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Turpitudes cléricales et épiscopales à l’épreuve de la justice divine (suites de l’affaire Santier)

« Réuni à Lourdes et discrédité par l’affaire Santier, l’épiscopat catholique au bord du gouffre »

titrait Libération du 3 novembre 2022 sous la plume de   Bernadette Sauvaget. Cf. l’ URL : https://www.liberation.fr/societe/religions/reuni-a-lourdes-et-discredite-par-laffaire-santier-lepiscopat-catholique-au-bord-du-gouffre-20221103_5B3LG3TCKFA7ZIPG2ZNGQIR4OA/

Selon cette journaliste : »La Conférence des évêques de France se réunit à partir de ce jeudi dans un climat assombri par la légèreté avec laquelle l’Eglise a traité le scandale des «strip-confessions» avant qu’il ne soit rendu public. Le collectif Apné organise des manifestations dans toute la France pour faire entendre la voix des fidèles sous le choc. »

« Les calottes sont cuites » ; depuis que l’affaire Santier a éclaté – du nom de l’ancien évêque de Créteil (Val-de-Marne) et de Luçon (Vendée) qui a pratiqué des strip-confessions dans les années 90 – le jeu de mots court sur les réseaux sociaux. Si la forme est humoristique, le fond ne cache rien de la grave crise de confiance qui s’est creusée, ces trois dernières semaines, entre les évêques catholiques et leurs fidèles. Ces derniers reprochent à l’épiscopat son silence sur les pratiques déviantes de Michel Santier qui a écopé, en octobre 2021, de mesures disciplinaires du Vatican. L’affaire et les sanctions, elles, n’ont été révélées par la presse qu’un an plus tard. Comme chaque année, les évêques catholiques – à peu près une centaine – se retrouvent à Lourdes (Hautes-Pyrénées) du 3 au 8 novembre pour leur traditionnelle assemblée d’automne. L’an 2021 ressemble furieusement à 2022 car, au dernier moment, l’agenda des travaux a été percuté par l’actualité. L’année dernière, c’était celle du rapport Sauvé ; cette année, il s’agit de l’affaire Santier. Ce dernier scandale – qui met en cause l’un des leurs même s’il a pris sa retraite – contraint les évêques à plancher, à nouveau, sur la question des violences sexuelles au sein de l’institution. .. »

 

La Vie, l’hebdomadaire catholique,  titrait , dès  le 2 novembre 2022 :

Après l’affaire Santier, les évêques sous pression à Lourdes

Les évêques se réunissent à Lourdes du 3 au 8 novembre 2022, dans un climat de tensions liées aux révélations de l’affaire Santier, beaucoup attendent des réponses et des actes en termes de justice ecclésiale et de communication sur les sanctions.

Selon Caroline Celle , Youna Rivallain et Marie-Lucile Kubacki, la situation serait cataclysmique :  « c’est sans doute ce qui pouvait arriver de pire, un an après la Ciase et tout le travail que nous menons sur la question des abus… », souffle un évêque, à l’approche du 3 novembre, date à laquelle l’épiscopat doit se retrouver pour la traditionnelle assemblée plénière de Toussaint, à Lourdes. « C’est un peu comme un jour sans fin », commente un autre. En effet, après plusieurs assemblées consacrées aux abus, et l’annonce de résolutions fortes en novembre 2021, lorsque les évêques avaient mené une véritable démarche de repentance, se mettant à genoux devant la basilique de Lourdes, « l’affaire Santier » ne passe pas…”. Cf. l’URL: https://www.lavie.fr/christianisme/eglise/apres-laffaire-santier-les-eveques-sous-pression-a-lourdes-85073.php

