Quand le Tirailleur du Citoyen défendait ses Idoles !

L’histoire républicaine de la laïcisation de l’école publique et des autres institutions  ne s’arrêta pas, comme par enchantement, suite au vote de la Loi de Séparation de 1905. Ainsi,  suite à la Grande Guerre et à l’union sacrée  qui s’en suivit, la laïcité  fut de nouveau attaquée de manière frontale  par  l’église catholique dès  la victoire électorale du Cartel des Gauches en 1924. (cf.

Les illusions de la victoire en France

www.cndp.fr › jean-zay › frise › fiches › 06_illusion_v..
           En effet l’Assemblée  des Cardinaux et des Archevêques de France adopta, le 10 mars 1925, une déclaration solennelle qui « condamnait l’idée même de laïcité » et  prônait « les mesures à prendre pour la combattre « . Ladite assemblée considérait que les lois de laïcité votées depuis l’avènement de la 3è République substituaient  au « vrai Dieu » des « idoles » parmi lesquelles on citait  la liberté , la solidarité, l’humanité et la science…Les visiteurs pourront  prendre connaissance  du contenu de cette déclaration en consultant le document 1.
 
         C’est dans ce contexte particulier que Gorges Le Bail, fondateur et  rédacteur- en – chef  du Citoyen , hebdomadaire  finistérien de concentration républicaine, ouvrit dans son journal une chronique intitulée :
 
    « En tirailleur ; le culte des idoles ». 
 
       Entretenue avec beaucoup d’humour et de lucidité, pendant plusieurs semaines, elle donna lieu à un ensemble d’articles qui, transcrits de la presse ancienne numérisée,  ont été réunis en un document unique selon leur ordre d’apparition. Les visiteurs pourront le consulter (document 2)  .
                Document 1. Texte de la déclaration sur les lois dites de laïcité et les mesures à prendre pour les combattre.
 
                Document 2 .  En tirailleur: le culte des idoles.

 » L’avenir d’une désillusion : l’État et la République »

Sur le livre de Pierre Birnbaum « La Leçon de Vichy – Une histoire personnelle » 
(Seuil, 2019)
par 
Sabine Prokhoris, le 23 janvier 2021

 

            Les visiteurs intéressés par l’histoire du devenir de la République française et de celle de ses institutions pourront consulter, en suivant le lien proposé , l’analyse de l’ouvrage de Pierre Birnbaum  (2019) par Sabine Prokhoris , analyse parue dans  Mezetulle  le 25 février 2021.

 
  

           URL : https://www.mezetulle.fr/lavenir-dune-desillusion-letat-et-la-republique/
 
           A ce propos , C. Kintzler  souligne dans son Blog-revue que   :   « L’ouvrage de Pierre Birnbaum La Leçon de Vichy – Une histoire personnelle (Seuil, 2019) est l’occasion pour Sabine Prokhoris de méditer sur la « rupture » qu’il introduit dans le travail de son auteur, historien-sociologue de l’État. Elle souligne la remise en question de la position méthodologique d’un chercheur qui se voulait détaché de toute contingence personnelle, mais aussi celle de nombre d’aspects de la théorie  de l’État qu’il a précédemment élaborée. Cette rupture n’est pas un reniement. C’est par le nœud de l’histoire intime et de l’histoire collective que la question est posée : « comment penser à nouveaux frais les liens, auparavant vus comme consubstantiels en France, de l’État et de la République ? ».
 
         Catherine Kintzler nous a autorisé à reproduire et représenter cette contribution : qu’elle en soit cordialement remerciée.

Pour le Professeur maîtriser sa discipline reste le fondement de sa pédagogie et de son autorité !

Ce principe qui  fut pendant longtemps une évidence ne semble plus l’être, si l’on fait référence  aux nouvelles épreuves de l’examen donnant accès au CAPES…
 
           Les visiteurs pourront s’en  persuader  en consultant l’article récent de  Guillaume Pigeard de Gurbert intitulé  :
 
 « L’Éducation nationale ne recrute plus; elle embauche « 
 
          paru dans Mezetulle, le Blog-revue de  Catherine Kintzler, le 25 février 2021.  
         Il en ressort que : »Sourd aux nombreuses critiques et protestations, le Ministère de l’Éducation nationale impose une réforme du CAPES qui s’inscrit dans la ligne des précédentes. Instituant ouvertement le déclassement des professeurs en les livrant au caporalisme, elle confirme une politique scolaire qui depuis longtemps s’acharne à réduire la place du savoir. Guillaume Pigeard de Gurbert en analyse ici les contradictions. »
          Les visiteurs pourront accéder au document mentionné en suivant le lien : 
 
        https://www.mezetulle.fr/leducation-nationale-ne-recrute-plus-elle-embauche/
 
        
        Que Catherine  Kintzler soit remerciée de nous autoriser à en  faire mention  sur ce site.
 

