En Vendée : actes de « repentance ecclésiale » pour les victimes déclarées de violences sexuelles au sein de l’Eglise.

 » La  honte au  coeur  » tel est l’intitulé de l’article de J-P. Sautreau paru à ce propos dans Golias News du 12 novembre 2020 .
 
      Les visiteurs  intéressés pourront en prendre connaissance  en cliquant ici .
 
     Que l’Editeur en chef de Golias News soit remercié de nous avoir autorisé à reproduire cette nouvelle  contribution . 

20 novembre 2020 : Journée internationale des Droits de l’Enfant .

 Les Enfants et leurs Droits sont l’avenir ; ne les oublions pas !
       « Les défis pour faire avancer les droits de l’enfant sont considérables. Lutter contre le décrochage scolaire et les inégalités, soutenir l’accès à l’éducation de qualité, proposer des activités culturelles et sportives pour favoriser le lien et l’épanouissement, lutter contre l’isolement.  Malgré tous les progrès réalisés depuis la signature de la Convention internationale des droits de l’enfant (20 novembre 1989), les alertes restent nombreuses. Ainsi :
      
       – Selon la Banque Mondiale, 385 millions d’enfants dans le monde vivent sous le seuil de pauvreté.
 
       –  Depuis 10 ans, le taux de scolarisation dans le monde stagne. A ce rythme, on estime à 225 millions le nombre d’enfants qui ne seront toujours pas scolarisés en 2030
  
       –  A cause de la pandémie de COVID-19, on estime que le nombre d’enfants vivant sous le seuil de pauvreté augmentera de 15% d’ici la fin de l’année. Les deux-tiers de ces enfants habitent en Afrique et en Asie. » (D’après Solidarité laïque).
 
    Les visiteurs intéressés pourront consulter, en cliquant ici,  des informations à ce propos mises en ligne récemment  par  EDUSCOL et l’UNICEF. 

Lundi 4 octobre 1954 ; la rentrée (et ses suites) des « lauréats » du concours d’admission à l’ENG de QUIMPER racontées et illustrées par André Le Goff.

     

Ce jour là en effet une bonne quarantaine de « Bleus »(âgés de 16 ans) débarquaient, avec armes et bagages, au 8 rue de Rosmadec pour un séjour de 4 années scolaires… aux frais de la République.  
 
      Ils y furent accueillis par un comité ad hoc   constitué des anciens de la « Maison » dont la prévenance , le sens de la fraternité et la permanence (sic ) ne tardèrent pas à se manifester. A. le Goff  rapporte ici quelques uns de ses souvenirs relevant de « l’impossible mémoire du bizutage  dans les Ecoles Normales  d’Instituteurs « . Il s’agit  d’une mémoire trop longtemps restée silencieuse  qu’il resterait à reconstituer et à restituer.  Est-elle partie constitutive  de l’esprit normalien?
 
     Les visiteurs intéressés pourront consulter le récit illustré en question en en cliquant ici.  
 
     On rappellera, pour contextualiser cette rentrée parmi tant d’autres, que le 10 octobre du même mois d’octobre 1954  se déclenchait l’insurrection armée en  Algérie, ceci n’ayant rien à voir avec ce qui précède -encore que les premières victimes  de ce conflit furent des instituteurs. 
 
     Que notre ami A. Le Goff soit chaleureusement remercié pour son témoignage mesuré  sur des rites d’intégration, sans doute venus de loin, et transmis sans encombre de génération  en génération  de normaliens…                    

Un rappel salutaire ; le manifeste de 1989 contre le « Munich » de l’Ecole publique républicaine.

Le 2 novembre 1989, le Nouvel Observateur publia dans ses colonnes  un article des philosophes  E. Badinter, R. Debray, A. Finkielkraut, E. de Fontenay et C. Kintzler  intitulé:
 
                   « L’affaire du foulard, Profs ne capitulons pas ! ».
 
         Il faisait  suite aux dispositions prises par Le Ministre de l’époque en charge de l’Education Nationale  pour gérer le problème du port du voile islamique  dans les établissements publics relevant de son autorité. Pour les signataires  de  cet appel solennel, elles relevaient d’une véritable capitulation témoignant d’une confusion coupable entre discipline et discrimination à l’Ecole. 
 
