L’irruption de l’intelligence artificielle

à l’Ecole

 

Sur ce site, nous avons déjà dédié une insertion à l’irruption de l’ intelligence artificielle (IA)  dans la vie courante et à sa confrontation nécessaire à l’intelligence humaine (IH). On pourra y revenir en allant à : https://asvpnf.com/index.php/2025/03/30/intelligence-humaine-et-intelligence-artificielle/

On y  découvrira entre autres  que « la génération automatique de textes et d’images conduit à édifier un monde de substitution post-humain exerçant une emprise sur ledit sujet. Simulant la symbolisation alors qu’il n’est fait que de codes de signaux, ce monde ignore les notions de vérité, de réalité, d’authenticité, et le statut de sujet en tant qu’agent critique réflexif, y est constitutivement impensable ». On s’y rendra compte aussi  qu’elle peut conduire à « des leurres atteignant l’utilisateur lui-même  qui se trouve inclus dans le champ de l’emprise et dépossédé subrepticement de son statut de sujet : la perte d’identité se traduit par sa réduction à un profil « customisable » par ce qui est dit de lui – toute personne étant schématisée (et bientôt définie?) par ses traces numériques. »

Sur de telles bases il n’est pas surprenant qu’on ait attiré l’attention des utilisateurs potentiels de l’IA sur ses limites par rapport à l’IH. Ainsi Cathy Alegria (directrice d’études Xerfi)  souligne à Xerfi Canal, la revue audiovisuelle en ligne sur « le monde de l’économie, la stratégie et le management des entreprises » les   dangers de faire rédiger une synthèse par l’IA .Elle note que « face à un long document, la tentation est forte : l’IA semble pouvoir résumer élégamment en quelques secondes un texte qu’un humain mettrait plus d’une heure à lire, et exigerait une autre heure à synthétiser par écrit. Mais cette performance n’est qu’apparente. Elle confond la vitesse de traitement avec la profondeur de compréhension. Synthétiser, ce n’est pas compresser : c’est interpréter, hiérarchiser, arbitrer. »

On trouvera le détail de l’ exposé de C. Alegria en allant à :https://www.xerficanal.com/strategie-management/emission/Cathy-Alegria-Les-dangers-de-faire-rediger-une-synthese-par-l-IA_3754266.html

Passant du monde de l’entreprise à celui de l’Ecole on pouvait  facilement y prévoir les vicissitudes provoquées par l’adoption inéluctale  des applications communes de l’IA générative tant par les élèves que par leurs professeurs. On pouvait aussi deviner l’urgence de maîtriser l’outil tant pour lui-même que pour son intérêt pédagogique et d’interroger  les problèmes  des relations au savoir entre maîtres et élèves qu’il pose. L’irruption de l’IA à l’Ecole peut-elle être perçue comme une possible entreprise de démolition de l’Ecole et comme le levier manquant de la privatisation  complète d’une institution publique et républicaine que l’on dit en péril ?

On verra que l’IA- comprise  comme un outil d’ intelligence augmentée-doit trouver sa place à l’Ecole à condition que l’Institution qui la porte veille à assurer sans tarder les formations pédagogiques pertinentes  y afférent tant pour les maîtres en place que pour ceux en formation professionnelle.

On lira   avec intérêt (en cliquant ici) l’article de Jean-Michel Legaud  publié dans le Café pédagogique  du 5 septembre 2025 sous l’intitulé :

« Le chantier IA de l’Ecole »

Les enjeux et la tâche sont immenses !

Mais pour être productif en la matière il est nécessaire de maîtriser le vocabulaire concerné ! Aussi est-il  suggéré aux visiteurs de se poser la questioon de savoir s’ils parlent IA  et en toute hypothèse de se rendre au lexique pratique de l’intelligence artificielle accessible à : https://www.culture.gouv.fr/Thematiques/langue-francaise-et-langues-de-france/Agir-pour-les-langues/moderniser-et-enrichir-la-langue-francaise/Nos-publications/50-termes-cles-de-l-intelligence-artificielle .

Que chacun fasse donc connaissance sans tarder de son « chatbot » du jour, c’est-à-dire de son « agent conversationnel » !