Les visiteurs de ce site pourront consulter à ce propos ,en cliquant ici, la …

Lettre ouverte à Eric de Moulins-Beaufort

de

Christian Delahaye

Parue dans Golias News  du  3 novembre 2022, elle révèle  que : « Face au dégoût et à la révolte exprimés jusque dans les colonnes de la presse mainstream, l’affaire Santier a fini par faire réagir le président de la Conférence des évêques de France dans la « Lettre de l’Eglise catholique ». Sa missive ajoute plusieurs scandales aux scandales. Cette lettre ouverte y répond. Cf. l’URL : https://www.golias-editions.fr/2022/11/03/lettre-ouverte-a-eric-de-moulins-beaufort/

 

Que Christian Terras, Rédacteur en chef  à Golias, soit  cordialement remercié d’autoriser ce nouvel «  emprunt » ;

Atteintes à la laïcité à l’Ecole

“ L’Éducation nationale doit reconnaître

l’offensive islamiste à l’école

et y répondre fermement ! »

 

Tel est l’intitulé du communiqué commun de l’UFAL et de l’ Union laïque  à ce propos. Il est paru le 27 octobre 2022  sur le site de l’Union des FAmilles Laïques  à l’adresse : https://www.ufal.org/laicite/laicite-communiques-de-presse/leducation-nationale-doit-reconnaitre-loffensive-islamiste-a-lecole-et-y-repondre-fermement

 
 
 

 

Les visiteurs intéressés pourront le consulter en cliquant ici.

Les responsables de l’UFAL  nous ont autorisé à le reproduire pour le représenter ici. Qu’ils en  soient remerciés .

On en retiendra notamment  qu’il faut que «  la République laïque, par sa voix, fasse entendre la fermeté de ses principes. Les établissements et écoles ont besoin de consignes nationales claires. La faiblesse, la pusillanimité, la stratégie d’évitement n’ont jamais eu pour effet que de galvaniser les adversaires de la laïcité »
 

On notera par ailleurs et à l’instar du Monde du 13 octobre 2022 , sous la plume de  Sylvie Lecherbonnier que:

 

«   Les atteintes à la laïcité sont en hausse dans les établissements scolaires ».

 En clair : «L’augmentation, depuis le deuxième semestre, concerne principalement le port de signes et tenues religieuses, en particulier les abayas et les qamis. Le ministère de l’éducation nationale y voit un effet des incitations sur les réseaux sociaux. Sur le mois de septembre, 313 faits d’atteinte au principe de laïcité ont été recensés par les directeurs et les chefs d’établissement, dont la moitié dans six académies (Créteil, Toulouse, Nice, Versailles, Normandie, Paris). Quatre sur cinq sont le fait d’élèves et, fait nouveau, la moitié a eu lieu dans des lycées. Le collège concentrait les signalements jusqu’alors” . Cf. https://www.lemonde.fr/societe/article/2022/10/13/hausse-desatteintes-a-la-laicite-recensees-a-l-ecole_6145589_3224.html

La religion Woke , un nouvel obscurantisme à combattre !

 L’ouvrage de Jean-François Braunstein  intitulé (la religion woke) était ainsi présenté par Babélio  : « Une vague de folie et d’intolérance submerge le monde occidental. Venue des universités américaines, la religion woke, la religion des « éveillés », emporte tout sur son passage : universités, écoles et lycées, entreprises, médias et culture.Au nom de la lutte contre les discriminations, elle enseigne des vérités pour le moins inédites. La « théorie du genre » professe que sexe et corps n’existent pas et que seule compte la conscience. La « théorie critique de la race » affirme que tous les Blancs sont racistes mais qu’aucun « racisé » ne l’est. L’« épistémologie du point de vue » soutient que tout savoir est « situé » et qu’il n’y a pas de science objective, même pas les sciences dures. Le but des wokes : « déconstruire » tout l’héritage culturel et scientifique d’un Occident accusé d’être « systémiquement » sexiste, raciste et colonialiste. Ces croyances sont redoutables pour nos sociétés dirigées par des élites issues des universités et vivant dans un monde virtuel.L’enthousiasme qui anime les wokes évoque bien plus les « réveils » religieux protestants américains que la philosophie française des années 70. C’est la première fois dans l’histoire qu’une religion prend naissance dans les universités. Et bon nombre d’universitaires, séduits par l’absurdité de ces croyances, récusent raison et tolérance qui étaient au cœur de leur métier et des idéaux des Lumières. Tout est réuni pour que se mette en place une dictature au nom du « bien » et de la « justice sociale ». Il faudra du courage pour dire non à ce monde orwellien qui nous est promis.Comme dans La philosophie devenue folle, Braunstein s’appuie sur des textes, des thèses, des conférences, des essais, qu’il cite et explicite abondamment, afin de dénoncer cette religion nouvelle et destructrice pour la liberté. »

