Le projet de loi confortant les principes républicains: vers une guerre culturelle à la française?
par
Que l’Association « La vigie de la Laïcité » soit remerciée de nous avoir autorisé à effectuer pareil emprunt.
Le projet de loi confortant les principes républicains: vers une guerre culturelle à la française?
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Que l’Association « La vigie de la Laïcité » soit remerciée de nous avoir autorisé à effectuer pareil emprunt.
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Le libellé des questions posées à la philosophe pourra être consulté en cliquant ici.
Voici une mise au point attendue, publiée récemment dans Golias news(https://www.golias-editions.fr/golias-news/) par l’Equipe pour un christianisme d’avenir, une Equipe de progrès dont nous saluons ici le courage . Constituée des trois auteurs mentionnés ci-dessous, elle a adopté comme intitulé le titre de l’ouvrage « Manifeste pour un christianisme d’avenir » de Joseph Moingt, John Shelby Spong, Jean-Marie de Bourquenet et Robert Ageneau publié chez Karthala ( 29/06/2020). Les visiteurs pourront prendre connaissance ci-dessous de son résumé:
Roger Williams (environ 1603-1683), puritain anglais venu en Amérique en 1630 pour fuir la persécution royale a été considéré comme le père de la liberté religieuse aux Etats-Unis et l’un des premiers à avoir pensé la neutralité de l’Etat en matière religieuse. Serait-ce donc le pionnier sans le domaine de ce qui était appelé à devenir la laïcité à la française? Le terme lui-même pose problème aux linguistes et forcément aux détracteurs nombreux et divers des concepts qu’il porte . Qu’est-ce donc que la laïcité ? Un mot abstrait et tardif encore considéré en France comme un néologisme en 1911, il ne figure dans aucune des « lois laïques » votées entre 1880 et 1905), un processus historique inscrit dans la longue durée et englobant le processus de laïcisation enclenché aux débuts de la IIIè République, un cadre juridique et administratif, une réalité complexe et parfois même déconcertante.
Jadis, faut-il le rappeler, nous étions majoritairement laïques (ou laïcs) car considérés comme membres catholiques du peuple de Dieu. Etait laïc celui qui ne relevait pas du clergé religieux ni d’un des ordres monastiques dans la société chrétienne. Il faisait partie du laïcat. Dans l’Eglise catholique, on désigne comme « laïcs » les personnes qui, tout en appartenant à la communauté des fidèles, n’ont pas la responsabilité du sacerdoce ministériel comme le « clergé ».
Cette complémentarité des catégories laïcs/clergé s’est transformée, avec la Loi de Séparation des Eglises et de l’Etat survenue en France le 9 décembre 1905, en opposition : l’État « laïc » n’autorise plus aucune influence du « clergé » sur ses institutions, et tout particulièrement sur l’Ecole publique laïque.
Les recherches des linguistes sur les mots clés laïcs (formant le laïcat) et clercs (constituant le clergé ) conduisent aussi à des observations éclairantes que l’on pourra consulter dans le détail à l’URL:
http://www.inrp.fr/edition-electronique/lodel/dictionnaire-ferdinand-buisson/document.php?id=3005
Il en ressort, au-delà des implications étymologiques et lexicologiques, que :
Le clergé, les clercs, c’est une fraction de la société qui se tient pour spécialement élue et mise à part, et qui pense avoir reçu la mission divine de gouverner le reste des humains ; l’esprit clérical, c’est la prétention de cette minorité à dominer la majorité au nom d’une religion.
Les laïques, c’est le peuple, c’est la masse non mise à part, c’est tout le monde, les clercs exceptés, et l’esprit laïque, c’est l’ensemble des aspirations du peuple, du laos, c’est l’esprit démocratique et populaire.
On pourra consulter à ce propos l’article récent de Samuel Charlot (2018)-administrateur au Conseil économique, social et environnemental – en allant à :
https://www.vie-publique.fr/parole-dexpert/38312-letat-et-la-laicite
S’agissant du concept lui-même de laïcité on pourra prendre connaissance de l’article intitulé : « La laïcité,un concept facile à définir » à l’adresse :
https://www.laicite.be/la-laicite/la-laicite-un-concept-simple-a-definir/Le CAL .
