Le 150è anniversaire de la Commune de Paris (18 mars 1871-28 mai 1871)

 Il s’agit de célébrer cet évènement révolutionnaire fondateur, le gouvernement insurrectionnel qui en résulta  et ses acquis émancipateurs ainsi que  la mémoire  des 27000 communards massacrés par l’armée versaillaise dite de l’ordre. 

       On trouvera  ici des éléments  concernant  son déroulement et  sa fin tragique en guerre civile  associés à  ceux ayant trait  à la fin d’une  guerre impériale perdue face aux Prussiens, à la chute  du  second empire et à  la proclamation de la  3è République.  

      Il s’agit aussi, puisqu’il est avéré que l’Ecole est, et se fait, à l’image de la société qui la porte, de mentionner quelques unes des contributions de la Commune à cet égard  et notamment  en matière de laïcité. 

      Comment ne pas rappeler en effet que, dès le «  2 avril 1871, soit moins d’une semaine après la proclamation de la Commune, alors que des combats font rage à Courbevoie et Neuilly, est promulgué un décret portant sur la séparation de l’Eglise et de l’Etat. Le décret voté à l’unanimité stipule :  Article 1 : L’Eglise est séparée de l’Etat. Article 2 : Le budget des cultes est supprimé. Article 3 : Les biens dits de mainmorte, appartenant aux congrégations religieuses, sont déclarés propriété nationale. Article 4 : Une enquête sera faite immédiatement pour en constater la nature et les mettre à la disposition de la nation ».

     Par ailleurs  il sera présenté un certain nombre de données extraites de la presse de l’époque révélant  les nouvelles, dépêches et correspondances relatives à l’Insurrection telles  qu’elles parvenaient à l’époque au fin fond du département du Finistère, empreintes à l’évidence  des choix politiques du journal  lui-même et de son  correspondant parisien. S’agissant de la presse ancienne numérisée seul un trihebdomadaire  « couvrait » les évènements ce qui en restreint la portée … Il a cependant le mérite d’exister, d’être accessible et de révéler, 150 ans après la Commune,  le contenu et le sens de l’information  rendue disponible à l’époque dans des circonstances exceptionnelles telle qu’elle pouvait façonner  l’opinion publique et pour commencer celle de ses lecteurs…

    Cependant les lecteurs auront aussi accès à des informations du temps présent notamment  concernant la présentation  étonnante en 2020  de  la mémoire  du sacrifice des communards  via le classement d’un monument parisien dédié  aux partisans de l’ordre et autres cléricaux versaillais…

      Au total, les visiteurs de ce site pourront consulter, à ce propos,  six documents listés ci-dessous  (en cliquant sur les annonces  en bleu des documents) :

           Document 1. Extrait de  la présentation du Centenaire de la Commune de 1871.

           Document 2 . Eléments d’histoire de la Commune .

           Document 3 . La Commune et l’Ecole.

           Document 4 . Le Sacré-Coeur de la honte classé « monument historique « .

           Document 5 .  Echos de la Commune dans  la presse ancienne du Finistère.

           Document 6.  Caricatures de Pilotell relatives à la Commune .

Yvon Hervé, hussard noir de la fraternité et du bien public !

         Maintenant avec pugnacité son implication dans la gestion des collectivités locales après une  brillante carrière d’instituteur public , Yvon Hervé nous livre ses réflexions sur le sens de ses expériences professionnelles et humaines  toutes dédiées à l’éducation populaire , à  la justice sociale et au bien public, dans un ouvrage qu’il a récemment fait paraître.
 
           De son bref séjour à l’Ecole normale d’Instituteurs de Quimper, il retira des leçons fondatrices et entres autres, qu’il devait être le guide intellectuel, moral et social de sa collectivité d’exercice. Ce  précepte, mis en application sans faiblesse,   n’a cessé de donner du sens à son  cursus exemplaire.  
 