Savoir nommer les choses essentielles : Définition de la laïcité par Ferdinand Buisson (1911)

Les visiteurs pourront consulter en cliquant ici ce texte fondateur paru il y a 110 ans dans le  Nouveau Dictionnaire de Pédagogie et d’Instruction primaire  (Editions Hachette).  Il conserve toute sa lisibilité et son actualité en 2021.  Selon F. Buisson le néologisme était nécessaire car  « aucun autre terme ne permettait d’exprimer sans périphrase la même idée dans son ampleur « . On était bien loin des sept laïcités françaises de Jean Baubérot (2015)!                                (cf. https://journals.openedition.org/lectures/18666 )
 
        Il est rappelé, à la suite de Anne-Claire Husser (2014), que : « Ferdinand Buisson joua un rôle majeur dans la définition du cadre de la laïcité scolaire française il y a plus d’un siècle, à une époque où il n’était pas encore question d’enseigner le fait religieux à l’école mais plutôt de ramener les religions dans la sphère privée pour affirmer l’indépendance des institutions publiques à l’égard des Églises. Nommé directeur de l’instruction primaire par Jules Ferry en 1879 et ayant continué à exercer ces fonctions durant près de dix-sept années, Buisson présida non seulement à la mise en place des grandes lois scolaires dans les années 1880, mais il contribua plus largement à façonner l’école laïque de la fin du 19è siècle et du début du 20è par son action administrative, son implication dans la formation des maîtres, sa présence au sein des grandes associations républicaines comme la ligue de l’enseignement ou la ligue des droits de l’homme ainsi que par sa réflexion pédagogique. »cf.(https://www.cairn.info/revue-histoire-monde-et-cultures-religieuses-2014-4-page-29.htm)

Célébration de la Journée Internationale pour les Droits des Femmes Quimper; 6 mars 2021.

La Journée Internationale des Femmes (selon l’appellation officielle de l’ONU ; en anglais, International Women’s Day ou IWD), également appelée Journée Internationale pour les Droits des Femmes dans certains pays comme la France, est célébrée le 8 mars. C’est une journée internationale mettant en avant la lutte pour les droits des femmes et notamment pour la réduction des inégalités par rapport aux hommes.

 
    Cette journée est issue de l’histoire des luttes féministes menées sur les continents européen et américain. Le 28 février 1909, une « Journée nationale de la femme » (National Woman’s Day) est célébrée aux États-Unis à l’appel du Parti socialiste d’Amérique. À la suite d’une proposition de Clara Zetkin en août 1910, l’Internationale socialiste des femmes célèbre le 19 mars 1911 la première « Journée internationale des femmes » et revendique le droit de vote des femmes, le droit au travail et la fin des discriminations au travail. Depuis, des rassemblements et manifestations ont lieu tous les ans.

 

 

C’est la Russie soviétique qui est le premier pays à l’officialiser en 1921 en en faisant un jour férié mais non chômé jusqu’en 1965. L’évènement restera principalement cantonné aux pays du bloc socialiste jusqu’à la fin des années soixante, lorsqu’il sera repris par la deuxième vague féministe. C’est finalement en 1977 que les Nations unies officialisent la journée, invitant tous les pays de la planète à célébrer une journée en faveur des droits des femmes.

 

 

 

 

 

     Les visiteurs de ce site et leurs proches sont invités par les « communistes finistériens et leurs sympathisants »  à la célébration de cette journée plus particulièrement dévolue cette année au lien entre les luttes pour l’égalité femmes-hommes et la crise pandémique  qui traverse le monde  sous l’intitulé thématique :   

« Leadership féminin : pour un futur égalitaire dans le monde de la Covid-19« .