Au total, les visiteurs seront ainsi préparés à la réfutation, par Jean-Pierre Castel, de la théorie selon laquelle les concepts sous-jacents à la laïcité républicaine à la française trouveraient leurs origines aux fondements mêmes de la religion chrétienne. Ils pourront à ce propos consulter son singulier article paru le 12 juin 2021 dans Mezetulle le Blog-revue de Catherine Kintzler à l’adresse suivante :
https://www.mezetulle.fr/non-la-laicite-nest-pas-dorigine-chretienne-par-jpc/
Il s’intitule et c’est rassurant :
“ NON, LA LAÏCITE N’EST PAS D’ORIGINE CHRETIENNE”
Il est également accessible en cliquant ici.
Que Jean-Pierre Castel et Catherine Kintzler soient chaleureusement remerciés de nous avoir autorisé à reproduire cet article .
Comment aux lendemains du massacre des communards par les versaillais aux ordres de Thiers, les Parisiens , les Français et leurs institutions ont ils survécu dans le cadre républicain qui fut initié lors de la proclamation de la République le 4 septembre 1870 par Gambetta ?
Il s’exprimait ainsi place de l’Hôtel -de- Ville: « Le peuple a devancé la Chambre qui hésitait. Pour sauver la Patrie en danger, il a demandé la République : elle est proclamée, et cette révolution est faite au nom du droit et du salut public. Citoyens, veillez sur la cité qui vous est confiée ; demain, vous serez avec l’armée des vengeurs de la Patrie. »
Cette proclamation mettant fin au second empire, aussi fondatrice fut-elle, ne pouvait, à elle seule, assurer le retour à des institutions démocratiques républicaines. Quel était le cadre imparti et sa légitimité et comment avait-il subsisté aux évènements alors que l’occupant prussien était encore dans la place ? On en trouvera des éléments de réponse à l’adresse suivante :
https://www.gouvernement.fr/partage/9407-proclamation-de-la-iiie-republique-par-les-parisiens
En l’absence de lois constitutionnelles (elles ne seront promulguées qu’en 1875), on tenta de faire référence à la Constitution de 1848 instaurant la 2è République. Celle-ci ne” résista” pas au Coup d’Etat de Louis Napoléon Bonaparte du 2 décembre 1851. On tenta aussi de susciter les travaux d’une assemblée constituante.
“Une constituante est une assemblée élue par le peuple et mandatée pour proposer une Constitution aux citoyens. Il s’agit donc d’une réorganisation des institutions jugées défaillantes et des lois qui en découlent. L’Association pour une Constituante est un mouvement pacifique, démocratique et rassembleur pour cet objectif. L’élection de la Constituante rappelle, plus particulièrement, l’exercice du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, en restaurant la séparation des pouvoirs, la démocratie. Elle n’appartient pas à une portion particulière de la société, mais veut représenter tous les citoyens.” On pourra accéder à ces principes à l’URL :https://www.pouruneconstituante.fr/spip.php?rubrique12
DOCUMENT 1: Textes choisis extraits de la Constitution de 1848.
DOCUMENT 2: Projets de réunion d’une Assemblée Constituante.
(Le texte complet de cette Constitution est accessible à :https://www.conseil-constitutionnel.fr/node/3811/pdf) .On ne manquera pas de souligner que ce texte révélait « la difficile entrée dans l’âge démocratique »(https://www.kartable.fr/ressources/histoire/cours/la-difficile-entree-dans-lage-democratique-la-deuxieme-republique-et-le-second-empire/53510) en présentant la « république contre elle-même » ou la « république contre le peuple » . On pourra s’en convaincre en consultant l’ouvrage de Arnaud Coutant (2009) intitulé : « Quand la République combattait la démocratie » et accessible à l’adresse : https://www.decitre.fr/livres/1848-quand-la-republique-combattait-la-democratie-9782849340660.html .
