )de son « immense chagrin », le souverain pontife a exprimé mercredi « sa honte », à la suite de la publication d’un rapport accablant sur la pédocriminalité au sein de l’Église de France. Dévoilées par une commission indépendante, les conclusions de l’enquête estiment à 216 000 le nombre de mineurs sexuellement agressés par des clercs ou religieux en France depuis 1950. Cf.l’URL : https://www.france24.com/fr/france/20211006-p%C3%A9docriminalit%C3%A9-au-sein-de-l-%C3%A9glise-j-ai-honte-dit-le-pape-fran%C3%A7ois
Quoi qu’il en soit , Il est assuré que l’intitulé retenu par Golias qui, sur le plan de la foi chrétienne, peut revêtir un caractère oxymorique est de nature à susciter tant l’intérêt que l‘indignation du bon sens commun.
Pour clore ce nouveau chapitre de turpitudes ecclésiales on rappellera que l’Eglise ne pourra s’exonérer des taches indélébiles de la pédophilie érigée en système qu’en s’ouvrant aux vertus et à la pratique de la démocratie . Les citoyens émancipés et épris de liberté de ce pays appellent de leurs vœux un tel changement .
Faut-il enfin rappeler que :
1. Avoir honte de changer , c’est avoir honte d’être humain,
2.Le sage a honte de ses défauts mais n’a pas honte de s’en corriger,
3. Ne pas avoir honte de sa faute, c’est la commettre deux fois,
Transcendantale, la laïcité est ou n’est pas !
L’adjectiver nuit à son essentialité
au sein de
nos institutions républicaines.
Parmi les termes de la langue française celui de « laïcité» est connu pour faire l’objet de qualifications extrêmement variées, celles-ci reflétant les choix philosophiques, spirituels (ou) politiques tant d’adeptes- nouveaux venus dans le champ de la laïcité- que de faux amis du principe républicain sous-tendu.
Le terme laïcité vient du grec laïcos (λαϊκὸς), lui-même issu de laos (λαὸς), « qui est du peuple ». Il désigne le cadre juridique d’une société qui refuse la tutelle d’une religion sur les affaires publiques et qui respecte la liberté de conscience, les lois des hommes primant sur celles des religions. Ainsi la laïcité est-elle la condition première de la démocratie : affaiblir l’une revient à fragiliser l’autre. Cf.http://publictionnaire.huma-num.fr/notice/laicite/
Baubérot J., 2008, Une laïcité interculturelle.Le Québec, avenir de la France ?, La Tour-d’Aigues, Éd. de l’Aube. Baubérot J., 2015, Les 7 laïcités françaises, Paris, Éd. de la Maison des sciences de l’homme. Briand A., 1905a, Rapport fait le 4 mars 1905 au nom de la commission relative à la séparation des Églises et de l’État et de la dénonciation du Concordat chargée …
publictionnaire.huma-num.fr
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-La laïcité est un principe démocratique en tant qu’elle prend en compte la multiplicité des aspirations individuelles ;
-La laïcité est un principe républicain en tant qu’elle prend en compte l’unité nécessaire du corps social autour de valeurs et principes de la République.” Cf. https://www.actu-juridique.fr/administratif/libertes-publiques-ddh/le-principe-de-laicite-une-invention-francaise-ignoree/
Ceci étant posé on découvrira ci-dessous quelques unes des épithètes usitées pour qualifier la laïcité; celle qui est censée avoir cours dans toutes nos institutions républicaines . On peut ainsi à l’envi voir affubler laïcité de qualificatifs aussi divers que :
“Ouverte, inclusive, à la française, française, nouvelle, tout court, plurielle , positive, négative, restrictive , stricte , séparative, apaisée, identitaire, d’ouverture, de fermeture, de progrès, simple, dure, orthodoxe, néo-républicaine, aménagée, accommodée, républicaine, instrumentalisée, édulcorée, militante, de combat, anticléricale, dégradée, advenant, advenue, rigide, intransigeante… » (liste non exhaustive, ndlr ! )
A l’instar de J-P Brighelli ( In Liberté, Egalité, Laïcité, Hugo DOC, 2015)on considérera ici qu’adjectiver la laïcité revient à la trahir en la faisant dissoudre dans le « grand bain des communautarismes et des religions. » et qu’à force de l’aménager , de l’ouvrir et de lui donner une géométrie variable afin de l’accommoder aux lubies des diverses communautés, elle se trouve vidée de son sens » ;
Il s’agit donc de revenir à une laïcité sans adjectif car, selon H. Pena Ruiz, le mot (intraduisible) et lui seul est en l’occurrence suffisant ! De surcroît comme l’écrit Caroline Fourest IN Génie de la Laïcité ; (Grasset, 2016) « la laïcité n’a ni à s’ouvrir, ni à se fermer, ni à s’accommoder, ni à s’arc bouter. Elle doit simplement rester fidèle à son histoire et à l‘esprit de ses fondateurs ».