         Que son exemple soit médité par les jeunes générations de maîtres d’école devenues celles des professeurs…
 
          Les visiteurs intéressés par cet itinéraire singulier  d’instituteur-éducateur et d’acteur engagé  de la vie publique pourront consulter trois documents   en cliquant successivement sur les items notifiés ci-dessous en bleu :
 
              Document 1 :  Texte de présentation générale de l’ouvrage dédié aux Hussards de la République.
 
              Document 2 :  Reproduction de la première de couverture de l’ouvrage. 
 
              Document 3 : Reproduction  de la quatrième de couverture de l’ouvrage .
 
        Que Yvon Hervé soit chaleureusement remercié ne nous avoir autorisé  à reproduire, afin de les représenter sur ce site, des éléments emblématiques de son livre .   

Quand le Tirailleur du Citoyen défendait ses Idoles !

L’histoire républicaine de la laïcisation de l’école publique et des autres institutions  ne s’arrêta pas, comme par enchantement, suite au vote de la Loi de Séparation de 1905. Ainsi,  suite à la Grande Guerre et à l’union sacrée  qui s’en suivit, la laïcité  fut de nouveau attaquée de manière frontale  par  l’église catholique dès  la victoire électorale du Cartel des Gauches en 1924. (cf.

Les illusions de la victoire en France

www.cndp.fr › jean-zay › frise › fiches › 06_illusion_v..
           En effet l’Assemblée  des Cardinaux et des Archevêques de France adopta, le 10 mars 1925, une déclaration solennelle qui « condamnait l’idée même de laïcité » et  prônait « les mesures à prendre pour la combattre « . Ladite assemblée considérait que les lois de laïcité votées depuis l’avènement de la 3è République substituaient  au « vrai Dieu » des « idoles » parmi lesquelles on citait  la liberté , la solidarité, l’humanité et la science…Les visiteurs pourront  prendre connaissance  du contenu de cette déclaration en consultant le document 1.
 
         C’est dans ce contexte particulier que Gorges Le Bail, fondateur et  rédacteur- en – chef  du Citoyen , hebdomadaire  finistérien de concentration républicaine, ouvrit dans son journal une chronique intitulée :
 
    « En tirailleur ; le culte des idoles ». 
 
       Entretenue avec beaucoup d’humour et de lucidité, pendant plusieurs semaines, elle donna lieu à un ensemble d’articles qui, transcrits de la presse ancienne numérisée,  ont été réunis en un document unique selon leur ordre d’apparition. Les visiteurs pourront le consulter (document 2)  .
                Document 1. Texte de la déclaration sur les lois dites de laïcité et les mesures à prendre pour les combattre.
 
                Document 2 .  En tirailleur: le culte des idoles.

 » L’avenir d’une désillusion : l’État et la République »

Sur le livre de Pierre Birnbaum « La Leçon de Vichy – Une histoire personnelle » 
(Seuil, 2019)
par 
Sabine Prokhoris, le 23 janvier 2021

 

            Les visiteurs intéressés par l’histoire du devenir de la République française et de celle de ses institutions pourront consulter, en suivant le lien proposé , l’analyse de l’ouvrage de Pierre Birnbaum  (2019) par Sabine Prokhoris , analyse parue dans  Mezetulle  le 25 février 2021.

 
  

           URL : https://www.mezetulle.fr/lavenir-dune-desillusion-letat-et-la-republique/
 
           A ce propos , C. Kintzler  souligne dans son Blog-revue que   :   « L’ouvrage de Pierre Birnbaum La Leçon de Vichy – Une histoire personnelle (Seuil, 2019) est l’occasion pour Sabine Prokhoris de méditer sur la « rupture » qu’il introduit dans le travail de son auteur, historien-sociologue de l’État. Elle souligne la remise en question de la position méthodologique d’un chercheur qui se voulait détaché de toute contingence personnelle, mais aussi celle de nombre d’aspects de la théorie  de l’État qu’il a précédemment élaborée. Cette rupture n’est pas un reniement. C’est par le nœud de l’histoire intime et de l’histoire collective que la question est posée : « comment penser à nouveaux frais les liens, auparavant vus comme consubstantiels en France, de l’État et de la République ? ».
 