Se souvenir afin de mieux combattre

Nous reprenons ici l’intitulé d’un article mis en ligne par le Centre Henri Aigueperse-UNSA Education ( Centre de recherche,histoire,formation) considérant qu’après avoir appelé :

 – à s’opposer au droit à l’ignorance revendiqué ouvertement dans des milieux variés (https://asvpnf.com/index.php/2025/07/30/contre-la-volonte-de-ne-pas-savoir-demystifier-lacetamipride-et-sa-biotoxicite/)

-à défendre la liberté de savoir (https://asvpnf.com/index.php/2025/09/13/appel-de-radio-france/)

…il était essentiel pour les visiteurs de ce site,amoureux de la liberté et de l’émancipation citoyenne, de rester bien informés  et de garder fidèlement en mémoire  les évènements fondateurs de notre  communauté nationale. C’est pour y contribuer  que nous avons réuni dans cette insertion  trois publications récentes du Centre de recherche,histoire, formation précédemment nommé. Elles sont directement accessibles en cliquant sur Fichier 1, Fichier 2 et Fichier 3.

Fichier 1 .   Se souvenir afin de mieux combattre

 Fichier 2 .  10 juillet 1940 : François Camel ou l’honneur des instituteurs

Fichier 3.    Yvonne Hagnauer, une militante au service des enfants

https://centrehenriaigueperse.com/wp-content/uploads/2025/09/lep-1945.png?w=868Au final on se souviendra que le propos d’ Adrien  Lavergne (fichier 1) fut tenu dans la première circulaire d’après Libération intitulée Notre combat  parue dans  L’Enseignement public, journal de la  FGE-CGT. Il y déclarait : «  il nous sera possible, alors d’organiser plus solidement la paix mondiale ; notre jeunesse vigoureuse, active,compréhensive pourra rejoindre les jeunesses des autres nations et travailler au rapprochement des peuples par le rapprovchement des jeunesses. C’est bien un combat que nous avons, que nous aurons à livrer. Un seul mot d’ordre : se souvenir afin de mieux combattre ! ».

A méditer 80 ans après !

Nous remercion chaleureusement Nathalie Meyer et ses collègues du Centre de Recherche, Formation Histoire Sociale (Unsa-Education) de nous avoir permis  ces trois emprunts pour le plus grand profit de nos visiteurs.  Ceux-ci sont très cordialement invités à  se rendre à l’URL https://centrehenriaigueperse.com/ pour mieux connaître les activités de recherche qui s’y mènent.

Appel de Radio France

                                         pour la Liberté de savoir 
 
« Il y a précisément une semaine, Radio France lançait un grand appel pour la Liberté de Savoir, sous la forme d’une tribune ouverte à la signature de tout citoyen ou institution souhaitant apporter son soutien à cette initiative. 
En 7 jours, cet appel a rencontré une forte mobilisation des publics en réunissant déjà près de 10 000 signatures ! Ces 10 000 signatures rejoignent la centaine de premiers grands signataires associés dès son lancement : d’éminents représentants de grandes Institutions, des personnalités des mondes scientifiques et académiques, de grands créateurs de contenus reconnus pour leur travail de diffusion des savoirs sur les réseaux sociaux ainsi que les figures des antennes de Radio France engagées sur la transmission des savoirs.
Parmi les 10 000 signataires qui ont rejoint l’appel depuis jeudi dernier : 14 dirigeants de grandes écoles et universités, près de 50 directeurs de recherche de grandes institutions, près de 200 chercheurs et plus de 800 enseignants… »

 

Les visiteurs de ce site alertés récemment contre le droit à l’ignorance pourront consulter, en cliquant ici, le texte de l’appel pour la liberté de savoir.

Le wokisme, l’indifférenciation et la logique inversée de la victime expiatoire 

Ainsi s’intitule l’article d’Olivier Klein mis en ligne le 2 août 2025 sur Mezetulle , le blog revue de Catherine Kintzler.
 
