« L’information comme bien public  » Journée mondiale de la Liberté de la Presse 3 mai 2021

La liberté de la presse est l’un des principes fondamentaux des systèmes démocratiques qui repose sur la liberté d’opinion et la liberté d’expression ( Wikipedia)

Cette année, le thème retenu pour célébrer la Journée mondiale de la liberté de la presse, « L’information comme bien public », souligne la valeur incontestable d’une information vérifiée et fiable. Il appelle l’attention sur le rôle essentiel que jouent les journalistes libres et professionnels dans la production et la diffusion de ces informations, luttant contre les fausses informations et autres contenus préjudiciables.

EN DÉFENDANT CETTE NOTION, LA JOURNÉE MONDIALE AFFIRME L’IMPORTANCE DE DÉFENDRE L’INFORMATION COMME UN BIEN PUBLIC, SOUHAITE EXPLORER CE QUI PEUT ÊTRE FAIT DANS LA PRODUCTION, LA DISTRIBUTION ET LA RÉCEPTION DE CONTENUS POUR RENFORCER LE JOURNALISME ET FAIRE PROGRESSER LA TRANSPARENCE ET L’AUTONOMISATION TOUT EN NE LAISSANT PERSONNE DE CÔTÉ. LE THÈME DE LA JOURNÉE MONDIALE EST D’UNE PERTINENCE PARTICULIÈRE POUR TOUS LES PAYS DU MONDE CAR IL PREND EN COMPTE L’ÉVOLUTION D’UN SYSTÈME DE COMMUNICATIONS QUI A UN IMPACT SUR NOTRE SANTÉ, LES DROITS DE L’HOMME, LES DÉMOCRATIES ET LE DÉVELOPPEMENT DURABLE.

La Journée mondiale de la liberté de la presse 2021 mettra notamment en évidence trois impératifs: 

      Des mesures pour assurer la viabilité économique des médias d’information ;

      Des mécanismes pour assurer la transparence des sociétés Internet ;

    Le renforcement de l’éducation aux médias et à l’information qui  permet au public de reconnaître et de valoriser (ainsi que de le défendre et de l’exiger) le journalisme en tant qu’élément essentiel de l’information, elle-même considérée comme un bien public (d’après Audrey Azoulay, Directrice générale de l’ UNESCO).

 Il est rappelé que  la Journée mondiale de la liberté de la presse trouve son origine dans la conférence de l’UNESCO à Windhoek* en 1991. L’événement s’est terminé, le 3 mai 1991, par l’adoption de la Déclaration de Windhoek pour le développement d’une presse libre, indépendante et pluraliste.

*Windhoek : Capitale de la NAMIBIE depuis son indépendance en 1990.

 Les visiteurs  intéressés pourront se documenter  à :

https://fr.unesco.org/commemorations/worldpressfreedomday

 
En France l’exercice de cette liberté fondamentale  est  inscrit depuis 1789 dans l’article 11 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen.Cependant jusqu’à l’avènement de la 3è République, tous les régimes – même quand ils proclamaient la liberté d’expression- cherchaient à mettre la presse en tutelle par des dispositions d’ordre fiscal, financier, administratif, législatif ou judiciaire. Les gouvernements successifs oscillaient entre indulgence et sévérité, soumettant la presse à un régime préventif (autorisation préalable, déclaration obligatoire, droit de timbre, dépôt d’un cautionnement, censure) ou répressif.
La 3è République consacra la liberté de la presse avec la Loi du 29 juillet 1881. La presse  connut  son âge d’or à cette période.  On notera  pour mémoire que ladite Loi  stipule : 

Article premier

L’imprimerie et la librairie sont libres.

 Article 5

Tout journal ou écrit périodique peut être publié, sans autorisation préalable et sans dépôt de cautionnement, après la déclaration prescrite par l’article 7…

 On pourra consulter le texte complet de cette loi fondatrice à l’adresse:
 
                  https://mjp.univ-perp.fr/france/1881presse.htm

 

  On  soulignera enfin  que le régime de Vichy ne manqua pas de dénaturer cette Loi…

SEMAINE MONDIALE DE L’EDUCATION (26-30 avril 2021)

A l’instar de Solidarité laïque,  ASVPNF considère  que  le traitement de la crise mondiale de l’éducation aggravée par la pandémie de la Covid-19  devrait être une priorité absolue.