« Un essai choc et salutaire. »Cf. l’URL: https://www.babelio.com/livres/Braunstein-La-religion-woke/1448228

 Concernant ce même ouvrage Christian Rioux, dans un article paru dans Le  Devoir  du 5 octobre 2022, écrit  : « Le monde crève de trop de rationalité, de décisions prises par les ingénieurs. Je préfère des femmes qui jettent des sorts plutôt que des hommes qui construisent des EPR. »Cette profession de foi en faveur des sorcières plutôt que des ingénieurs qui construisent des réacteurs nucléaires n’a pas été lancée par un obscur hippie qui vit au fond des bois. Elle l’a été par la députée écologiste Sandrine Rousseau, une professeure d’économie et qui était, jusqu’à tout récemment, vice-présidente de l’Université de Lille. S’il fallait un exemple pour illustrer le dernier livre de Jean-François Braunstein, il n’y en aurait probablement pas de meilleurs ! Cf.Et si le wokisme était une religion?

Christian Rioux  souligne que : »Selon Braunstein, la pensée woke est fondée sur une critique du rationalisme, des Lumières et de l’humanisme. Sandrine Rousseau ne dit-elle pas que, pour elle, le problème commence avec le rationalisme de Descartes ? Elle reproche aussi à Buffon et à Linné d’avoir classé les plantes, et donc « hiérarchisé » la nature”.
On pointera ,à l’instar de cet auteur, qu’il faut y croire puisque c’est absurde, que ce serait  la religion des élites mais qu’en qu’en réalité elle a prospéré sur un terreau d’inculture voire d’ignorance
Selon  Braunstein, cette nouvelle forme de pensée religieuse profite de l’effondrement de l’école. Il écrit : «  Tout ça prolifère sur un terreau d’inculture énorme. Depuis quelques années, en France, on a supprimé presque toutes les épreuves de culture générale considérées comme discriminantes. Pour réduire Colbert au Code noir, il ne faut rien connaître de cet immense ministre. De même, pour réduire Voltaire au racisme, il ne faut pas l’avoir lu. »

 

 Au total  il apparaît  ainsi que :  » l’ouvrage  de Braunstein est détonnant et, chose rare en France,  il est parvenu à se mériter aussi bien les éloges du critique du Monde (gauche) que de celui du Figaro (droite).”

C’est dans un tel contexte d’obscurantisme recrudescent (cf. https://francoisbraize.wordpress.com/2022/10/24/vous-avez-dit-cancel/) que  les visiteurs  de ce site pourront consulter :

 1. L’article fondateur  de François Braize paru le 11 octobre 2022 qui ,déjà par son titre, renvoie à d’autres combats libérateurs* :

 

Woke en stock…

Il est introduit ainsi : « Mille millions de mille sabords ! Le woke comme un bégaiement de l’histoire pour les bachi-bouzouks. Ce billet bien saignant pour quelques considérations à propos du dernier livre (« La religion Woke ») de Jean-François Braunstein, philosophe. Très très intéressant, comme un réquisitoire lucide sur ce qui se passe quand beaucoup abdiquent ou se couchent devant l’offensive quand ils n’y contribuent pas… ».