   Le rassemblement se tiendra le samedi 6 mars 2021 à 14h30, Place Saint-Corentin, devant l’Hôtel de Ville à Quimper.
 
Les visiteurs pourront consulter en cliquant ici l’invitation reçue par l’Association ainsi qu’un document relatif à Nathalie Le Mel,  finistérienne engagée tant dans la défense des droits de la femme  que  dans l’Insurrection  de la Commune de Paris en 1871.Cette célébration lui est dédiée. Nathalie Le Mel fut déportée en Nouvelle Calédonie en compagnie de Louise Michel.

 

    Que Mme Yvonne Rainero soit chaleureusement remerciée pour nous avoir adressé cette invitation  et pour nous avoir autorisé à la reproduire en vue de son  insertion  sur ce site.

Enseigner les faits religieux et leur réfutation à l’école publique laïque en 2022.

Par les temps présents, une telle pratique pédagogique  est présentée, notamment dans les medias, comme relevant d’une gageure… lorsqu’elle n’est pas occultée par certains de ceux qui en ont la charge, par l’exercice d’une autocensure.   Et pourtant  dans notre école publique républicaine la laïcité est la règle intangible depuis 1886 tant pour le contenu de l’enseignement que pour le personnel enseignant.   

          Pourquoi faut-il en rappeler  l’urgence ?  S’agit-il  de relancer l’enseignement du fait religieux –ou des faits religieux- à l’école ou l’enseignement laïque des faits religieux ou encore l’enseignement du fait religieux à l’école laïque ? On pourrait y ajouter pour tenter de nommer les « choses » … l’enseignement des faits religieux dans les écoles privées, confessionnelles ou pas sans compter l’enseignement du fait religieux -défi pour la laïcité- et leurs réciproques que l’on oublie très généralement   de mentionner. 

 

      Pour éviter de retomber dans un  florilège d’expressions masquant des assertions différentes faut-il rappeler que ce rappel à l’ordre des autorités académiques ne fait que reprendre  « ce qui a toujours figuré dans les programmes et confié au jugement éclairé des professeurs des disciplines critiques  » (C. Kintzler, 2021 )? S’agirait-il tout simplement  d’une incitation forte à éduquer à la laïcité et à la liberté de conscience, à la tolérance et à la fraternité qu’ elle implique ?

        Les  visiteurs intéressés dont invités à consulter, en cliquant ici un article  fondateur de Catherine Kintzler faisant suite à la parution de l’ouvrage d’Aline Girard paru dans  la Lettre de Mezetulle du 1er mars 2021. Il est  intitulé :

 

« Enseigner le fait religieux à l’école : une erreur politique ? »,

sur le livre d’Aline Girard ( Minerve, 2021)

     On pourra ainsi se rendre compte qu’il ne s’agit pas  d’enseigner la laïcité parallèlement au(x) fait(s) religieux ou plus simplement de relier  enseignement et fait religieux… Il s’agit bien  dans le cadre institutionnel  de  l’école publique de rappeler sans faiblesse ni concession  que l’urgence laïque est effectivement de réinstituer l’école. Il  revient alors  à celle-ci  de s’interroger sur la place que doit occuper le fait religieux dans la pédagogie de la laïcité et de considérer en toute objectivité que les religions  sont des objets d’études historique, sociologique, philosophique sans compter leur intérêt comme  sources d’inspiration artistique. Il lui revient aussi, en toute impartialité de faire référence à l’irréligieux  voire à l’areligieux en affirmant que ces « faits »  donnent également accès à la spiritualité et aux questions métaphysiques. 

        En toutes situations, la probité scientifique est requise  pour enseigner  les faits religieux  selon une approche laïque.  Et pour revenir aux fondamentaux ne faut-il pas, en toute humilité, rappeler le propos fondateur  tenu par Ferdinand Buisson à cet égard dès 1911  : 
 
            Il conserve une pleine actualité !

      Que Catherine Kintzler soit chaleureusement remerciée de nous avoir autorisé à reproduire son article de façon à le représenter sur ce site.

Professeur de philosophie à l’ Ecole normale d’Instituteurs de Quimper, philosophe de la sociologie du sport : MICHEL BOUET.