Déjà en 2024, cet auteur pointait les dangers du wokisme  (https://www.oklein.fr/du-danger-du-wokisme/) , soulignant  que « notre civilisation a bien des progrès à faire encore. Mais elle n’a pas, à de nombreux titres, à rougir d’elle-même. Ni à accepter une dérive mortifère. Ni à subir une contre-réaction populiste qui n’apporterait que son bien pauvre double symétrique. Tout autant illibéral, a-scientifique et anti-démocratique.« 
Il avait également noté que  » le wokisme était une maladie sénile de la démocratie ».
Les visiteurs ,souvent indignés par la montée de ce système idéologique venu des Etats-Unis pourront consulter, 
en cliquant ici le récent article  dévolu à la question et où il apparaît que :
 » Olivier Klein  analyse le wokisme, considéré en tant qu’idéologie, à la lumière de la théorie mimétique de René Girard dont il rappelle d’abord les éléments essentiels. La structure mimétique du désir est d’autant plus efficiente et violente que les agents se ressemblent, de sorte que « l’indifférenciation accélère le processus mimétique et son issue violente » ; le groupe échappe à l’auto-destruction par la désignation d’une victime expiatoire. « En visant l’effacement de toutes les différences quelles qu’elles soient, perçues comme discriminatoires », le wokisme accentue le mimétisme, installe la concurrence victimaire, et s’en prend alors à une nouvelle figure du bouc émissaire – l’oppresseur  – ce faisant, il restaure, en l’inversant, la logique sacrificielle. »
 
Que Catherine Kintzler soit remerciée d’autoriser ce nouvel emprunt à Mezetulle.

Un combat sans faiblesse 

                                        contre le Droit à l’Ignorance
 
Faisant suite aux turbulences de l’été 2025 ayant accompagné le vote de la loi Duplomb relative, entre autres, à la réintroduction de l’acétamipride en France et  la présentation du rapport de la commission d’enquête sur les violences perpétrées dans les établissements scolaires (Affaire Betharram), l’ASVPNF a diffusé à ses adhérents  la Lettre d’Information n°8 dédiée à son combat contre le Droit à l’ignorance tant au niveau sociétal qu’au niveau scolaire.
 
Les visiteurs pourront en prendre connaissance en cliquant ici

Enseignement et mathématiques

Transmettre le goût de l’effort et de la curiosité intellectuelle

Nous reprenons ici le titre de l’article de  Thierry Foucart parunle 10 aoùt 2025 dans Mezetulle ,un article important à lire avec attention en cette période de rentrée. Il en ressort que : « 

Analysant l’échec de l’enseignement des mathématiques, Thierry Foucart propose une réflexion sur l’évolution longue du système éducatif, de plus en plus soumis à l’injonction d’égalitarisme (au motif de démocratisation). La disparition de la « sélection par les maths » a sonné le glas de toute sélection, alors que la réussite en maths était en fait un critère général de travail et de réussite. C’est, conséquemment, dans l’ensemble du système éducatif qu’est ainsi interrompue la transmission aux générations suivantes du goût de l’effort et de la curiosité intellectuelle, des volontés de savoir et de comprendre, essentiels pour acquérir un esprit critique et rationnel. On sait pourtant très bien ce qu’il faudrait faire : recentrer l’école sur l’enseignement des disciplines classiques et écarter toutes les interventions extérieures prenant du temps scolaire. »
 
Retenons en effet qu’il est urgent de « recentrer l’Ecole » c’est à dire de la mettre au CENTRE du débat  en se souvenant  avec  Alain ( 1932) que : « Volonté, et j’aimerais encore dire travail, voilà ce qui manque. »  
 
Les visiteurs pourront consulter l’article, in extenso, en cliquant sur Fichier 1
 
Que Catherine Kintzler soit chaleureusement remerciée de nous permettre ce nouvel emprunt à Mezetulle !

Turpitudes et contreturpitudes eccésiales et cléricales

( Septembre 2025)
 
   Il importait, après une période estivale marquée  par  des effets délétères résultant tant du changement climatique  que de  l’instabilité  gouvernementale, de tenter de faire le point après les épisodes du vote de la Loi Duplomb et de la publication du rapport de la  « commission d’enquête parlementaire sur les violences dans les établissemets scolaires » (suite à l’affaire Betharram). A l’ASVPNF on est enclin à penser  que les turbulences politiques en cours,malgré leur gravité, ne sont pas de nature à  faire verser aux oubliettes ces deux évènements révélateurs de l’état de nos institutions et de notre société. 
C’est ce qui nous conduit à continuer à informer nos visiteurs des problèmes de société observés au travers du prisme de la laîcité

républicaine.Il s’agit désormais d’une « laïcité-combat » telle qu’elle semble s’imposer aux citoyens ordinaires et que nous avons commencé à documenter sur ce site, sous la pression des évènements.