Tel est l’intitulé du volumineux article publié sur le site internet de l’Association « Printemps 1871 » à l’adresse suivante: https://printemps1871.wordpress.com/2021/01/11/revue-n1/
Il avait été précédé de conférences sur le même thème tenues:
Le 7 novembre 2018 à Blois : « Les femmes durant la Commune de Paris (1871)«
par Françoise Bazire (Rendez-vous de L’Histoire, n°21, Blois, 2018 . Voir son résumé par Remi Burlot à l’adresse: Blois 2018, Rendez-Vous de l’Histoire de Blois )
“Parler de la Commune de 1871, c’est parler de l’action des femmes. Ce sont elles qui par leur détermination ont permis l’insurrection du 18 mars. Ce sont elles qui, en majorité, fréquentaient les clubs dans cette période de démocratie participative. Leurs questions, leurs interventions furent toujours judicieuses et concrètes. Ce qu’elles ont fait mériterait de paraître dans tous les manuels d’Histoire traitant des débuts de la 3ème République. Ce qu’elles ont écrit compte parmi les plus vivantes chroniques du temps et les meilleures analyses. Ce sont pourtant les grandes oubliées. Nous tenterons, après tant d’années d’incompréhensible amnésie, de leur rendre justice”(URL :HTTPS://FAISONSVIVRELACOMMUNE.ORG/LACTION-DES-FEMMES-SOUS-LA-COMMUNE/)
Selon Marc Lagana,2018 : Un peuple révolutionnaire : la Commune de Paris 1871, Cahiers Bruxellois – Brusselse Cahiers 2018/1 (L), 175 – 1986 : « Les femmes sont présentes durant toute la Commune et jusqu’à la semaine sanglante où elles sont sur les barricades. L’irruption des femmes dans le mouvement social est une expression de la dynamique populaire de la Commune de 1871. Elles mènent une lutte pour l’émancipation et l’égalité. Et elles sont partout dans les luttes : dans les assemblées, les clubs, dans la rue, et sur les barricades. Elles s’organisent ; elles revendiquent ; elles sont dans l’action. Elisabeth Dmitrieff et Nathalie Le Mel créent pour la première fois dans l’histoire des femmes un mouvement féminin de masse, rassemblant un grand nombre d’ouvrières dans « l’Union des femmes pour la défense de Paris et les soins aux blessés ». L’Union participe à l’émancipation des travailleuses en luttant pour le droit au travail pour les femmes, en s’implantant dans les mairies d’arrondissements et en organisant le travail des femmes. Dès sa création, l’Union des femmes déclare que « le travail de la femme étant le plus exploité, sa réorganisation immédiate est donc de toute urgence ». Entre autres initiatives, l’Union des femmes, avec l’appui de Léo Fränkel et de la commission du travail, élabore un projet de remise en exploitation des ateliers abandonnés et organise des ateliers coopératifs pour fournir du travail aux femmes.
Dans les réunions des clubs, les femmes exigeant la mixité, prennent la parole. C’est ainsi que les femmes jouent leur rôle de citoyennes en traduisant les revendications de toutes et en participant à plusieurs commissions de la Commune, notamment celle du Travail dirigée par Léo Fränkel et celle de l’Instruction publique dirigée par Édouard Vaillant. Les femmes s’engagent dans le combat pour la laïcité. Ce sont elles qui remplacent les religieuses dans les écoles et dans les hôpitaux. Les locaux manquants, elles s’installent dans les églises comme Paule Minck à Saint-Pierre-de-Montmartre. Elles luttent aussi pour une école gratuite et obligatoire, ouverte à tous, filles et garçons ». On trouvera l’article complet à l’URL :https://www.cairn.info/revue-cahiers-bruxellois-2018-1-page-175.htm
Adélaïde de Montgolfier.
Aux armes citoyennes.
L’action des femmes dans la Commune.
Extraits de l’épopée « Le temps des cerises ».