« Ni capitulation, ni persécution » disait Ferdinand Buisson !
La laïcité qui fut donc qualifiée de positive par certains vient de faire l’objet d’une nouvelle mise au point dans un article de Catherine Kintzler intitulé :
Publié dans Mezetulle le 30 octobre 2022 ledit article souligne que :
« En parlant de « laïcité positive » le ministre de l’Éducation nationale Pap Ndiaye reprend un terme fréquemment utilisé pour réclamer à la laïcité – qu’on juge rigide et trop intransigeante – des « accommodements », une « ouverture »1. Ce terme, que Nicolas Sarkozy avait cru bon de promouvoir à plusieurs reprises2, suggère par lui-même l’aspect politique qui gouverne son emploi. L’adjectif « positive » induit en effet un champ sémantique où prendrait place, à l’opposé, une « laïcité négative » qu’il s’agirait de combattre, de réduire et peut-être même d’effacer3. Mais la thèse d’une « laïcité négative » ne tient pas debout : car la laïcité a posé plus de libertés que ne l’a jamais fait aucune religion. On n’a pas à demander à la laïcité d’être « positive » : c’est aux religions qu’il appartient de le devenir en renonçant à leurs prétentions à l’exclusivité intellectuelle et politique.
Examinons donc ce que certains appellent hâtivement un concept : la notion de « laïcité positive ». De quelque côté qu’on la prenne, on débouche sur un vide intellectuel »Les visiteurs de ce site pourront consulter, en cliquant ici, l’article de Catherine Kintzler.
On retiendra , à l’instar de Caroline Forest , que le génie de la laïcité réside dans le fait que c’est la seule lumière capable de nous éloigner de l’obscurantisme. Selon elle :
-la laïcité (non qualifiée) nous protège ;protégeons la !
-la laïcité nous permet de nous aimer ; aimons la passionnément et faisons la aimer !
Que Catherine Kintzler soit chaleureusement remerciée de nous autoriser à reproduire et à représenter son article original.
Constitutionnaliser la laïcité
Déjà en 2017, Catherine Kintzler proposait d’inscrire dans la Constitution de notre République, les principes de la loi de 1905 (https://www.mezetulle.fr/constitutionnaliser-3-principes-de-loi-de-1905/) dans un article intitulé :
Constitutionnaliser 3 principes de la loi de 1905
On lira la suite en se rendant à l’adresse : :https://www.slate.fr/story/138932/constitutionnaliser-loi-1905.
Catherine Kintzler précisait d’emblée : « Vouloir constitutionnaliser un texte législatif, c’est considérer que ce texte dit quelque chose de fondamental sur la nature de l’association politique » . Puis elle poursuivait : « Supprimer de l’article premier de la Constitution une proposition difficile à comprendre et y insérer à la place trois propositions claires inspirées des deux premiers articles de la loi du 9 décembre 1905 permettrait de préciser le caractère «laïque» et «indivisible» de la République. »
Sa contribution s’achevait ainsi : « La conséquence la plus spectaculaire de cette proposition est l’abandon des dispositions particulières en vigueur provisoirement en Alsace-Moselle et dans certains territoires ultra-marins. Un tel abandon, qui devrait se faire progressivement en respectant les droits des personnels religieux actuellement rétribués par l’État, réunifierait la République «indivisible». Mais la vertu principale du texte ainsi modifié apparaît si on suppose cette étape acquise: expliciter la laïcité de la République par un minimalisme fondateur et libérateur ».
On comprend aisément que des juristes puissent s’approprier et investir une telle problématique et que l’on peut donc découvrir à ce propos un article tel celui de Mathieu Touzeil-Divina publié en 2018 et intitulé :
« Un principe latitudinaire et non constitutionnel de laïcité ? »
Il s’agit d’un chapitre de l’ouvrage : « La territorialité de la laïcité » de Mouannès Hiam que l’on pourra consulter à : La territorialité de la laïcité [en ligne]. Toulouse : Presses de l’Université Toulouse 1 Capitole, 2018 (généré le 31 octobre 2022). Disponible sur Internet : <http://books.openedition.org/putc/5675>. ISBN : 9782379280719. DOI : https://doi.org/10.4000/books.putc.5675.