Selon  Solidarité Laïque Info  du 26 avril 2021, en tant que membre de la Campagne Mondiale pour l’Éducation cette Association*  veut alerter sur les conséquences à long terme de la pandémie de la Covid-19 sur l’éducation dans le monde, sur le développement socio-économique de certains pays, et les risques certains pour les générations à venir.

La crise sanitaire a largement amplifié la crise éducative mondiale, éloignant des bancs de l’école plus d’un milliard de personnes. On estime à 1,5 milliard le nombre de personnes ayant cette année perdu l’accès à l’apprentissage ou étant en situation d’incertitude sur leur éducation.  Cette Semaine d’action appelle à se  mobiliser pour le  “Un milliard de voix pour l’éducation” (d’après Solidarité Laïque Info).

 Les visiteurs interpellés pourront prendre connaissance du  plaidoyer de Solidarité laïque publié le 26 avril 2021  en suivant le lien  :

 https://www.solidarite-laique.org/je-milite/avec-la-pandemie-la-crise-mondiale-de-leducation-doit-etre-notre-priorite/

* Il est rappelé que  Solidarité Laïque est  un collectif de 48 organisations  liées à l’école publique, à l’éducation populaire et à l’économie sociale et solidaire. Elle est reconnue d’utilité publique et bénéficie du label « Don en confiance « .

Honorer l’histoire tragique du peuple Arménien. Le communiqué président des Etats-Unis du du 24 avril 2021 sur la reconnaissance du génocide des Arméniens par les ottomans.

Cette décision historique, portée par Joe Biden et  immédiatement dénoncée par Ankara, rompt avec des décennies de déclarations prudentes de la Maison Blanche… (D’après Le Monde , 24 avril 2021).
 
Il est rappelé que : « Le génocide arménien, ou plus précisément le génocide des Arméniens par les ottomans fut organisé par le gouvernement turc dirigé par le parti des  « Jeunes-Turcs » (Comité Union et Progrès) et perpétré d’avril 1915 à juillet 1916, voire 1921. Près de 1,2 millions d’Arméniens qui vivaient alors sur le territoire actuel de la Turquie et y constituaient une minorité ethnique chrétienne périrent du fait de déportations, de famines et de  massacres de grande ampleur » (d’après Wikipedia ).
 
Les visiteurs pourront consulter, en en cliquant ici, la traduction intégrale  de la déclaration historique du président des USA à ce propos , telle que rapportée dans le journal Le Monde . 
 
Elle appelle notamment  à un « monde non souillé par les maux quotidiens du sectarisme et de l’intolérance, où les droits de l’homme sont respectés et où chacun peut vivre sa vie dans la dignité et la sécurité », c’est-à-dire en clair à un monde  où l’on se conforme aux principes-mêmes de la laïcité ! 

« Etats généraux » de la Laïcité… Trop de questions sans réponse !

L’ASVPNF a déjà communiqué à ce propos sur ce site. 
 
                       Pourquoi cette expression chargée d’histoire ? 
     
                             Pourquoi maintenant ?   
 
                                      Pour quoi faire et comment ? 

 

      « Suite à l’annonce le 20 avril des États Généraux de la Laïcité par la ministre déléguée chargée de la citoyenneté Marlène SchiappaSolidarité Laïque ainsi que de nombreuses autres organisations alertent sur la tenue de ces États Généraux ».

     Ceci donne lieu à un communiqué que nous reprenons à notre compte. Les visiteurs pourront le consulter en cliquant ici.

    On conviendra  avec ces pétitionnaires que “ la laïcité qui  permet de construire  un équilibre toujours fragile entre le respect de la diversité et la nécessité de l’unité doit nous rassembler. C’est l’esprit des grandes lois laïques qui garantissent à la fois l’égalité entre tous les citoyens et nos libertés fondamentales. Pour que notre République demeure indivisible et qu’elle puisse combattre ceux qui s’en prennent à ses valeurs, il faut qu’elle soit laïque, démocratique et sociale. » (D’après Solidarité Laïque Infos,  22 avril 2021).

