A la rencontre de nos camarades du département de la Meuse (F-55 ).

Les anciens et anciennes des EN de Commercy et Bar-le-Duc , regroupés au sein de l’Association  « AEN Meuse  » présidée par Fernand Lambert  (promotion 63-67), nous livrent leurs expériences pour la préservation de leur patrimoine et de l’esprit normalien .
Les visiteurs intéressés pourront consulter, en cliquant ici, le message de F. Lambert et découvrir l’adresse du site internet de  son  Association.

Quand une adhérente de l’ASVPNF reçoit les honneurs de la presse !

Yvonne Bouër-Trividic vient de faire rééditer son ouvrage « L’oubli ne sera pas leur second linceul » , recueil de témoignages et de documents portant sur la Résistance à  l’occupant allemand nazi pendant la seconde  guerre mondiale dans le Cap-Sizun (la pointe sud-ouest du département du Finistère, F-29). Les deux tomes originaux le composant furent achevé d’imprimer sur les presses du Service Imprimerie de l’Université de Rennes1 le 25 mars 2011 (dépôt légal : mars 2011).

       Ce sont les parcours  des Résistants FTPF de l’ombre  qui y sont rapportés et reconstitués. Ces derniers découvrirent trop souvent à leurs dépens, face à leur ennemi, que « lorsqu’il cesse de penser, chaque être humain peut agir en barbare et que c’est dans le vide de la pensée que s’inscrit le mal ».

    Notre collègue a pris le soin d’assurer la sauvegarde  des  éléments ressortant de ses collectes minutieuses au Musée de la Résistance nationale  où ils seront de surcroît valorisés et transmis  aux nouvelles générations. Sur le chemin d’une  mémoire fidèle, son ouvrage réédité y contribuera aussi grandement tout en documentant l’histoire locale. Il est entendu que c’est en donnant aux générations montantes  «  es clés  de compréhension du passé que  nous pourrons leur permettre de construire librement leur avenir ».

     Les visiteurs intéressés pourront consulter, en cliquant successivement sur les deux liens suivants, les analyses dévolues  à cet ouvrage parues dans :

       –  Le Télégramme du 28 août 2020 :

https://www.letelegramme.fr/finistere/plouhinec/yvonne-trividic-bouer-reedite-l-oubli-ne-sera-pas-leur-second-linceul-28-08-2020-12605188.php

        –  Ouest-France du  8 septembre 2020 :

https://www.ouest-france.fr/bretagne/finistere/cap-sizun-yvonne-trividic-bouer-reedite-son-recueil-de-temoignages-de-resistants-6965153

Pour un travail socialement juste et écologiquement durable !

Telle  est la leçon à tirer  de l’article de   Bénédicte Zimmermann  publié dans le Bulletin de septembre 2020 de l’EHESS et intitulé  :
 
        » Redéfinir ce pour quoi  nous travaillons pour prendre soin de ce à quoi nous tenons »
 
   Les visiteurs  pourront le consulter en cliquant iciPar les temps présents,  il pose le problème de la finalité du travail dans la perspective  de l’éthique de la sollicitude (éthique du « care ») qui fut prônée notamment par Martine Aubry(maire de Lille) selon la formule:   » il faut passer d’une société individualiste à une société du care, selon le mot anglais que l’on pourrait traduire par “le soin mutuel” » .
 
   Que B.Zimmermann et l’EHESS soient remerciés pour cette contribution fondatrice qu’ils ont accepté de mettre à notre disposition.

Dans quelle mesure les grandes pestes du passé peuvent-elles éclairer la pandémie de Covid-19 ?

 Tel est l’intitulé de l’article que publie Stefano Condorelli dans le Bulletin de l’EHESS de septembre 2020. La question du « monde d’après », déjà  posée  sur ce site, reste sans réponse alors que la pandémie continue de sévir.
 
       Celle des leçons à tirer des récits et documents consacrés aux  grands fléaux du passé  se trouve formulée dans ce document que les visiteurs pourront consulter en cliquant ici.
 