Que nos amis de l’Association “Printemps 1871” soient chaleureusement remerciés ne nous avoir autorisé à reproduire leur publication afin de la représenter sur ce site.
Ecrit par le futur dictateur en 1924-1925, alors qu’il sortait de prison et allait parvenir au pouvoir le 27 août 1933, il constitue la référence du national-socialisme allemand, et celle du plus grand génocidaire de tous les temps. Déjà traduit en Français en 1934 par André Calmettes, polytechnicien, les français et l’humanité entière auraient pu se passer d’un tel brûlot antisémite connaissant , de façon indélébile, les crimes contre l’humanité qui en résultèrent . Ils furent jugés au Procès de Nuremberg (20 novembre 1945-1er octobre 1946) . Il annonçait ce qui fut appelé par Alain Guérin (1972) la Marée brune et son venin contre lesquels se dressèrent les Résistances (Document 1 ).
N’y avait-il pas de service plus urgent et surtout plus utile à rendre à l’humanité par les temps qui courent ? On sait que « le ventre est encore fécond d’où a surgi la bête immonde » ( Bertold Brecht) et qu’en la matière, sans le concours de cette réédition, le venin continue de se propager provoquant de nouveaux ravages et en annonçant d’autres. On comprend aisément que l’événement puisse susciter des polémiques. Les visiteurs pourront à ce propos se rendre, entre autres, aux adresses suivantes :
https://www.humanite.fr/reedition-de-mein-kampf-ce-qui-est-ecrit-dans-le-brulot-dhitler-70941
https://www.la-croix.com/France/Mein-Kampf-edition-critique-critiquee-2021-05-20-120115674
https://www.marianne.net/societe/reedition-critique-de-mein-kampf-nous-visons-dabord-un-public-de-professeurs-de-terminale-ou-de-premiere
Plus précisément et pour explorer un autre champ connexe, ils sont invités à consulter en cliquant sur Document 2 , l’article paru dans Mezetulle, le blog revue de Catherine Kintzler le 3 juin 2021. Il est intitulé :
« Hitler par lui-même d’après ‘Mein Kampf’ »
de Charles Appuhn
Au moment où paraît l’édition française critique du texte de Mein Kampf, les éditions Kimé republient le ”Hitler par lui-même d’après son livre Mein Kampf” de Charles Appuhn – ouvrage paru en 1933 et qui n’avait connu aucune réédition depuis 1934. Présentée par une éclairante préface d’Edith Fuchs, cette heureuse initiative offre au public francophone une approche qui ne fait en rien double emploi avec une édition critique intégrale académique : celle qu’effectua un grand lecteur en toute lucidité au moment même de l’expansion du nazisme.
La présentation de cet ouvrage par C. Kintzler est également accessible à l’URL :
https://www.mezetulle.fr/hitler-par-lui-meme-dapres-mein-kampf-de-charles-appuhn/
Document 1 : La peste brune et le venin par Alain Guérin.
Document 2 : « Hitler par lui-même d’après ‘Mein Kampf’ » de Charles Appuhn.
François Braize tente d’apporter des éléments de réponse à une question dont la singularité ne manque pas d’interpeller le bon sens du citoyen ordinaire. Cet auteur « revient sur le meurtre de Sarah Halimi et sur l’excuse du non-discernement dont a bénéficié le meurtrier. En l’état actuel de la législation, il ne s’agit pas d’un déni de droit, mais c’est précisément pour cette raison que l’affaire pose la question d’une évolution souhaitable de la législation en matière d’irresponsabilité pénale. C’est en effectuant un détour juridique inopiné que l’auteur examine cette possibilité. » Les visiteurs pourront consulter l’article de François Braize à l’adresse suivante :
Au delà de l’émotion légitime suscitée par le meurtre de Sarah Halimi et de l’indignation causée par la mise à jour- sous expertises- de l’irresponsabilité pénale du meurtrier au moment des faits, les visiteurs pourront compléter leur appréciation en prenant connaissance d’éléments relatifs :
– à la vie et à la personnalité de Sarah Halimi en allant à l’URL suivante :
https://www.lefigaro.fr/vox/societe/qui-etait-sarah-halimi-20210426
où Noémie Halioua ,journaliste et auteure de L’Affaire Sarah Halimi, raconte qui était Sarah Halimi et retrace les dernières heures de sa vie. dans un article paru le 26 avril 2021 dans Le Figaro
– à l’analyse juridique du traitement de l’affaire par Sajjad Hasnaoui-Dufrenne,(28 avril 2021) avocat , à l’URL suivante :
https://www.dalloz-actualite.fr/flash/affaire-sarah-halimi-peu-importent-raisons-de-folie
-Il ressort que « peu importent les raisons de la folie, celui qui commet un acte sous l’emprise d’une bouffée délirante ayant aboli son discernement au moment des faits ne saurait être tenu pénalement responsable, quand bien même ce trouble psychique aurait été causé par une consommation régulière de produits stupéfiants”.