Pour le moral des détracteurs d’états généraux de la laïcité réunis à contretemps: « Le bêtisier laïco-sceptique »

Les expériences  et observations récentes, révèlent de façon implacable que l’on ne qualifie pas , pas plus que l’on  instrumentalise à des fins politiciennes les principes intangibles de laïcité de notre République et  de ses institutions .

Quoi qu’il en soit  et devant  les circonstances critiques présentes  il est salutaire  de  découvrir la publication aux Editions Minerve  de  ce manuel de survie en temps de polémiques, particulièrement recommandé aux défenseurs  de la laïcité. Ecrit par Renée Fregosi, Nathalie Heinich, Virginie Tournay et  JeanPierre Sakoun et illustré par Xavier Gorce, il  contribue  à remettre-dans la bonne humeur-la laïcité à sa place au centre de notre République  et à révéler  à ses détracteurs qu’elle reste le socle de nos libertés et de l’exercice de la fraternité.

Cette publication a fait l’objet d’une « entrée » dans le Blog-revue  Mezetulle de Catherine Kintzler , “entrée” que nous reproduisons sur ce site. Les visiteurs intéressés pourront la consulter en cliquant ici .

Que Catherine Kintzler soit remerciée d’avoir autorisé ce nouvel emprunt . 
 

La question de confiance de Pour la Science (2021, 522)

Dans la « Chronique de Virginie Tournay « parue récemment dans ce périodique  on découvre à ce propos un article intitulé  :  « Le vaccin, la mort et le politique ».  Cf. https://www.pourlascience.fr/auteur/virginie-tournay   

       

             Les visiteurs intéressés par cette question d’actualité, suscitée par la mise en oeuvre d’une politique vaccinale contre la pandémie de  Covid-19 en cours depuis plus d’un an, pourront  consulter, en cliquant ici, l’article de cette auteure.

       Ils s’apercevront qu’au pays de Descartes les incertitudes « non structurées » prédominent en la matière et que le » refus vaccinal est lié à la façon dont le citoyen voit sa place dans la société« .  Ils pourront aussi constater que les « réfractaires à la vaccination sont ceux qui font le moins confiance aux pouvoirs publics ». 

              Quoi qu’il en soit l’évolution positive  de notre santé dépend, pour une grande part de l’acceptation de cette pratique  qui devrait, à terme et en cas de succès, conduire à une immunité collective protectrice faisant  face au Sars-CoV-2 et ses souches variantes .

   Que Cécile Lestienne, directrice des rédactions à Pour La Science et Virginie Tournay  soient remerciées de nous avoir autorisé à reproduire l’article en question de façon à le mettre en ligne ici.   

L’annonce de la tenue inopinée d’ états généraux de la laïcité par le Journal du Dimanche le 18 avril 2021. Communiqué de l’ASVPNF

L’ASVPNF, Association pour la Sauvegarde et la Valorisation du Patrimoine Normalien du Finistère, ayant pour objet la défense de l’école publique  en tant  qu’institution républicaine laïque  a pris connaissance  inopinément de l’ouverture le mardi 20 avril 2021  d’Etats généraux (???) de la Laïcité.  
 
Lesdits états généraux comporteraient   » une consultation de 50 000 jeunes et un cycle de tables rondes consacrées, entre autres, à la citoyenneté et la liberté d’expression  et constitueraient  le coup d’envoi d’une vaste offensive politique et intellectuelle sur la laïcité« . 

L’ASVPNF considère que la démarche envisagée,  intervenant  a posteriori alors qu’un  texte de projet de loi  à ce propos se trouve en cours  d’examen  par les parlementaires de la République,  est totalement inopportune .  

Elle relève d’une opération de communication  dont l’objet premier reste à établir dans les circonstances critiques que nous traversons.  

Elle paraît de nature  à  perturber  la sérénité de débats législatifs  dont les attendus étaient, pour le principal,  déjà inclus dans la Loi de Séparation de 1905.  

Il suffisait donc de prendre les moyens  de la faire appliquer avec toute la rigueur nécessaire sur l’ensemble du territoire de la République » 

La pandémie due au Sars-CoV-2, révélatrice des maux de notre société.