Il y apparaît notamment que : « l’objectif poursuivi est simple : il s’agit d’exposer (sinon de rappeler) qu’à de nombreuses reprises (encore aujourd’hui) le principe pourtant dit constitutionnel de laïcité s’est effacé et s’efface encore derrière une Loi, un règlement voire un usage comme si la valeur normative et dite suprême de ce dernier s’effaçait ou était – selon les territoires – à géométrie variable : latitudinaire. Les exceptions, qui déconstruisent le principe, s’avèrent alors historiques et, d’un point de vue formel, généralement législatives même si quelques usages ne le sont même pas . Enfin, force est de constater que la plupart (mais non la totalité) des exceptions sont surtout – ce que l’Histoire explique – dues à des traditions ou à des pratiques issues du Concordat . »
Si les joutes électorales sont passées, la constitutionnalisation de la laïcité n’est point intervenue . Aussi n’est-il pas surprenant de voir réapparaître la question dans notamment ufal-INFO, le magazine de l’Union des Familles Laïques sous la forme d’un article de Charles Arambourou en date du 29 octobre 2022 intitulé :
Constitutionnaliser la laïcité ? Oui, mais pas n’importe comment.
Selon l’auteur : « Le média en ligne Opinion internationale du 16 octobre 2022, date anniversaire de l’assassinat de Samuel Paty, a publié un appel, accompagné d’une proposition de loi constitutionnelle
On lira cependant avec intérêt le texte de Charles Arambourou en cliquant ici .
Que les responsables de ufal-Info qui nous ont autorisé à le reproduire pour le représenter sur ce site en soient chaleureusement remerciés.
Turpitudes cléricales (suite) et miscellanées ecclésiales de l’automne 2022.
Les visiteurs intéressés pourront consulter , en cliquant ici, le fichier PDF correspondant.
Petite chronique des temps heureux où le Finistère construisait son Ecole publique, laïque et républicaine
La presse ancienne numérisée accessible à la BnF et aux archives départementales , toutes tendances politiques considérées, constitue un trésor inestimable dont la patiente et laborieuse exploitation permet la mise à jour de documents nécessaires à la reconstitution de l’histoire de notre passé et de ses institutions, notamment lorsqu’elles concernent notre système scolaire. Celui-ci fut conçu et lentement traduit dans des actes législatifs intimement associés à l’émergence et à l’oeuvre de la IIIè République.
C’est leur périlleuse mise en application au sein des collectivités locales du département du Finistère telle que rapportée dans la presse de l’époque qui retient ici notre attention. Ceci, imposait un choix parmi les journaux de l’époque, disponibles aux archives sous forme numérisée. Nous avons opté pour LE FINISTERE (bihebdomadaire paraissant le mercredi et le samedi « Journal politique [« puis » journal républicain « puis » organe hebdomadaire d’union républicaine] »
Dans ses colonnes on peut retrouver, parfois avec force détails, la chronique des faits majeurs qui présidèrent à l’édification sur la place quimpéroise des deux Ecoles normales primaires où furent formés , à partir de 1884 et pendant une centaine d’années, les institutrices et instituteurs d’un département qui fut classé en 1881, au vu du niveau de son illettrisme, parmi les plus » arriérés » de France.