Pour l’instant les visiteurs pourront consulter un fichier constitué de deux groupes d’items :
 
Les premiers résultent de la compilation d’une longue suite d’articles parus dans le quotidien La Croix réunis dans le dossier : »L’Eglise face à la pédophilie et aux abus sexuels ».
Les seconds sont des résumés d’articles prélevés dans les différentes rubriques  du site des éditions Golias  (Golias News).
 
 
Que Christian Terras, Rédacteur en chef de Golias, soit cordialement remercié de nous permettre ces nouveaux emprunts à Golias News.

Qu’est-il arrivé à la laïcité ?

Propositions philosophiques et pédagogiques
  
  A l’ASVPNF, dans le contexte  particulier de la rentrée scolaire 2025, on reprend sans barguigner, le titre du dernier ouvrage de Pierre Hayat récemment disparu, tant pour honorer sa mémoire que pour saluer la lucidité et le caractère salutaire de sa contribution. Elle nous semble  à recommander à tous les amoureux de la LAÏCITE républicaine, inquiets de son devenir tant au sein de l’Ecole publique qu’au niveau des institutions en charge de la vie publique. 
Son ouvrage a fait l’objet d’une recension par Philippe Foussier,recension mise en ligne sur Mezetulle le 2 août 2025   où elle est présentée par Catherine Kintzler ainsi qu’il suit :
 
« L’ouvrage posthume de Pierre Hayat – décédé début 2025 – Qu’est-il arrivé à la laïcité ? Propositions philosophiques et pédagogiques (Kimé, 2025) s’inscrit dans la lignée de ses précédents livres, souvent consacrés à la laïcité et fort utiles à la compréhension du concept. Dans cet ultime volume, l’auteur propose une série de textes inédits et d’autres publiés depuis le début du siècle –« tous réfractaires au simplisme »- qui composent un ensemble touchant à la philosophie et à la pédagogie. En cette période d’instrumentalisation de la laïcité, le travail de Pierre Hayat paraît à point nommé pour écarter les funestes dévoiements opérés par des entrepreneurs identitaires de droite ou de gauche, faux amis mais en vérité vrais ennemis de ce principe.« 
Les visiteurs pourront prendre connaissance du « résumé » dudit ouvrage tel que présenté par  Babelio  en allant soit  à l’URL https://www.babelio.com/livres/Hayat-Quest-il-arrive-a-la-laicite–Propositions-phil/1869838.   soit en ouvrant le Fichier 1 .
 
Ils auront accès  au texte de Philippe Foussier  en consultant  le Fichier 2.
 
Enfin,  considérant que pendant qu’il en est temps encore,les visiteurs intrigués -il en existe encore- pourront prendre connaissance de l’article fondateur de  Jacques Viguier ayant trait à la « laïcité-combat » qu’ils découvriront dans le Fichier 3  . Ceci les conduira, indubitablement, à méditer sur le fait que :

« La laïcité-combat doit être réaffirmée face à des groupes intolérants, religieux ou autres. De la même manière que Saint-Just affirmait « Pas de liberté pour les ennemis de la liberté ! », n’est-il pas possible de dire : « Pas de tolérance pour les ennemis de la tolérance ! »
En la matière soyons clairs, déterminés et tous réfractaires au simplisme !
Fichier 1Babelio : qu’est-il arrivé à la laïcité ?
Fichier 2.  Qu’est-il arrivé à la laïcité;recension de Philippe Foussier
Fichier 3. Soliloque iconoclaste sur la laïcité-combat de Jacques Viguier
Que Catherine Kintzler soit assurée de notre cordiale  reconnaissance de nous avoir permis ce nouvel emprunt à Mezetulle .

Contre la volonté de ne pas savoir Démystifier l’acétamipride et sa biotoxicité

On s’adresse ici – à tous les visiteurs, citoyens émancipés de la République et  notamment ceux d’entre eux, décideurs et législateurs, enclins à régler les problèmes au moyen de lois  votées, parfois à la hâte, par la représentation nationale- afin qu’ils prennent en considération quelques commentaires destinés à démystifier l’acétamipride le soi-disant insecticide des jardiniers qui crispe la France par les temps présents. Tous, sans oublier les agriculteurs-utilisateurs, partiellement voire partialement informés des questions posées par son emploi au  champ et ailleurs notamment en matière de santé publique, se doivent d’être placés devant leurs responsabilités face à l’émergence de risques majeurs dont les prolongements politiques et sociétaux se dessinent de jour en jour !