 Notre société fracturée est confrontée à une fâcheuse maladie. Le philosophe et sociologue Jean-Pierre Le Goff ,dans un ouvrage récemment publié chez Stock( » Les symptômes d’une société malade ») , en  a dressé la symptomatologie.  Elle intègre notamment la fracture  entre société et pouvoir politique, le  discrédit de l’autorité politique  et la désorientation de la société. Ces  terrains  sont propices à la propagation de démagogies et d’idéologies rétrogrades, de théories complotistes et de discours catastrophistes. Ils sont  largement alimentés par la propension à propager l’irrationnel au sein  de ce qui  pourrait s’appeler une « bulle  langagière et communicationnelle ».

 

         Selon le philosophe, la thérapie  résulterait , au moins pour une part, de la  capacité de nos institutions  à  promouvoir  l’éducation populaire et citoyenne en agissant sur trois volets : le développement de l’esprit critique, le partage du patrimoine culturel et la formation d’élites  issues du peuple.

 

         Les visiteurs  pourront consulter, en cliquant ici, un document  relatif à l’entretien que le philosophe à accordé à ce propos à   Philippe Foussier. Les propos correspondants, mis en ligne dans la Lettre de Mezetulle du  13 avril 2021, sont  accessibles à l’URL suivante:

 

                        

              https://www.mezetulle.fr/les-symptomes-dune-societe-malade-entretien-avec-jean-pierre-le-goff/ »

            Que Catherine Kintzler qui nous a autorisé  à  représenter cette nouvelle contribution publiée sur son Blog-revue en soit chaleureusement remerciée

Des outils précieux pour comprendre et pour défendre la laïcité à la française au moment où elle est attaquée de toutes parts !

Il s’agit:

 

          1.  Du numéro  hors série n°2 de Marianne publié le 4 mars 2021. « Entièrement consacré à la laïcité, principe vital de la République française. La laïcité se trouve au cœur des enjeux contemporains. De l’attentat contre Charlie à l’assassinat de Samuel Paty, elle affronte une violence sans précédent, depuis son inscription dans la Constitution en 1946. Or la laïcité n’est pas réductible aux lois qui régissent les relations des cultes et de l’État. Elle fonde l’organisation même de la société française, depuis la proclamation de l’égalité des citoyens, en 1789, et l’établissement de l’état civil, en 1792. Ce que Victor Hugo résume d’un mot fameux : « Je veux l’État laïque, purement laïque, exclusivement laïque. » (d’après Guy Konopnicki, 2021).  Les visiteurs pourront le retrouver à :

 

                              https://www.marianne.net/societe/laicite-et-religions/qui-veut-la-mort-de-la-laicite-francaise-decouvrez-le-nouveau-hors-serie-de-marianne

 
 
 

 

 

         2. Du florilège des actions souvent contestées  des deux  responsables de l’Observatoire de la laïcité, au moment où il est mis fin à leurs mandats et où ledit observatoire  risque de disparaître. Présenté et  mis en forme par   Hadrien Brachet il a été publié  par Marianne le 5 avril 2021 sous l’intitulé : “Laïcité et religions”. Il est accessible  via le lien :

 

 

                                    https://www.marianne.net/societe/laicite-et-religions

Sur les publications récentes de Catherine Kintzler dévolues à la laïcité.

Principe de séparation dans l’État de la société civile et de la société religieuse, la laïcité  représente l’ensemble des fondements constitutionnels déterminant  la place des religions dans la société et ses institutions. Elle représente aussi un  choix citoyen émancipateur , un magnifique idéal à proposer à le jeunesse de France et demeure sans conteste  le fondement même de l’organisation de la société française.

        Sur le plan juridique, elle constitue un principe constitutionnel qui sépare le pouvoir politique du pouvoir spirituel  de toutes  les organisations religieuses sans exception. La loi de la République, neutre vis-à-vis des religions, garantit la liberté de culte tant que leurs manifestations respectent l’ordre public. Elle  proclame la liberté de conscience et assure le pluralisme des organisations religieuses.