         Catherine Kintzler nous a autorisé à reproduire et représenter cette contribution : qu’elle en soit cordialement remerciée.

Pour le Professeur maîtriser sa discipline reste le fondement de sa pédagogie et de son autorité !

Ce principe qui  fut pendant longtemps une évidence ne semble plus l’être, si l’on fait référence  aux nouvelles épreuves de l’examen donnant accès au CAPES…
 
           Les visiteurs pourront s’en  persuader  en consultant l’article récent de  Guillaume Pigeard de Gurbert intitulé  :
 
 « L’Éducation nationale ne recrute plus; elle embauche « 
 
          paru dans Mezetulle, le Blog-revue de  Catherine Kintzler, le 25 février 2021.  
         Il en ressort que : »Sourd aux nombreuses critiques et protestations, le Ministère de l’Éducation nationale impose une réforme du CAPES qui s’inscrit dans la ligne des précédentes. Instituant ouvertement le déclassement des professeurs en les livrant au caporalisme, elle confirme une politique scolaire qui depuis longtemps s’acharne à réduire la place du savoir. Guillaume Pigeard de Gurbert en analyse ici les contradictions. »
          Les visiteurs pourront accéder au document mentionné en suivant le lien : 
 
        https://www.mezetulle.fr/leducation-nationale-ne-recrute-plus-elle-embauche/
 
        
        Que Catherine  Kintzler soit remerciée de nous autoriser à en  faire mention  sur ce site.
 

Enseigner les faits religieux et leur réfutation à l’école publique laïque en 2022.

Par les temps présents, une telle pratique pédagogique  est présentée, notamment dans les medias, comme relevant d’une gageure… lorsqu’elle n’est pas occultée par certains de ceux qui en ont la charge, par l’exercice d’une autocensure.   Et pourtant  dans notre école publique républicaine la laïcité est la règle intangible depuis 1886 tant pour le contenu de l’enseignement que pour le personnel enseignant.   

          Pourquoi faut-il en rappeler  l’urgence ?  S’agit-il  de relancer l’enseignement du fait religieux –ou des faits religieux- à l’école ou l’enseignement laïque des faits religieux ou encore l’enseignement du fait religieux à l’école laïque ? On pourrait y ajouter pour tenter de nommer les « choses » … l’enseignement des faits religieux dans les écoles privées, confessionnelles ou pas sans compter l’enseignement du fait religieux -défi pour la laïcité- et leurs réciproques que l’on oublie très généralement   de mentionner. 

 

      Pour éviter de retomber dans un  florilège d’expressions masquant des assertions différentes faut-il rappeler que ce rappel à l’ordre des autorités académiques ne fait que reprendre  « ce qui a toujours figuré dans les programmes et confié au jugement éclairé des professeurs des disciplines critiques  » (C. Kintzler, 2021 )? S’agirait-il tout simplement  d’une incitation forte à éduquer à la laïcité et à la liberté de conscience, à la tolérance et à la fraternité qu’ elle implique ?

        Les  visiteurs intéressés dont invités à consulter, en cliquant ici un article  fondateur de Catherine Kintzler faisant suite à la parution de l’ouvrage d’Aline Girard paru dans  la Lettre de Mezetulle du 1er mars 2021. Il est  intitulé :

 

« Enseigner le fait religieux à l’école : une erreur politique ? »,

sur le livre d’Aline Girard ( Minerve, 2021)

     On pourra ainsi se rendre compte qu’il ne s’agit pas  d’enseigner la laïcité parallèlement au(x) fait(s) religieux ou plus simplement de relier  enseignement et fait religieux… Il s’agit bien  dans le cadre institutionnel  de  l’école publique de rappeler sans faiblesse ni concession  que l’urgence laïque est effectivement de réinstituer l’école. Il  revient alors  à celle-ci  de s’interroger sur la place que doit occuper le fait religieux dans la pédagogie de la laïcité et de considérer en toute objectivité que les religions  sont des objets d’études historique, sociologique, philosophique sans compter leur intérêt comme  sources d’inspiration artistique. Il lui revient aussi, en toute impartialité de faire référence à l’irréligieux  voire à l’areligieux en affirmant que ces « faits »  donnent également accès à la spiritualité et aux questions métaphysiques. 