Les recherches dont les résultats sont retranscrits et édités couvrent la période allant du 13 août 1881 au 31 mai 1882 ayant fait l’hypothèse simplificatrice qu’ elle devait receler des données importantes ayant trait aux modalités d’édification des deux écoles normales primaires de Quimper. On savait qu’elles accueillirent leurs premières promotions d’élèves-maîtresses et d’élèves-maîtres en 1884…
Ceci a conduit à la collecte d’un ensemble de 90 items réunis dans un seul fichier de 282 pages auquel les visiteurs pourront accéder en cliquant ici , après avoir consulté le guide que constitue le sommaire ci-dessous:
1. Deux discours de M.J. Ferry……………………………………………………………………………………………………………1
2. Construction de deux écoles normales à Quimper…………………………………………………………………………..8
3. Le Conseil général du Finistère décide la construction de deux Ecoles normales à Quimper…………9
4.Les biens des congréganistes………………………………………………………………………………………………………….16
5. Création de deux écoles normales à Quimper (1881)……………………………………………………………………….18
6. Comme quoi l’Eglise est persécutée ……………………………………………………………………………………………….26
7. Le Ministre de l’instruction publique informe les Recteurs……………………………………………………………..27
8. L’ÉCOLE selon Paul Bert………………………………………………………………………………………………………………..29
9. Gazette bretonne , les exploits de Fouesnant!……………………………………………………………………………….33
10.Écoles de filles ……………………………………………………………………………………………………………………………..39
11. Traitement des instituteurs…………………………………………………………………………………………………………..42
12. Adam et Eve et la Bretagne…………………………………………………………………………………………………………..43
13. L’enseignement congréganiste……………………………………………………………………………………………………45
14. Nouvelles et Renseignements…………………………………………………………………………………………………….49
15. L’abbé Grégoire(I)……………………………………………………………………………………………………………………….54
16. Au conseil général du Finistère : l’exposé de M. Le Préfet………………………………………………………..56
17. Enquête publique sur la construction des Ecoles normales de Quimper………………………………….. 69
18.Au conseil général du Finistère……………………………………………………………………………………………………70
19.L’affaire Frère NOLASQUE à Fouesnant……………………………………………………………………………………..72
20. Un avis du Journal de l’instruction publique……………………………………………………………………………….74
21. La mise en construction des deux Ecoles normales de Quimper………………………………………………..76
22. Une lettre de M. J . Ferry……………………………………………………………………………………………………………77
23. Les Collèges communaux………………………………………………………………………………………………………….78
24. Un évêque à l’index !…………………………………………………………………………………………………………………81
25. L’Enseignement dans l’Académie de Rennes……………………………………………………………………………85
26.L’Instruction publique(décembre 1881)………………………………………………………………………………………89
27. Les théories de M. Freppel……………………………………………………………………………………………………….90
28. A la Société de secours mutuel des Instituteurs et Institutrices………………………………………………..95
29. Le retour du Préfet à Quimper………………………………………………………………………………………………….101
30. Une médaille pour 20 instituteurs……………………………………………………………………………………………..102
31. La déclaration du nouveau ministère………………………………………………………………………………………..103
32. A Quimperlé les Frères abandonnent leur Ecole !…………………………………………………………………….110
33. Au sujet du budjet de l’Instruction publique……………………………………………………………………………..111
34.Dispositions à l’égard des Instituteurs………………………………………………………………………………………114
35. Création des 3 premiers Lycées de jeunes filles………………………………………………………………………116
36. Création du Lycée de QUIMPER: le décret……………………………………………………………………………….116
37. Réorganisation des écoles normales……………………………………………………………………………………….119
38.Le brevet d’instituteur et les congréganistes……………………………………………………………………………121
39.Le scandale d’Audierne…………………………………………………………………………………………………………….124
40. Les méfaits du cléricalisme……………………………………………………………………………………………………..127
41. L’enseignement secondaire des Jeunes filles………………………………………………………………………..129
42. Leçon donnée aux cléricaux par un évêque ………………………………………………………………………….131
43. Le réchauffement climatique en 1881-1882…………………………………………………………………………….133
44.L’enseignement secondaire dans les écoles libres………………………………………………………………..134
45. L’enseignement secondaire libre………………………………………………………………………………………….138
46. Le Certificat d’études uinversitaires……………………………………………………………………………………..140
47.Subventions pour installation de maisons d’école…………………………………………………………………143
48. Le projet de loi sur les instituteurs……………………………………………………………………………………….146
49. Financer les travaux dans les Ecoles……………………………………………………………………………………148
50. Acte officiel…………………………………………………………………………………………………………………………..149
51. Les progrès de l’Instruction primaire……………………………………………………………………………………150
52. L’éducation militaire……………………………………………………………………………………………………………..153
53.La Résistance à la Loi……………………………………………………………………………………………………………157
54. La loi sur l’enseignement primaire ………………………………………………………………………………………161
55. Discours de M.Paul Bert………………………………………………………………………………………………………170
56. Aux candidats aux écoles normales……………………………………………………………………………………..174
57. La loi sur l’enseignement votée par le Sénat………………………………………………………………………174