       Il est rappelé que ces calamités  réputées imprévisibles et mentionnées à diverses reprises dans la bible, sont intervenues  dès le néolithique et  plus récemment dans nos sociétés « occidentales et méditerranéennes »  lors de la peste justinienne(de 541 à 767), la peste noire de  1346, la peste de Londres de 1665 et la peste de Marseille de 1720…Ont-elles changé le monde ? 
        Que l’auteur et l’EHESS soient remerciés de nous avoir autorisé à reproduire cette contribution d’actualité.

Jules Simon raconte ses souvenirs d’élève au Collège de Vannes en 1830.

 Philosophe et homme d’état éminent, Jules Simon naquit à Lorient en 1814.  Devenu ministre de l’Instruction publique sous la 3è République , il conserva une mémoire fidèle du  collégien vannetais  qu’il fut. Les visiteurs  intéressés par ses souvenirs pourront  les consulter en cliquant ici. Il les avait publiés dans le feuilleton du journal Le Finistère en 1886 d’où ils ont été extraits , transcrits puis numérisés. 
      
     Par ailleurs, il est rappelé que:
 
            1.  Jules Simon (1814-1896), « profondément républicain et résolument conservateur », fait partie des républicains modérés qui vivent la transition démocratique en France. Député en 1848, il refuse de prêter serment à l’Empire. En 1870, il rejoint le gouvernement de défense nationale. Au début de la IIIe République, il est ministre de Thiers, puis président du Conseil sous Mac Mahon. En 1877, il s’oppose au président et démissionne. Elu à l’Académie française en 1875, il laisse ses « Souvenirs »…
                                                             cf. gallica.bnf.fr › conseils › content › jules-simon

 
                2.  Le 7  décembre 1851, quelques jours seulement après le coup d’État du 2 décembre instaurant le Second Empire, Jules Simon se rend à son cours de la Sorbonne et prononce l’allocution suivante, devenue célèbre :
« Messieurs, je vous fais ici un cours de morale. Je vous dois aujourd’hui non une leçon, mais un exemple. La France est convoquée demain dans ses comices pour blâmer ou approuver les événements qui viennent de se passer. N’y eût-il qu’un vote de blâme, je viens vous dire publiquement que ce sera le mien. » 
 
                                            

                                                   c

f. Wikipédia

fr.wikipedia.org › wiki › Jules_Simon

Terminée (?) , la culture du silence dans l’Eglise… et ailleurs ?

Les lecteurs attentifs à la mise à jour des effets pervers du cléricalisme pourront consulter, en cliquant ici, un article paru dans Golias News du 4 septembre 2020 intitulé :                                 
                                   » La fabrique des désabusés ».
       
       Ecrit par  Philippe Ardent, il s’agit d’une analyse de l’ouvrage de Laurent Lemoine : 
 
« Désabuser. Se libérer des abus spirituels »(2019)
 
        Que Golias et les  deux auteurs mentionnés soient remerciés pour leurs nouvelles contributions.

Après le livre choc de J-P. OBIN (2020) sur les atteintes à la laïcité et l’entrée du communautarisme à l’école; refaire de l’école un sanctuaire !

Les visiteurs intéressés par – ou  engagés sur- ce champ d’action intangible   de notre école publique laïque et républicaine pourront revenir aux sources    en cliquant ici . Ils y trouveront  les circulaires de Jean ZAY fondatrices  à cet égard  et  diffusées en 1936 et 1937. Elles restent d’une parfaite actualité .  Ils pourront également se référer aux liens suivants pour se documenter  sur cette question:
 
1[http://jean%20zay%20%281904-1944%29%20:%20Circulaires%20de%201936%20%E2%80%93%201937%20…%0dwww.fnlp.fr%C2%A0%E2%80%BA%202007/11/24%20%E2%80%BA%20jean-zay-1904-1944-circul…%0d]Jean Zay (1904-1944) : Circulaires de 1936 – 1937 …
 
 
    A l’instar de ce ministre qui fut assassiné par la milice sous le « régime de Vichy », on soulignera ici que «  les écoles doivent rester l’asile inviolable où les querelles des hommes ne pénètrent pas « .