M.  Bouet (1920-1995) est rarement cité dans les rubriques de ce site. Cette insertion a pour objet de combler cette lacune en  faisant appel, il est vrai, à des éléments représentatifs d’un parcours hors normes plus spécifiquement  inscrit à l’Université de Rennes 2 où il devint professeur des Universités qu’à l’Ecole normale de Quimper. Ses activités vélivoles qui  retiennent aussi l’attention  lui faisaient dire   : « le vol à voile n’a pas été toute ma vie, mais ça a peut-être été le tout de ma vie ».  C’est au cours de l’exercice de cette passion qu’il perdit  prématurément la vie à soixante-quinze  ans.
 
       Professeur agrégé de philosophie en 1956, à  l’école de G. BachelardM. Bouet à la fin des années 50 du 20è siècle enseignait la philosophie aux élèves-maîtres de l’ENG de Quimper préparant  le baccalauréat de Sciences expérimentales et la psycho-pédagogie aux normaliens en formation professionnelle . Il y avait créé et animé un atelier d’aéromodélisme en bon  accord avec ce qui devint  une passion; le vol à voile. Il est rarement fait mention de cette période de sa vie où, aux contacts de son collègue Pierre Hélias, il apprit à aimer la Bretagne.
 
       Mais que venaient donc faire des enseignements de philosophie dans le bagage normalien  tel qu’il ressortait  des cartons de la Libération après que le régime de Vichy eût fermé les écoles normales primaires et transféré les élèves-maîtres dans les lycées  pour préparer le baccalauréat,  à l’instar de  tous les  lycéens ?  Qu’en était  la signification eu égard à la formation des maîtres pour l’école primaire élémentaire ?  S’agissait-il de former des « instituteurs philosophes » aptes  à philosopher à l’école primaire ?  On trouvera des éléments de réponse à ces questions  en se reportant aux deux articles suivants: 
 
             Article 1:  Le Philosophe de l’éducation au miroir de l’histoire  par Pierre Kahn,  Le Télémaque 2006,2 (n° 30), 131-136
 

 Lien :         https://www.cairn.info/revue-le-telemaque-2006-2-page-131.htm 

             Article 2 : Philosopher à l’Ecole  primaire par Bernard Jolibert, Revue Philosophique de la France et de l’Etranger 2015 /3,tome 140, 291-306
 
 Lien :       https://www.cairn.info/revue-philosophique-2015-3-page-291.htm
 

         Quoi qu’il en soit et pour ceux qui ont bénéficié des enseignements de M. Bouet on retiendra avec Bernard Jolibert  :« qu’il ne suffit pas de parler, de questionner, d’échanger, d’user de raisonnements, voire de douter de tout pour se montrer philosophe, il faut être capable de remettre en question ce qu’on pense (son objet), de se demander comment on le pense (méthode) et de s’interroger sur les limites de sa propre pensée comme être raisonnable (véracité) ». Il s’agissait donc  de porter et  de mettre en pratique ce message  devant  ses élèves,  pour leur émancipation !

 
 
     Les visiteurs intéressés par  des éléments marquants de la biographie de M. Bouet pourront consulter, en cliquant ici , un document rapportant des  points essentiels qu’ils pourront approfondir en suivant les liens proposés.

Prémices de la célébration du centenaire de la Révolution à Quimper…

Acquisition par le Musée des Beaux Arts du tableau de  Jules Girardet (1887): 
 
              Les révoltés de Fouesnant ramenés à Quimper par  la Garde nationale en 1792. 
 
        Aux premiers jours de septembre 1887, à quelques mois du centenaire de la Révolution de 1789,  Le Finistère -journal politique paraissant le mercredi et le samedi- annonçait , à deux reprises, l’arrivée  au Musée de Quimper de  cette toile célèbre constituant l’une des   scènes  de genre majeures peintes par   J. Girardet (1856-1938).  
       Tout en soulignant les intérêts historique et artistique de l’oeuvre, ce journal  fait état de sa volonté  de remettre en lumière les éléments fondateurs de l’histoire locale dans le contexte de la célébration du centenaire de la Révolution française.  
 
       L’insurrection en question et sa répression eurent lieu à Fouesnant (F-29170)  les 8, 9 ,10 et 11  juillet 1792, à l’époque de la Convention girondine . On notera que  la Monarchie ne  fut abolie et remplacée par la Première République que le 27 septembre 1792 !
 