58. Le financement de l’Ecole publique……………………………………………………………………………………180
59. Le concordat………………………………………………………………………………………………………………………185
60. L’enseignement moral et civique………………………………………………………………………………………..186
61.L’enseignement congréganiste…………………………………………………………………………………………..188
62.Adjudication des travaux de l’ENG de Quimper…………………………………………………………………..190
63. La construction de cinquante écoles de hameau……………………………………………………………….191
64. La loi sur l’ instruction primaire devant le Sénat. ……………………………………………………………..194
65. La gratuité de l’enseignement primaire………………………………………………………………………………199
66. L’Abbé Grégoire (suite)………………………………………………………………………………………………………201
67.Financer la construction de deux Ecoles normales à Quimper……………………………………………..221
68. La proposition Boysset………………………………………………………………………………………………………..222
69. Enquête parcellaire préalable à la construction de l’Ecole Normale de Garçons de Quimper …..224
70. Le Congrès pédagogique…………. …………………………………………………………………………………………227
71. La retraite des instituteurs……………………………………………………………………………………………………229
72. L’instruction primaire en 1882……………………………………………………………………………………………….231
73. Un discours de M. Ferry ( 19 avril 1882)………………………………………………………………………………..237
74. Une Loi calomniée……………………………………………………………………………………………………………….241
75. Au conseil général du Finistère…… ……………………………………………………………………………………..245
77. Adjudication des travaux de l’ENG de Quimper…………………………………………………………………255
78. La Loi sur l’enseignement et les Conseils généraux……………………………………………………………256
79. L’affaire Guyader (Audierne) aux assises…………………………………………………………………………….260
80. Les instituteurs congréganistes………………………………………………………………………………………….261
81. Le brevet de capacité et les congréganistes………………………………………………………………………264
82.La mésaventure de M. Freppel…………………………………………………………………………………………….265
83. La surveillance des élèves en dehors des classes…………………………………………………………….266
84. La construction de l’ENG de Quimper au tableau des offres légales……………………………………269
85. L’adjudication des travaux de l’école normale de filles de Quimper ………………………………….270
86. Le recrutement des écoles normales…………………………………………………………………………………. 271
87. La caisse des écoles ………………………………………………………………………………………………………….274
88. L’implication citoyenne dans la construction des écoles de hameau……………………………………276
89. La philotechnique à l’Ecole normale…………………………………………………………………………………..277
On ne manquera pas de surcroît d’y consulter une biographie originale véritablement révolutionnaire de l’Abbé Grégoire, les textes de quelques discours fondateurs de Jules Ferry et de Paul Bert, sans compter des éléments inédits concernant l’oeuvre scolaire magistrale de Lagrange de Langre , préfet républicain du Finistère pendant la période ciblée pour ces recherches.
La dictée de PLOVAN en août 2022
Créée en 1997, l’Association du Patrimoine de Plovan (F-29720 )s’est proposée en 2010 de reconstituer et de valoriser l’histoire scolaire de cette commune depuis les premiers temps de la 3è République. En mars 2022, selon le quotidien Ouest-France, ladite Association, lors de son Assemblée générale, rappelait que « si elle s’était investie, depuis sa création , dans l’entretien du petit patrimoine elle se distinguait surtout par l’animation de la classe à l’ancienne. le cœur de son action ». « Sa popularité ne s’est pas démentie. Les visiteurs sont nombreux, 580 l’an passé, et la page d’écriture au porte-plume a toujours autant de succès », a souligné le président, Mathieu Glaz (cf. https://www.ouest-france.fr/bretagne/plovan-29720/patrimoine-la-classe-a-lancienne-le-coeur-de-laction-1dab3a3a-704f-4135-8cb5-afd145ef60a4 )
En réalité : »ll suffit de passer la porte pour changer d’époque. Les pupitres en bois avec les porte-plumes, un set d’imprimerie de l’école Freinet, un panneau de lecture ancien, des livres scolaires d’un autre temps… Tout semble dans son jus. Créée en 1997 dans une partie de l’ancienne école publique (fermée en 1991), la classe patrimoine de Plovan reconstitue une salle de cours telle qu’ont pu la connaître des élèves dans les années 1950 et 1960.
Le bâtiment a été construit en 1910 (salle de classe au rez-de-chaussée et logement du directeur à l’étage, avec un jardin au sud).Le lieu est ouvert au public en juillet et août. Hors période estivale, des visites peuvent se faire sur réservation pour des scolaires ou des groupes d’au moins une dizaine de personnes » ( cf. https://www.destination-paysbigouden.com/a-voir-a-faire/visites-patrimoine/classe-ancienne-de-plovan-2375724)
Plusieurs adhérents de l’ASVPNF, informés de la démarche exemplaire en cours à Plovan, s’y étaient rendus pour visiter la classe-patrimoine . L’un d’entre eux, y ayant participé récemment à une « dictée-porteplume-encre violette en encrier » a proposé de mettre en ligne sur ce site le récit illustré de son expérience. Elle fut d’autant plus émouvante qu’elle lui rappelait sa scolarité primaire dans une des Ecoles publiques de hameau du Finistère, il y a près de 80 ans !