        En toutes situations, la probité scientifique est requise  pour enseigner  les faits religieux  selon une approche laïque.  Et pour revenir aux fondamentaux ne faut-il pas, en toute humilité, rappeler le propos fondateur  tenu par Ferdinand Buisson à cet égard dès 1911  : 
 
            Il conserve une pleine actualité !

      Que Catherine Kintzler soit chaleureusement remerciée de nous avoir autorisé à reproduire son article de façon à le représenter sur ce site.

Professeur de philosophie à l’ Ecole normale d’Instituteurs de Quimper, philosophe de la sociologie du sport : MICHEL BOUET.

M.  Bouet (1920-1995) est rarement cité dans les rubriques de ce site. Cette insertion a pour objet de combler cette lacune en  faisant appel, il est vrai, à des éléments représentatifs d’un parcours hors normes plus spécifiquement  inscrit à l’Université de Rennes 2 où il devint professeur des Universités qu’à l’Ecole normale de Quimper. Ses activités vélivoles qui  retiennent aussi l’attention  lui faisaient dire   : « le vol à voile n’a pas été toute ma vie, mais ça a peut-être été le tout de ma vie ».  C’est au cours de l’exercice de cette passion qu’il perdit  prématurément la vie à soixante-quinze  ans.
 
       Professeur agrégé de philosophie en 1956, à  l’école de G. BachelardM. Bouet à la fin des années 50 du 20è siècle enseignait la philosophie aux élèves-maîtres de l’ENG de Quimper préparant  le baccalauréat de Sciences expérimentales et la psycho-pédagogie aux normaliens en formation professionnelle . Il y avait créé et animé un atelier d’aéromodélisme en bon  accord avec ce qui devint  une passion; le vol à voile. Il est rarement fait mention de cette période de sa vie où, aux contacts de son collègue Pierre Hélias, il apprit à aimer la Bretagne.
 
       Mais que venaient donc faire des enseignements de philosophie dans le bagage normalien  tel qu’il ressortait  des cartons de la Libération après que le régime de Vichy eût fermé les écoles normales primaires et transféré les élèves-maîtres dans les lycées  pour préparer le baccalauréat,  à l’instar de  tous les  lycéens ?  Qu’en était  la signification eu égard à la formation des maîtres pour l’école primaire élémentaire ?  S’agissait-il de former des « instituteurs philosophes » aptes  à philosopher à l’école primaire ?  On trouvera des éléments de réponse à ces questions  en se reportant aux deux articles suivants: 
 
             Article 1:  Le Philosophe de l’éducation au miroir de l’histoire  par Pierre Kahn,  Le Télémaque 2006,2 (n° 30), 131-136
 

 Lien :         https://www.cairn.info/revue-le-telemaque-2006-2-page-131.htm 

             Article 2 : Philosopher à l’Ecole  primaire par Bernard Jolibert, Revue Philosophique de la France et de l’Etranger 2015 /3,tome 140, 291-306
 
 Lien :       https://www.cairn.info/revue-philosophique-2015-3-page-291.htm
 

         Quoi qu’il en soit et pour ceux qui ont bénéficié des enseignements de M. Bouet on retiendra avec Bernard Jolibert  :« qu’il ne suffit pas de parler, de questionner, d’échanger, d’user de raisonnements, voire de douter de tout pour se montrer philosophe, il faut être capable de remettre en question ce qu’on pense (son objet), de se demander comment on le pense (méthode) et de s’interroger sur les limites de sa propre pensée comme être raisonnable (véracité) ». Il s’agissait donc  de porter et  de mettre en pratique ce message  devant  ses élèves,  pour leur émancipation !