        Hautement prémonitoires les propos tenus se révèlent -31 ans plus tard- d’une actualité saisissante  au regard   de la décapitation sauvage de Samuel Paty le 16 octobre 2020 par un terroriste islamiste  et  des « incidents  » survenus lors de l’hommage qui lui fut rendu dans toutes les écoles publiques  de France le 2 novembre 2020. Ils renvoient aussi  à la gravité de ses évènements eu égard à nos institutions républicaines et  à leur pérennité.
 
        Les visiteurs intéressés  pourront consulter  ce texte fondateur en cliquant ici.

Giordano Bruno (1548-1600) , pourfendeur de l’ignorance et de l’obscurantisme , condamné par la « sainte » inquisition et brûlé vif à Rome.

Giordano Bruno, moine dominicain du XVIè siècle, doué d’une mémoire exceptionnelle et d’une plume talentueuse et acerbe, se fit beaucoup d’ennemis, par ses avancées astronomiques et ses rébellions théologiques. Accusé  d’athéisme et d’hérésie , il refusa de renier ses idées et périt sur le bûcher. 

 
      Il fut le premier à imaginer l’univers comme infini et « peuplé » d’innombrables mondes, ouvrant ainsi la voie à la conception moderne de l’espace .  Philosophe cherchant à s’émanciper des vieux dogmes, il apparaît comme un des précurseurs de la liberté d’expression.  Par son combat incessant  contre le fanatisme religieux, il fut aussi l’un des fondateurs  de la laïcité.
 
     Les visiteurs de ce site pourront consulter à ce propos , en cliquant successivement sur les 4 documents notés en bleu un article de Jean Rocchi spécialiste de la biographie de Giordano Bruno, paru dans Ufal  INFO ; 2020, 82, 50-53.
 
    Que Christian Gaudray, président UFAL nationale , soit sincèrement remercié  de nous avoir autorisé à reproduire ce document .
 
                   Document 1 . Page 50,
 
                   Document 2 . Page 51,
 
                  Document 3 . Page 52,
        
                   Document 4 . Page 53.
 

 

La réponse indignée et pleine d’humanisme de notre Doyen Pierre Hénaff à la décapitation sauvage de Samuel PATY

 Ancien élève-maître  de la Promotion   EN AVANT à l’ENG de Quimper (1942-1945), notre grand ami P. Hénaff , atterré par l’évènement, nous fait part  de  son témoignage  tout  imprégné  des vertus  de  la Science et du Rationalisme aux racines de sa liberté d’expression et de son humanisme  qu’il ne cesse d’exercer  sans relâche.
         Il nous incite à observer  que l’Homme ne tire que rarement de leçon(s) de l’histoire récente et  nous renvoie aux  fameux propos de Voltaire selon lesquels :
        -« La tolérance n’a jamais excité de guerre civile alors que l’intolérance  a couvert la terre de carnages ».
        -« Le fanatisme est un monstre qui ose se dire le fils de la religion ».
        Ainsi à  l’instar de P. Hénaff et de son cursus hors normes, il paraît opportun   de rappeler, en pareilles circonstances,  l’adage de Balzac  :
         «  Pour l’homme, le passé ressemble singulièrement à l’avenir. Lui raconter ce qui fut, n’est-ce pas presque toujours lui dire ce qui sera ? ».
 
         Les visiteurs de ce site ne manqueront pas de consulter,  en cliquant ici, le factum  de notre collègue . Qu’il soit chaleureusement remercié pour sa contribution éclairée.

11 novembre 2020 : Fleurissement du Monument aux Instituteurs du Finistère Morts Pour la France

Malgré les contraintes inhérentes à la crise sanitaire en cours  et celles résultant d’un édifice datant de 1924 – présentement orphelin-  et grâce à la complicité de quelques citoyennes quimpéroises, le monument de notre ancienne école en déshérence vient de faire  l’objet d’un fleurissement. Il s’agissait  pour l’ASVPNF de  marquer le 102è anniversaire de l’Armistice de la Grande Guerre et de rendre hommage à nos collègues  disparus au cours de ce conflit. 
 