Les visiteurs pourront consulter , en cliquant ici, un fichier comportant :
1. Un texte introductif dévolu à la classe–patrimoine de Plovan,
2. La reproduction du texte de la dictée qui eut cours, le jeudi 4 août 2022, dans une classe bien garnie d’élèves de tous âges ,particulièrement attentifs et appliqués !
3. La représentation de la page de cahier d’écolier comportant, outre les « patés » traditionnels à l’encre violette, le rendu émaillé de( trop) de fautes d’orthographe, de la dictée de Bernard Pivot support de l’épreuve,
4. Un petit ensemble de photos réalisées sur place , insérées sur ce site avec l’accord de principe du Président de l’Association du Patrimoine de Plovan.
Que les collègues, retraités ou non, et autres amis de l’Ecole publique animateurs de la classe -patrimoine soient remerciés chaleureusement pour leur accueil et la qualité de leur engagement associatif et citoyen.
Pourquoi la Gauche française est-elle à la dérive ?
Les résultats des élections présidentielle et législatives de l’année 2022 en témoignent largement . En parallèle et c’est bien naturel, paraissent des ouvrages tentant de faire l’exégèse de ces déchéances coupables. Des éléments explicatifs pourraient résider dans l’effet boomerang provoqué soit par les gesticulations et actions d’ une “gauche” dressée contre les Lumières soit par celles d’ une gauche qui, trahissant le peuple de France , s’oppose au progrès et à la justice sociale. C’est ce qui ressort des recensions de tels ouvrages effectuées par Philippe Foussier et publiées dans Mezetulle, le bloc revue de Catherine Kintzler .
Comment, devant des réalités si préoccupantes, ne pas revenir à des principes fondateurs à cet égard tels qu’ils furent exprimés au début du 20è siècle par Jean Jaurès et d’en tirer le meilleur tant pour les nécessaires refondations du présent que pour celles de l’avenir ? . Jaurès indiquait entre autres :
– Tout recul et toute somnolence de la République a été une diminution ou une langueur de la Laïcité. (Jean Jaurès, discours de Castres, 30 juillet 1904)
– C’est à nous de fatiguer le doute du peuple par la persévérance de notre dévouement.
– La République doit être laïque et sociale mais restera laïque parce qu’elle aura su être sociale
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Dès 2020, Stéphanie Roza rapportait dans un des ouvrages cités dans cet article, des éléments nouveaux “pour analyser cette offensive considérable menée par la Gauche française ou ce qui est considéré comme la représentant contre l’héritage des Lumières, la raison, le progrès, l’universalisme, et même tout simplement l’humanisme. Pour sortir de cette logique, elle proposait de se ressourcer auprès de Jaurès, qui représente selon elle « la matrice idéologique la plus féconde pour affronter les problèmes de notre temps ». Quelle que soit la recette, si la gauche continue à s’éloigner des Lumières et a fortiori à les condamner, elle n’aura bientôt plus de gauche que le nom. Le triomphe de ses adversaires sera total.” (URL. https://www.mezetulle.fr/la-gauche-contre-les-lumieres-de-stephanie-roza-lu-par-p-foussier/« )
Dans ce contexte, au printemps 2022, on pouvait lire dans le quotidien La Croix : « Le principal problème de la gauche, c’est que les milieux populaires ne votent plus pour elle » ce quotidien rendant compte d’un entretien accordé par Rémi Lefebvre, professeur de science politique à Lille, bon connaisseur de la gauche française. À l’occasion de la sortie de son livre Faut-il désespérer de la gauche ? et à trois semaines du premier tour de l’élection présidentielle, il expliquait comment les responsables politiques de gauche n’ont pas su retrouver une place dans l’échiquier politique (URLhttps://www.la-croix.com/debats/le-principal-probleme-gauche-cest-milieux-populaires-votent-elle-2022-03-22-1201206321)
Il y note : « Quand Emmanuel Macron a moqué le « modèle amish » à propos de ceux qui refusaient le déploiement de la 5G, était-il si éloigné de la réalité ? La gauche n’aurait-elle pas bel et bien trahi le progrès, si cher à ses pères fondateurs ?Au fil de l’ouvrage, Renaud Dély dissèque la métamorphose d’un camp qui se détourne de ses idéaux et se fourvoie dans des combats hermétiques. Entre dérives identitaires, repli communautaire, rejet du patriotisme et conversion au catastrophisme, cette famille politique fondatrice de la République tourne le dos à l’avenir et se referme sur des certitudes désuètes, déconnectées du réel et de l’époque. L’indignation lui tient lieu de réflexion. Privilégiant l’invective et le sectarisme au dialogue et à la nuance, cette gauche de l’entre-soi exclut aujourd’hui tout, jusqu’à elle-même. La gauche en France n’est plus. Au lendemain de l’élection, il y a urgence à en mener l’autopsie, dans l’espoir de la voir un jour opérer son indispensable résurrection ».(URL.https://www.editionsobservatoire.com/content/Anatomie_dune_trahison)
La gauche dite de pouvoir (ou de gouvernement?) se serait-elle réfugiée dans le confort de l’irrationnel? C’est l’une des questions existentielles posées ; elle reste comme d’autres sans réponse. Pendant ce temps toutes les organisations de gauche s’étiolent abandonnant le peuple de France aux dérives les plus diverses, de mauvais augure pour le devenir de la république et de la justice sociale.