– Comment aussi , à l’instar de Henri Pena RUIZ ,ne pas être bouleversé par l’assassinat de Sarah Halimi et par l’absence de procès véritable, que motiverait l’irresponsabilité pénale supposée de son meurtrier Kobili Traoré en découvrant le billet d’humeur du philosophe : » Affaire Sarah Halimi : une maladie mentale se comprend, un crime se juge » publié le 15 mai 2021 dans Marianne :
– On pourra enfin prendre connaissance de l’article documenté de Hugo Partouche et Luca Bordas paru dans Regards du 30 avril 2021 . Intitulé » Au-delà de l’émoi tentative d’explication de la décision de la cour de cassation ». On y souligne entre autres : « Compte tenu de l’indignation compréhensible suscitée par cette décision, il semble utile de chercher à comprendre les raisons qui ont pu conduire la plus haute juridiction judiciaire à déclarer le meurtrier de Sarah Halimi irresponsable pénalement et à priver les victimes d’un procès ; que cette indignation serve à un dialogue entre les citoyens et la justice qui est rendue en leur nom » . Le document est accessible à :
Pour introduire une interview imaginaire de l’écrivain par Maurice Rajsfus (Faisons vivre la Commune) , Mediapart présente ainsi la relation singulière de Victor Hugo à l’Insurrection qui se termina par la Semaine sanglante :
» Témoin attentif de la Commune de Paris, Victor Hugo eût, à l’égard des Fédérés, une attitude des plus curieuses. Sans être proche de Thiers et des Versaillais, il n’en restait pas moins dubitatif quant à l’avenir de ce pouvoir révolutionnaire qui ne voulait pas se contenter d’une République – peu républicaine – proclamée le 4 septembre 1870, par Arago. Pour l’auteur des Misérables, les Communards seraient en manque de personnalités importantes pour être sérieusement reconnus. Peut-être regrettait-il de ne pas avoir été approché. En fait, il tentait de faire comprendre qu’il lui aurait été difficile de siéger aux côtés de ceux qu’il considérait tels des « inconnus indignes » de représenter le peuple parisien en insurrection. D’où les questions qu’il aurait été possible de lui poser – les réponses fournies ici n’étant en rien imaginaires et provenant de ses écrits et interventions publiques de l’époque ».
Les visiteurs pourront consulter ce dialogue insolite, ô combien révélateur, en suivant le lien :
On pourra aussi prendre connaissance de ce point de vue rapporté par Paul Lidsky sur le site” Les Amis et Amies de la Commune de Paris” en suivant le lien:
Les visiteurs sortiront difficilement de l’ambigüité étonnante entretenue par l’écrivain . Son prolongement se trouve résumé dans le serment exemplaire exprimé par Maurice Rajsfus:
» Pour ce qui nous concerne, héritiers moraux des Fédérés, nous ferons en sorte que le voile de l’oubli ne recouvre jamais les tombes de ces Communards qui combattaient pour un monde meilleur. Et nous ne cesserons d’expliquer qu’il est nécessaire de Faire vivre la Commune ! »