  Les visiteurs intéressés pourront consulter à ce propos,  en cliquant  successivement sur les document notifiés en bleu :
      Document 1.  L’état des lieux le 10 novembre 2020,
      Document 2. Le  texte de l’hommage  associé au bouquet,
      Document 3. La planche-souvenir réalisée en  cette circonstance par une adhérente de l’ASVPNF.

Refonder la Gauche française de progrès social en évitant les traquenards réactionnaires !

D’aucuns se  complaisent à entretenir la confusion et le doute sur la signification sociale et politique du « terme » GAUCHE lorsqu’il est  utilisé pour désigner l’ensemble des citoyens de France se réclamant  du rationalisme,  du progressisme , de l’universalisme et souvent de l’anticléricalisme . En réalité  ces réserves sont celles  des contempteurs de  ce qu’il convient de continuer à appeler la DROITE. 
        Selon Stephanie Roza, auteure de l’ouvrage « La gauche contre les Lumières » (Fayard, 2020) analysé ici par  Damien Pernet , il existerait  « un débat plus ancien quant à la séparation entre une gauche, qui désignerait avant tout la gauche parlementaire, celle qui originellement siégeait « à gauche » dans les Assemblées révolutionnaires, et le mouvement ouvrier, qui ne recouperait pas nécessairement cette tradition plus institutionnelle. Du point de vue  de ce dernier, la gauche a pu être perçue comme celle qui trahissait toujours la classe ouvrière ». 
 
         S. Roza précise par ailleurs « qu’elle ne partage pas la lecture qui dissocie radicalement la tradition de gauche parlementaire et la tradition ouvrière, et plus généralement les différents courants de l’émancipation sociale et politique qu’ils soient anarchistes, socialistes, communistes » . Elle note aussi que les luttes pour l’émancipation et l’avènement de la République  et de ses institutions telles l’Ecole  ont été menés en commun faisant référence à l’héritage des Lumières.
 
         Les visiteurs intéressés et attentifs à toute démarche visant à refonder la  Gauche française autour de l’héritage  de Jean Jaurès  pourront consulter  l’article de D. Pernet en cliquant sur Document 1, Document 2, Document 3. et Document 4. Il est intitulé :
 
            « La gauche  contre les Lumières « .
      
        Il a paru dans le n°82 de Ufal INFO (2020, 14-16). Il lui  est adjoint un lexique  salutaire par ces temps propices au dénigrement, à la fracturation et à la fragmentation de la GAUCHE.
 
         Que Christian Gaudray, Président UFAL Nationale, soit chaleureusement remercié de nous avoir autorisé à reproduire cet article  

L’école républicaine fabrique des égaux.

Tel est l’intitulé de  l’article de Damien Pernet paru dans le n°  82 de Ufal INFO  (juillet, août, septembre 2020 , 11-13). L’auteur s’y attache, faisant notamment référence à Condorcet, à montrer la valeur institutionnelle et civique  de l’Ecole Publique sous-tendue par la Laïcité. Des fondamentaux qu’il était nécessaire et salutaire de formaliser et de  rappeler par les temps présents .
 
     Les visiteurs intéressés pourront en prendre connaissance en  en cliquant successivement sur les 3 fichiers correspondants . 
 
     Que Christian Gaudray , président UFAL Nationale,  soit  chaleureusement remercié de nous avoir autorisé à reproduire  ce document afin de l’insérer sur ce site.  
                      

A la mémoire de nos grands anciens (3): Jean Le Dû(1912-1985) et Daniel Trellu ( 1919-1998) Promotions ENG 29-32 et 35-38

Dans l’ouvrage publié en 2020 par l’Association Les Amis du Patrimoine de Trégunc (F-29910) ( Histoire des écoles de Trégunc -Livre 2 ), l’un de nos adhérents a retrouvé les portraits de deux instituteurs  Trégunois , anciens élèves-maîtres de l’Ecole normale de garçons de Quimper; Jean Le Dû et Daniel Trellu . 
 
         Roland Picard, Président de l’Association mentionnée ,  nous a dûment autorisé à  reproduire les fichiers correspondants de façon à les  représenter  sur ce site.  Qu’il en soit vivement remercié.  
      
         Les visiteurs pourront les consulter en en cliquant ici .