On peut ainsi lire dans Tribune juive,une analyse dévolue à l’ouvrage de Renaud Dély : » Pour comprendre la genèse de la crise idéologique que traverse la gauche française, à l’origine des ruptures et recompositions en cours. Comment elle s’est laissée peu à peu gouverner par l’émotion plutôt que par la raison, comment elle a cédé au règne de l’indignation et de l’excommunication, bref, comment la gauche, faute de pouvoir le changer, a tourné le dos au réel, par démission ou par illusion, pour se réfugier dans un confortable repli identitaire qui comble l’aspiration à la pureté idéologique d’un noyau militant, mais l’éloigne durablement du pouvoir. Une évolution qui vient de loin et s’achève par un tournant historique: l’effacement de la social-démocratie au profit d’une gauche radicale et souverainiste. »
(URL.tribunejuive.info/2022/05/07/renaud-dely-anatomie-dune-trahison-la-gauche-contre-le-progres/)
Les visiteurs de ce site pourront consulter en cliquant ici la recension de l’ouvrage de R. Dély lu par Philipe Foussier publiée dans Mezetulle le 10 juillet 2022 . Elle s’intitule :
Le livre de Renaud Dély « Anatomie d’une trahison. La gauche contre le progrès »
lu par
Philippe Foussier
« La gauche à la dérive »
Ils y pourront aussi prendre connaissance de la recension de l’ouvrage de Stéphanie Roza (2020) par le même auteur.
Que Catherine Kintzler soit sincèrement remerciée de nous autoriser ces nouveaux emprunts .
Résurrection du trio infernal trône, autel et sabre ou RUSSIE-UKRAINE : la religion dans la guerre
Sur le sujet d’actualité « Conflit ukrainien et religion » La Croix écrivait récemment : « Le conflit ukrainien, une guerre de religions ? Non, mais les éléments religieux ne sont pas absents. La Russie et l’Ukraine sont deux pays de culture orthodoxe, qui a pu être mise au service d’une rhétorique nationaliste. Entre le patriarche de Moscou, Kirill, proche de Poutine, et la nouvelle Église orthodoxe d’Ukraine, reconnue par le Patriarcat de Constantinople, la rivalité est moins théologique que nationale. »
URL : https://www.la-croix.com/Religion/conflit-ukrainien-religions-ukraine
On apprend par ailleurs dans MEDIAPART (28 mars 2022) que « Le 23 février, veille de l’invasion de l’Ukraine, Cyrille, patriarche de Moscou et de toutes les Russies, primat de l’Église orthodoxe russe, rend hommage à Vladimir Poutine, président de la fédération de Russie, lors de la fête du « Défenseur de la patrie ». Le 27 février, dans son homélie au Christ-Sauveur, Cyrille fustige les « forces du mal » qui veulent empêcher Vladimir Poutine de réaliser « l’unité de toutes les Russies ». C’est, pour les orthodoxes, le dimanche préludant le Carême, dit du Jugement dernier. Dès sa prise de fonction en 2009, Cyrille prône la symphōnía: accord, concorde entre l’Eglise et l’Etat. Jean-François Colosimo, auteur notamment de « L’apocalypse russe. Dieu au pays de Dostoïevski », rappelle ces faits dans le journal « La Croix ».