 Il est accessible  en cliquant  sur Document 1 .

2.L’article  de Jean-Michel Muglioni paru le 23 octobre 2022 dans  la Lettre de Mezetulle. Il est intitulé  :

 

 À propos du livre de Jean-François Braunstein « La religion woke »

 

Selon Catherine Kintzler : « Jean-Michel Muglioni ne propose pas un compte rendu de lecture, mais il hasarde quelques réflexions que la lecture du livre de Jean-François Braunstein, La Religion woke (Grasset, 2022) a pu lui suggérer. Il demande qu’on n’y voie qu’une interrogation sur un monde qu’il ne comprend pas. »

 

On se limitera ici à énumérer les items de l’article  : croire l’incroyable, le rapport au réel, sommes nous tous des despotes, le refus du corps, la fausse parité, l’idéologie sociétale, ressentiment et nihilisme. Ils sont révélateurs de la réflexion suscitée chez  l’ancien professeur de   philosophie par la lecture de l’ouvrage de Jean-Francois Braunstein.

 L’article est accessible en cliquant  sur Document 2

 

Que Catherine Kintzler et François Braize  soient chaleureusement  remerciés de nous autoriser ces  emprunts. Nous sommes persuadés qu’ils contribueront  à démystifier le wokisme  et à éclairer le combat nécessaire à mener  par les citoyens  de progrès de France et d’ailleurs (faisant référence à la Science, à la Raison et au  Bon sens) contre cette nouvelle forme d’obscurantisme. Il s’agit de bien connaître le nouveau dogme et ses  grands prêtres pour mieux les combattre  sans  concession.

 

*Dans l’album Coke en stock (1958) de Hergé, le lecteur apprend que le trafic d’esclaves existe encore. Au terme d’un périple au large des Emirats arabes et à l’issue d’un impressionnant combat naval, Tintin parviendra à démanteler l’odieux commerce clandestin organisé par le sinistre RastatopoulosCoke est le nom de code donné aux esclaves africains.

Turpitudes cléricales en milieu épiscopal La révélation de l’affaire Santier

Le 15 octobre 2022, paraissait dans Golias News, sous la plume de Gino Hoël, un article dont le titre ne manquait pas d’interroger les lecteurs, profanes  en la matière :

« Quand « Le trombi » révélait l’affaire Santier »

 

 

 Le scoop  débutait ainsi :  « Ce 14 octobre, nouveau coup de tonnerre dans l’Eglise en France ! ».  Famille chrétienne  l’a publié  après sa révélation, il y a  trois semaines par le Trombinoscope des évêques de France . Michel Santier, évêque émérite de Créteil (2007-2021), a été sanctionné par la Congrégation pour la doctrine de la foi en novembre 2021 en raison d’« abus spirituels à des fins sexuelles » commis sur au moins deux jeunes hommes majeurs dans les années 1990 ».

Les visiteurs, indignés par cette information qui fait suite à tant d’autres  dans le champ d’action clérical, pourront consulter, en cliquant ici, l’article correspondant paru dans Golias News .

 En réalité, comme le signale René Poujol dans Cath ‘ lib  du 16 octobre 2022, «  l’enquête à ce propos publiée vendredi 14 octobre sur le site de Famille Chrétienne a fait l’effet d’une déflagration. Cet auteur souligne que «  l’évêque émérite de Créteil a été informé à l’automne 2021 de la sanction prise à son encontre par la Congrégation de la doctrine de la foi et invité à vivre désormais retiré “dans la prière et la pénitence“. Epilogue d’un procès canonique engagé à la suite de la plainte déposée en 2019 par deux hommes pour des « abus spirituels à des fins sexuelles » commis dans les années 1990, par l’abbé Michel Santier, alors Directeur, à Coutances (Manche) d’une école de formation et de discernement (sic !ndlr) pour des jeunes majeurs de 18 à 30 ans.