 
 
     Les visiteurs intéressés par  des éléments marquants de la biographie de M. Bouet pourront consulter, en cliquant ici , un document rapportant des  points essentiels qu’ils pourront approfondir en suivant les liens proposés.

Selon l’adage; Dieu est réputé être grand, bon, tolérant et laïque … Cependant, parmi ses disciples, les plus grands clercs, prêtres et théologiens ne sont ni les plus clairs ni les plus sages!

Personne, en la matière,  n’a le monopole de la vérité d’autant que l’on sait  depuis Baudelaire  que « Dieu est le seul être  qui, pour régner, n’ait même pas besoin d’exister ». On dit aussi que l’homme qui fait les dogmes,  « n’échappe pas à Dieu »(Malraux)
 
         Le grand tournant de l’histoire -toujours attendu – sera le moment où l’homme prendra conscience que le seul Dieu de l’homme est l’homme lui-même(Feuerbach).  Dans l’attente « très attaqué, Dieu se défend par le mépris, en ne répondant pas »  (Jules Renard) et l’homme  extrêmement porté à espérer et à craindre se réfugie dans  les  religions où il peut  découvrir  des éléments susceptibles d’éclairer  sa destinée.  
 
        C’est ainsi que l’on peut, sans grand risque, postuler que Dieu est laïque et essayer d’en tirer des enseignements concernant l’actualité et notamment ceux attachés à la gestion de la crise sanitaire en matière  des restrictions aux   libertés publiques  lors de l’exercice des cultes  et ceux associés aux controverses déclenchées par les activités parlementaires ayant pris vocation à  légiférer de nouveau  sur la laïcité de nos institutions.
 
       Déjà dès 2015 , l’hebdomadaire Marianne titrait sous la plume de Joseph Macé-Scaron : « Dieu est laïque  »  tout en affirmant  :
 
          – qu’à « Marianne » nous défendons la laïcité, rien que la laïcité, toute la laïcité, et que celle-là ne consiste pas à séparer l’homme de la religion mais à séparer le religieux de l’Etat et de ses institutions.
 
         –  que l’intégrisme est « l’asile de toutes les ignorances », pour paraphraser Spinoza. Il remplace la religion par des slogans dignes de brèves de comptoir, les faits, par l’affect, le sentiment religieux, par le ressentiment sectaire. Alors oui, Dieu est laïque parce qu’il est trop parfait pour avoir besoin de tous ces attributs de la puissance que l’on dépose à ses pieds comme s’il s’agissait d’une vulgaire idole carthaginoise au ventre brûlant. Il est laïque car, comme le savent les pères spirituels de toutes les religions, il nous a donné la possibilité de douter, y compris de notre propre doute. 
       Les visiteurs auront accès à l’ensemble de cet article en suivant le lien :
 
            https://www.marianne.net/agora/les-signatures-de-marianne/dieu-est-laique-0

 
      Au demeurant  ceci relève de la liberté de conscience, de la liberté de penser, et de la liberté d’expression . S ’accorder à soi-même ces libertés implique  qu’il faut aussi les accorder aux autres. C’est là  la tolérance-même;  l’un des piliers  de la laïcité.
 
      Il n’est donc pas étonnant  de découvrir dans Golias Hebdo  n°659  de février 2021 sous la plume de Philippe Ardent  un article intitulé  « Il n’est nul besoin d’être clerc pour voir clair » suivi  de la restitution d’une interview  que lui a accordée  Marie-Christine Bernard sur le thème  : « La laïcité ça repose Dieu « .  Dieu serait-il fatigué ?
 
       Les visiteurs intéressés par ces propos qui jettent un regard nouveau sur  la perception et la  compréhension  que l’on peut avoir  tant  de la Loi de 1905 de Séparation des églises et de l’Etat que des fondements -mêmes de la laïcité pourront consulter, en cliquant ici , les deux contributions originales de Phillipe Ardent
 
      Que Christian Terras, Rédacteur en chef de Golias, soit chaleureusement remercié de nous avoir autorisé à les reproduire  et à les représenter sur ce site.