       Pour mieux se rendre compte de la nature et de la signification des évènements funestes à l’origine de ce tableau, les visiteurs pourront consulter  trois documents ,  en cliquant  successivement sur les items notés en bleu : 
 
     Document 1.   Les deux articles du journal Le Finistère de septembre 1887,
 
     Document 2.   La reproduction du tableau de Jules Girardet exposé au Musée de  Quimper,
 
     Document 3.  Le  récit de la Révolte de Fouesnant , feuilleton du Finistère des 3 et 7 septembre 1887.  
 

Les élèves-maîtres en formation professionnelle à l’école d’application Jules Ferry de Quimper étaient affublés du surnom de « P’tits boucs » par les écoliers de « La Jules »!

La fermeture de cette école , décidée par le conseil municipal de la Ville de Quimper en 2017, provoqua une vive émotion tant chez les parents des derniers élèves que chez les anciens élèves de cet établissement  emblématique de la cité. La presse locale s’en fit largement l’écho tout en rapportant sur  le devenir de l’ensemble immobilier libéré. 
 
          C’est en glanant dans cette presse qu’un adhérent-qui a souhaité garder l’anonymat- a découvert des photos de classe d’application réalisées dans cet établissement au milieu du 20è siècle où les écoliers de « La Jules » étaient encadrés par des binômes normaliens en « blouse grise et cravate « .  Par ailleurs le témoignage de l’un de ces ex-écoliers, aujourd’hui retraité, a révélé que  les normaliens  en apprentissage étaient surnommés les  « P’tits Boucs »  car souvent, ils se laissaient  porter une « petite barbe au menton »  sans doute pour assoir leur autorité auprès de leurs jeunes auditoires .
 
         Les visiteurs intéressés pourront consulter en cliquant ici  3 photos-souvenirs  prises en octobre 1957 dans la cour de récréation de « La Jules » .

Haro sur le professeur de philosophie, défenseur sans concession de la laïcité et de la liberté d’expression !

 Les visiteurs intéressés pourront  accéder  à  des informations récentes relatives à cette affaire telles que rapportées par les trois périodiques mentionnés , en suivant les liens proposés  :
 
 
 
               1Revue des Deux Mondes  : 15 février 2021
 
 
Haro sur le prof de philo; Didier LEMAIRE un scandale français
                                                                         
                                                                      par
                    
                                                                             Valérie Toranian
https://mailchi.mp/revuedesdeuxmondes/didier-lemaire-scandale-francais?e=7f14426319
 
  
          C’est l’histoire d’un prof de philo au pays de Descartes et de Voltaire, cheveux longs et idées claires, qui, depuis vingt ans, s’obstine à enseigner dans des villes où la République a cruellement besoin de hussards noirs qui portent haut ses valeurs
 
 
 
 
 
 
              2. L’ OBS :  16 février 2021
                         

Didier Lemaire, le prof de philo de Trappes, est-il un provocateur ou un lanceur d’alerte?

 par 

 
Cécile Deffontaines 
 
 
      

https://www.nouvelobs.com/education/20210216.OBS40294/didier-lemaire-le-prof-de-philo-de-trappes-est-il-un-provocateur-ou-un-lanceur-d-alerte.html

 
          Ce professeur de philosophie jusqu’ici inconnu dénonce la colonisation des esprits de ses élèves par l’islamisme radical, à Trappes où il enseignait. Ses propos ont provoqué une polémique politique qui a rapidement dépassé le cadre de la ville.
 
 
            3.  Marianne, Votre Lettre d’actualité : 17 février 2021

Affaire Didier Lemaire :

« Un bon laïque est un laïque mort »

 
Billet par  
 
Samuel  Piquet  
https://www.marianne.net/agora/humeurs/affaire-didier-lemaire-un-bon-laique-est-un-laique-mort?utm_source=nl_quotidienne&utm_medium=email&utm_campaign=20210217&xtor=EPR-1&_ope=eyJndWlkIjoiYzA1MWI3ZGI3YjNlNDU1YzViYjZmMjA0Yzk2MDEyZWMifQ%3D%3D
 

          Les lauriers pour Charlie et Samuel Paty, la boue pour Mila et Didier Lemaire. Lorsqu’on prend parti pour la laïcité, mieux vaut éviter d’être vivant. Didier Lemaire pourrait être un héros, mais comme Mila, il a le mauvais goût d’évoquer des sujets autorisés uniquement au lendemain des attentats.