Auteur/autrice : laurence
Le décret et l’arrêté Berthelot du 18 janvier 1887 .
Loi Goblet : loi de laïcisation du personnel enseignant, loi de séparation de l’église et de l’école publique. (30 octobre 1886)
Faire vivre la laïcité et la mixité sociale à l’école publique !
Faire face aux contestations de la laïcité et aux dérives du séparatisme.
JOURNÉE DE LA LAÏCITÉ – Lycée Anita Conti
Regard de femme sur un mémorial orphelin (addendum)
Après réflexion Jacques Denniélou, auteur du propos attribué à la pleurante du Monument aux Instituteurs du Finistère Morts pour la France sculptée par Armel Beaufils , en a proposé une version alternative. Comme les deux se complètent heureusement elles se trouvent désormais associées dans le document final que les visiteurs pourront consulter en cliquant ici.
Qu’y avait-il donc dans les bagages des normaliens ?
Présentation du numéro : Décrire et comprendre le travail éducatif dans les professions de l’humain invite à une lecture de l’agir professionnel en situation intégrant dialectiquement anticipation, conception, action, réflexion critique et visant à créer les conditions d’un apprentissage transformateur chez autrui. Mais quels fondements sont à l’origine des savoirs sollicités par ces professionnels du travail éducatif ? Les doctrines éducatives comme les idées pédagogiques traversent l’histoire de ces professions et les histoires des professionnels. Or, force est de constater que ces conceptions ou doctrines éducatives, ces idées ou formes pédagogiques s’accompagnent souvent de deux ambitions : l’innovation et l’efficacité. Ces deux ambitions soulignent sans doute la part d’utopie constitutive de tout projet éducatif. Mais elles nous encouragent à déceler en elle l’héritage patrimonial des thèses pédagogiques d’aujourd’hui, Nous proposons dans ce numéro une le
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Réflexion sur l’air du temps et la laïcité par Guy GEORGES, ancien normalien (EN de Chaumont, Haute-Marne)
Le parcours de G. Georges (1928-2018) fut exemplaire comme pédagogue et syndicaliste enseignant. On pourra s’en faire une première idée dans des extraits de l’article de Luc Cedelle paru Le Monde annonçant le décès d’un acteur majeur de l’éducation nationale ,le 14 février 2018 :
» En 1945, il entre à l’école normale d’instituteurs. A sa sortie, quatre ans plus tard, repéré par le secrétaire départemental du SNI et futur secrétaire général de la FEN, James Marangé, il est détaché à la fédération des œuvres laïques, où se déploient ses compétences de pédagogue, de sportif et de musicien.
Né le 22 octobre 1928, fils d’un ouvrier coutelier et d’une ouvrière gantière, Guy Georges fut, à Chaumont (Haute-Marne) élève du cours complémentaire, filière qui, après l’école primaire, accueillait les bons élèves de la 6e à la 3e. En 1944, alors qu’il va sur ses 16 ans, le jeune homme échappe in extremis à une exécution sommaire par les troupes d’Occupation, qui pratiquent des représailles sur les civils après une action de la Résistance … ».
« C’était un lutteur, plutôt taiseux, plus militant que tribun. Un caractère bien trempé, assumant les aspects conflictuels de la vie syndicale. Intransigeant sur les principes mais se méfiant des incantations, Guy Georges se posait toujours la question du « possible ». La disparition, à Maisons-Alfort (Val-de-Marne), le 3 février, à l’âge de 89 ans, de ce grand syndicaliste enseignant rouvre les pages d’une histoire toute récente. Guy Georges a été le secrétaire général d’un puissant syndicat qui n’existe plus, le Syndicat national des instituteurs (SNI), lui-même pièce maîtresse d’une imposante fédération aujourd’hui disparue, la Fédération de l’éducation nationale (FEN), au temps où les syndicats représentaient une force qu’ils voudraient bien retrouver aujourd’hui ». « (La mort du syndicaliste enseignant Guy Georges – Le Mondewww.lemonde.fr › Disparitions
L’ancien secrétaire secrétaire général du Syndicat national des instituteurs est mort le 3 février Maisons-Alfort (Val-de-Marne).
www.lemonde.fr
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