Pour y parvenir, mettre en lumière la problématique de l’acétamipride, le biocide tueur d’abeilles et  de pucerons dont on occulte avec désinvolture les effets potentiels sur la totalité des composantes de l’environnement et sur tous les protagonistes de la chaîne alimentaire y compris l’Homme, devient une priorité sociétale.

Celle-ci ne peut se régler à bon compte, par  la seule  bonne conscience dont on peut être porteur après avoir protesté et  pétitionné contre la Loi Duplomb censée assurer la réintroduction prochaine du pesticide en France. Elle ne peut pas plus s’accommoder du fait que ledit insecticide est autorisé et utilisé dans les grandes cultures des pays voisins avec les effets dévastateurs que l’on connaît. Ce n’est pas parce que ces derniers ont fait le choix de sombrer dans l’abîme que nous devons –sous l’égide du sénateur  Laurent Duplomb et des parlementaires qui ont souscrit à sa démarche –plonger avec eux  comme d’écervelés moutons de Panurge.   

Il s’agit alors de contribuer à mettre un coup d’arrêt définitif à ce qui s’apparente à un scandale,à l’instar de ceux ayant déjà défrayé la chronique dans des domaines connexes  ( chlordecone, glyphosate,  cadmium,etc…) tous  associés à la pratique d’ une agriculture intensive assujettie aux lobbies de l’industrie des produits phytosanitaires et  aux ordres d’un syndicalisme paysan d’un autre temps. Il s’agit de pourfendre, avec toute la probité nécessaire, la liberté de l’ignorance et la propension à la désinformation selon le mode d’un « trumpisme » à la française ;

On ne lève pas impunément les contraintes à l’exercice –en  toute liberté- du métier d’agriculteur en autorisant l’emploi au  champ de l’acétamipride et d’autres néonicotinoïdes  lorsque dans les medias on annonce à l’envi : « Abeilles domestiques en danger ; bébés contaminés !».

On rappellera ici quelques éléments de la doxa qui semblent avoir formaté l’opinion publique en la matière à savoir :

« En 2025, une loi portée par le sénateur Laurent Duplomb est adoptée permettant la réintroduction dérogatoire de l’acétamipride. Cette disposition est réclamée par les producteurs de betteraves sucrières et de noisettes, avançant n’avoir aucune autre solution pour protéger efficacement leurs cultures. La FNSEA et la Coordination rurale dénoncent une « concurrence déloyale » avec les autres producteurs européens et une « porte ouverte aux importations », notamment de noisettes produites en utilisant des pesticides interdits en France. Le texte suscite de vifs débats. La loi fait l’objet d’une pétition réclamant son abrogation,sur le site de l’Assemblée nationale où elle dépasse le cap des 2 000 000  de signatures ».

Notre Association propose dans ce cas  de restreindre la liberté et le droit à l’ignorance et d’inciter à revenir aux fondamentaux de l’émancipation tels qu’enseignés par l’Ecole républicaine à savoir la vérité de la Science et de la Raison et  l’intelligence des leçons de chose .

En clair et sans prétendre être exhaustif dans tous les domaines concernés on souhaiterait pouvoir faire connaître aux visiteurs de ce site  quelques éléments scientifiquement incontournables sur le mode d’intervention de l’acétamipride dans la protection des cultures d’intérêt agronomique et alimentaire et  sur les problèmes de toxicité qui en découlent.

On peut sans grand risque considérer que tous les  niveaux des chaînes trophiques aboutisant à l’homme sont affectés ou risquent de l’être. Nul ne doit se complaire à ignorer la réalité des agressions en cours  dans l’ensemble de la biosphère et tout citoyen responsable  se doit de le dire et de protester contre les termes d’une loi scélérate permettant d’amplifier un scandale  déjà bien enclenché dans notre environnement imm.édiat.

Les visiteurs pourront  à ce propos consulter  deux fichiers 

 

Fichier 1. Manifeste de l’ASVPNF pour une agriculture responsable et une protection de la biodiversité et  contre la réintroduction de l’acétamipride et des pesticides toxiques. 

Fichier 2 . L’acétamipride ; mécanisme d’action sur le système nerveux et effets sublétaux documentés.