        Ce principe, constitutif de l’égalité républicaine, est résumé par la formule suivante : « La République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte » et s’applique sur tout le territoire de la République réputée une et indivisible.

     Cependant l’Alsace-Moselle et certains territoires ultramarins bénéficient à cet égard  d’un statut dérogatoire d’origine concordataire et cette situation  peut   donner lieu  à la pratique d’une “nouvelle démocratie citoyenne” par certains édiles locaux –  sans doute mal informés de l’ histoire de leur pays.  

    Sous ce vocable fallacieux l’on peut notamment être tenté d’utiliser  les deniers publics pour subventionner  la construction  de  nouveaux édifices cultuels . Fidèles aux principes intangibles de la laïcité républicaine un certain nombre de medias – à qui nous rendons hommage- n’ont pas manqué de stigmatiser de telles démarches antirépublicaines .       

       Sur le plan  politique et philosophique, la laïcité peut également désigner une volonté d’empêcher l’emprise d’une confession sur la société, en assurant, outre la neutralité de l’Etat, le cantonnement des évènements religieux à la sphère privée

         Jusqu’au début du 20è siécle, l’idée de laïcité représentait avant tout,en pratique, la volonté de réduire l’influence de l’église catholique  sur les institutions, cette influence étant identifiée comme une menace majeure pour les valeurs républicaines. Depuis, les valeurs attachées au principe de laïcité ont été et se trouvent confrontées à des doctrines radicales d’origines diverses et non liées au catholicisme traditionnel. Il peut s’agir d’idéologies totalitaires, de phénomènes sectaires ou de fondamentalisme religieux. Ainsi  la laïcité et sa pratique  s’inscrivent de nos jours dans une perspective beaucoup plus complexe. (d’après  Wikipedia https://fr.wikipedia.org/wiki/La%C3%AFcit%C3%A9_en_France)

 

       «Aujourd’hui, la laïcité se définit par deux grandes idées : l’autonomie du sujet et la neutralité de l’État, explique Philippe Portier, directeur du groupe Sociétés, Religions, Laïcités / Unité CNRS-EPHE. La première est fondée sur la liberté de conscience et d’opinion, autrement dit sur la capacité de construire son existence indépendamment de l’ordre de Dieu, la seconde sur une extériorisation de l’État vis-à-vis de toute conception religieuse du monde. » (https://lejournal.cnrs.fr/articles/aux-sources-de-la-laicite-en-france)

         On rappellera aussi à cet égard et parmi d’autres,  le propos éclairant de Henri  Pena-Ruiz   : “née de l’idéal républicain universaliste, la laïcité de l’Etat  assure la liberté des croyants comme  celle des incroyants, elle privilégie le bien  commun sur les facteurs de division “

 

       Les principes  mêmes  d’organisation et de fonctionnement de nos institutions donnent lieu, dans les circonstances critiques que nous traversons présentement, à des publications nombreuses et variées. On en  vient notamment  à s’indigner , dans certains  organes de presse, de la nature et du  sens des démarches  de ceux qui “veulent la mort de la laïcité française “  et de considérer que pour mieux les combattre il est nécessaire de bien les connaître.

          Les lecteurs  intéressés par des questions aussi essentielles  et  souhaitant leur   trouver des éléments de réponse   pourront accéder à des textes  écrits par  la philosophe de la laïcité Catherine Kintzler  et publiés récemment dans la presse en ligne ou écrite. Il s’agit de   :

 

1.« Défis de la laïcité, défis à la laïcité », entretien avec Adel Mtimet sur le site Arwiqa-portiques. 22 mars 2021

2.« Réflexions sur l’expression ‘Intégrisme laïque », dans Marianne ,hors-série; Qui veut la mort de la laïcité française ?. 3 mars 2021 

 3.« La dualité du régime laïque »,  dans Le Droit de Vivre ; La laïcité, what else ?, mars 2021. 

        Ils pourront en prendre connaissance  via l’URL :

                 https://www.mezetulle.fr/quelques-publications-recentes-ck-sur-la-laicite/

       Que Catherine Kintzler soit remerciée de nous avoir autorisé à insérer  ici  l’annonce de ses nouvelles  contributions  publiées dans  le Blog-revue de Mezetulle le 26 mars 2021.