On découvre cependant dans la même publication que « La Russie est un pays officiellement laïque. Selon l’article 14 de la Constitution de Russie promulguée en 1993 la Fédération de Russie est un Etat laïque. Aucune religion ne peut être instaurée en qualité de religion d’Etat ou obligatoire. Les associations religieuses sont séparées de l’Etat et sont égales devant la loi ». “L’enseignement est laïque dans les écoles d’État et municipales. La loi de 2012 sur l’enseignement obligatoire de la religion à l’école est censée imposer un enseignement objectif et non prosélyte. La religion orthodoxe est néanmoins présentée comme une composante indissociable de l’identité nationale. En 2013 la loi sur l’offense aux sentiments religieux entre en vigueur. Cf. l’URL : https://blogs.mediapart.fr/edition/laicite/article/280322/russie-ukraine-la-religion-dans-la-guerre
On peut également lire dans COURRIER INTERNATIONAL que « L’Église orthodoxe se déchire sur la guerre en Ukraine :L’invasion de l’Ukraine par la Russie a renforcé le schisme entre le patriarcat de Moscou et celui de Constantinople. On se propose de rompre tout lien avec Moscou ayant compris que le patriarcat de Moscou ne s’intéressait pas à la théologie, qu’il ne se préoccupait que de soutenir l’idéologie de l’État. On y relève aussi une position intenable pour les fidèles puisque « La guerre en Ukraine dresse les uns contre les autres des combattants qui reconnaissent l’autorité du patriarche de Moscou et met les fidèles ukrainiens dans une position particulièrement intenable.La tradition, en effet, veut que les chrétiens orthodoxes prient pour leur patriarche lors de tous les offices. “Comment pouvez-vous accepter de dire des prières pour le patriarche qui bénit les soldats qui tentent de tuer votre fils ?” .
Cf. l’URL : https://www.courrierinternational.com/article/religion-l-eglise-orthodoxe-se-dechire-sur-la-guerre-en-ukraine
Notons enfin, la matière est inépuisable, que selon Le Monde du 4 mars 2022 :« L’Ukraine catalyse une crise au sein du monde orthodoxe entre Moscou et Constantinople . La guerre menée par la Russie en Ukraine est aussi religieuse, analyse l’historien Antoine Arjakovsky, qui explique comment ce conflit oppose le patriarche de Moscou, devenu idéologue de l’impérialisme du Kremlin, à une Eglise orthodoxe d’Ukraine qui s’est émancipée de la tutelle russe en 2019. »Cf. l’URL : https://www.lemonde.fr/le-monde-des-religions/article/2022/03/04/l-ukraine-catalyse-une-crise-au-sein-du-monde-orthodoxe-entre-moscou-et–constantinople_6116091_6038514.html
On devine ainsi, sans ambage, que dans cette guerre –il faut l’appeler par son nom- on n’en est plus au stade des fantasmes de l’alliance du trône et de l’autel telle qu’elle fut stigmatisée et combattue en d’autre lieux et en d’autres temps et qu’il en est vraisemblablement de même pour l’union du sabre et du goupillon . C’est en partant de ce constat d’un nouveau triomphe de l’obscurantisme à nos portes et de toutes les souffrances qu’il entraîne qu’il paraissait opportun de mettre en ligne sur ce site deux articles parus récemment dans Ufal INFO n° 88 ( 1er trimestre 2022) dévolus au rôle de la religion dans la guerre et à l’alliance avérée qu’elle entretient avec le nationalisme, à l’origine d’un conflit fratricide.
Compte tenu de nos engagements laïques et de notre combat contre tous les cléricalismes nous proposons à l’instar de Nicolas Pomiès , Editeur en chef d’Ufal INFO, de “répandre notre vision matérialiste, laïque, démocratique de l’humanisme des lumières-celui qui transcende par la Raison les vieilles divisions ethniques et religieuses”. Au même titre, nous reprenons aussi à notre compte cette citation de Léon Bourgeois:”pas d’harmonie sans l’ordre, pas d’ordre sans la paix, pas de paix sans la liberté, pas de liberté sans la justice” .
Les visiteurs intéressés pourront consulter les deux articles en question associés en un seul fichier en cliquant ici.
Il est intitulé :
Les dossiers d’Ufal INFO (3)
Russie–Ukraine
Quelle est la place de la religion dans la guerre?
Nous remercions Ufal INFO de nous avoir autorisé à reproduire les deux articles de façon à les représenter sur ce site.