Turpitudes et contre-turpitudes cléricales et ecclésiales

                              (suite de juillet  2025)

 

La commision d’enquête parlementaire sur les violences à l’Ecole née du scandale  du collège-lycée privé de Bétharram présidée par Mme Fatiha Keloua Hachi – les co-rapporteurs étant les députés Violette Spillebout et Paul Vannier a rendu, ce jour 2 juillet 2O25, ses conclusions et formulé 50 recommandations…

On sait déjà qu’il y est pointé le « défaut d’action » de François Bayrou à l’époque, ce qui a pu laisser les violences « perdurer ».

On avance qu’à défaut d’action F.Bayrou avait « les moyens d’engager », alors qu’il était « informé » quand il était ministre de l’Education nationale (1993-1997) et président du Conseil général (1992-2001) .Ces violences « ont perduré pendant des années ».

On sait aussi que les rapporteurs évoquent plus généralement « un véritable déchaînement de violences » à Notre-Dame de Bétharram qu’on « ne saurait réduire à des débordements ponctuels ». La violence « était – pour partie au moins – institutionnalisée » dans cet établissement, indiquent-ils, avec « une communauté de notables au soutien indéfectible », dont des « membres du gouvernement ».

Les co-rapporteurs soulignent en outre que Bétharram était « un cas loin d’être unique », avec souvent les mêmes « logiques à l’oeuvre » dans d’autres établissements, dont des « violences institutionnalisées sous prétexte d’excellence pédagogique »….

Sur France inter, ce mercredi, les deux parlementaires sont revenus sur leur travail en dressant un constat alarmant au sein, notamment, de l’enseignement privé. Rapporté par Huffingtonpost   on découvre(https://www.huffingtonpost.fr/politique/article/affaire-betharram-ce-que-conclut-la-commission-d-enquete-parlementaire-sur-bayrou-et-pour-les-victimes_252096.html) :

– « Je ne pouvais pas imaginer ce que j’ai entendu, les actes de tortures, les enfants que l’on prive de sommeil… Je sors humainement profondément marqué, bouleversé par cette commission d’enquête », a  expliqué l’élu LFI du Val-d’Oise Paul Vannier.

-Mêmes mots ou presque pour sa collègue macroniste Violette Spillebout. « Des violences à l’école ont eu lieu dans toute la France, dans des centaines d’établissements, avec des milliers de victimes. On peut dire que c’était systémique », a ainsi estimé l’élue du Nord, en parlant de violences « encore présentes aujourd’hui, dans des établissements privés et publics. »

-Outre la création d’un fonds d’indemnisation pour les victimes ou la « reconnaissance de la responsabilité de l’État », le rapport parlementaire préconise d’effectuer des contrôles « chaque année » dans les établissements avec internats

-« Pendant des décennies, il y a une accusation, un rayon paralysant, celui de la guerre scolaire, qui a été brandi en direction de celles et ceux qui questionnaient la place particulière des établissements privés sous contrat dans notre pays », a pointé Paul Vannier sur France Inter, en ajoutant : « Cette accusation a conduit des ministres à s’autocensurer (…) la puissance publique était terrorisée, il n’y a eu aucun contrôle pendant 40 ans dans ces établissements ».

Comme on pouvait s’y attendre,les charges sont lourdes ! Quel sera le sort accordé par la puissance publique aux  cinquante recommandations annoncées ? Et les victimes ? Et les coupables ?

On lira avec intérêt l’article à ce sujet publié par Ouest-France ( Bétharram : on vous révèle ce que contient le rapport d’enquête sur les violences en milieu scolaire

Dans cette attente on  continuera sur ce site de pourfendre sans faiblesse ce que nous avons convenu d’appeler les « turpitudes et contreturpitudes cléricales et ecclésiales » afin que la vérité ,toute la vérité des faits soit faite avant que les cléricaux réactionnaires n’en aient fait disparaître les preuves(voir à ce propos le point 13  ci-dessous !)

Ainsi , après l’avertissement qui précède qu’on ne pouvait laisser sous silence, les visiteurs pourront consulter une nouvelle série d’articles ou de liens y conduisant. Ils font état de la mise à jour de nouvelles violences perpétrées au sein de l’Eglise,violences venant alourdir un état des lieux déjà accablant tant pour elle-même que pour la société tout entière.
Les visiteurs de ce site pourront s’en convaincre en consultant le Fichier 1  dans lequel sont réunis quelques pièces à conviction étant entendu que, dans le contexte, d’autres suivront .
Que Christian Terras, rédacteur en chef de Golias soit sincèrement remercié  de nous avoir permis de nouveaux emprunts à Golias News