Au-delà de la stupéfaction, cette nouvelle « affaire » soulève nombre de questions dont celle de la procédure de désignation des évêques. »

On pourra consulter l’analyse complète de René Poujol à l’URL : https://www.renepoujol.fr/quelques-reflexions-autour-de-laffaire-mgr-santier/

 Le même René Poujol  propos aussi  dans Cath’lib du 19 octobe 2022  des  réflexions complémentaires sur cette affaire accablante pour l’église catholique .  Pour lui, «  sa gestion , au moment même où les évêques parlaient de transparence, est le pire que l’on puisse imaginer. »  

« Dans le diocèse de Coutances dont il est originaire et où les faits délictueux de sont déroulés comme dans ceux de Luçon et Créteil dont il a été le pasteur, la colère le dispute à l’écœurement. De la multiplicité des commentaires et témoignages venus des fidèles eux-mêmes surgissent de nouvelles questions que la Conférence des évêques de France va bien devoir prendre à bras le corps. Et Rome avec elle. Car si d’autres scandales impliquant des évêques devaient se faire jour, alors il y aurait à craindre que plus personne ne maîtrise la situation et que la confiance en l’Eglise ne fonde définitivement y compris parmi les fidèles »

 Les visiteurs pourront consulter l’ensemble de l’article particulièrement documenté en se rendant à l’URL :

 https://www.renepoujol.fr/nouvelles-reflexions-sur-laffaire-mgr-santier/#more-7376

 
 On retiendra ,entre autres , à l’instar de René Poujol, que :

 

– « Sans les réformes qui s’imposent dans l’ Eglise, réformes dont certains pensent pouvoir s’affranchir au nom d’autres priorités de nature spirituelle, l’effondrement se poursuivra. »

« Une fois encore, c’est la presse qui oblige l’Eglise à sortir de son silence. »

– « Pourquoi la justice a-t-elle été tenue à l’écart de cette affaire ? »

« Pourquoi le silence sur les sanctions prises à l’encontre de Mgr Santier ? »

« Les évêques de France et le Vatican sont  une nouvelle fois au pied du mur . »

Au total « On est loin d’une affaire mineure où il n’y aurait « même pas eu attouchements » pour reprendre une expression relevée sur la toile. Et le peuple chrétien l’a bien ressenti à ce degré de gravité qui parle de mensonge et de trahison »

Que Christian Terras , Rédacteur en chef de Golias soit remercié de nous autoriser ce nouvel emprunt .

Décapitation sauvage de Samuel Paty pour Cultiver notre indignation et faire reculer l’indifférence

Les visiteurs de ce site qui ont déjà pris connaissance de notre insertion récente à ce sujet    (https://asvpnf.com/index.php/2022/10/19/deux-ans-apres-la-decapitation-sauvage-de-samuel-paty-lindifference-a-gagne/ )

 pourront consulter,en cliquant ici un article à ce propos de Catherine Kintzler paru sur son Blog revue Mezetulle , le 13 octobre 2022.

 
Que Catherine  Kintzler soit chaleureusement remerciée pour son combat sans faiblesse pour la laïcité et pour nous autoriser ce nouvel emprunt .

Deux ans après la décapitation sauvage de SAMUEL PATY, L’indifférence a gagné.

Ainsi que le rappelle Natacha Polony dans le dernier numéro de Marianne (n° 1335) : « ll y a deux ans, un professeur a été décapité. Si le nom de Samuel Paty a marqué les mémoires, son combat pour la liberté d’expression a été enterré. Et l’emprise des bigots n’a jamais été aussi prégnante. »

 Un visiteur de ce site, souhaitant garder l’anonymat, nous a adressé  pour une mise en ligne, deux coupures  dudit hebdomadaire portant sur la question essentielle de la liberté d’expression et plus particulièrement celle des enseignants. 

Les visiteurs pourront les consulter en cliquant sur Document 1 .

 On notera par ailleurs  que, dans ce n° de Marianne , on   attire l’attention des lecteurs  sur les 5 points suivants  :

 1. Les juges d’instruction ont reconstitué la chaîne criminelle qui a conduit à l’assassinat de Samuel Paty par un russe d’origine tchétchène. Le procès de l’attentat de Conflans devrait se tenir d’ici à la fin 2023… 

 2.L’assassinat de Samuel Paty a laissé des traces au sein des services du renseignement territorial…

 3.Autour du Collège du Bois-d’Aulne, où enseignait Samuel Paty, le choc est toujours présent: accompagné d’une immense rancoeur contre toutes les lâchetés…

 4.Sur la laïcité, le nouveau ministre de l’Education Nationale est moins loquace que son prédécesseur…

 5 .Quand le  « soft power » islamiste gagne les cours d’école…

Enfin les visiteurs pourront prendre connaissance, en cliquant sur Document 2 ,  du discours prononcé à la Sorbonne par Mickaëlle Paty le  15 octobre 2022, lors de la remise du Prix Samuel Paty organisé par l’APHG . Elle proclamait haut et fort que :

 

 » Enseigner, c’est expliquer et non se taire ! »

Rendons hommage à notre ami François TRIVIDIC, membre actif de l’ASVPNF, récemment décédé.

Les visiteurs de ce site pourrons consulter, en cliquant ici,  l’hommage  du président de l’Association  lu  à  la cérémonie  du vendredi 7 octobre 2022, à l’Espace funéraire  Ker Elo en Fouesnant (F-29170). 

Soutenir la révolte des femmes iraniennes contre les obscurantismes

A consulter par les visiteurs   en cliquant ici.

Turpitudes et tribulations épiscopales Les suites de l’affaire Di Falco

Golias vigilant dans une affaire qu’il avait contribué à révéler en 2001 prend la liberté salutaire de nous  faire sortir d’une remarquable discrétion médiatique   dans  la Lettre d’information de Golias Hebdo du 30 septembre 2022 . Sous la plume de  Eva Lacoste on découvre en effet :

« Vingt ans après une plainte au pénal déposée en 2001 pour viol et abus sexuels, à l’encontre de celui qui est alors évêque auxiliaire de Paris( Jean-Michel Di Falco) un espoir de reconnaissance se fait jour pour Marc (nom d’emprunt). La Cour de cassation annulait, le 7 juillet 2022, le jugement de la cour d’appel de Paris qui avait retenu en 2018 la prescription des faits commis dans les années 1970. Face à un prélat mondain, fort d’un soutien total au sein de l’institution ecclésiale et de sa proximité médiatique, notamment avec un entourage influent, ce sera un véritable parcours d’obstacles, source de souffrances supplémentaires, qui pourrait enfin connaître un dénouement conforme au droit et à de justes réparations. Golias fait le point aujourd’hui sur cette affaire qu’il a contribué à révéler ».

Jusqu’à ce jour, 30 septembre 2022 on pouvait accéder via Wikipedia  (URL :https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_Jean-Michel_Di_Falco: ) à une présentation succincte des tenants de cette affaire gravissime à charge pour les institutions ecclésiales et  leurs tristes traditions:

 « L’affaire Jean-Michel di Falco est une affaire judiciaire mettant en cause l’évêque Jean-Michel Di Falco, accusé d’avoir agressé sexuellement deux enfants dans les années 1970. Il a toujours clamé son innocence et la justice, compte tenu de la prescription des faits allégués, a décidé d’un non-lieu à poursuivre.

 Historique 

“Un homme qui se fait appeler « Marc » affirme, que dans les années 1970 alors qu’il est âgé de 12 à 15 ans, il s’est fait agresser sexuellement et violer à de nombreuses reprises par Jean-Michel Di Falco. Ce dernier est à l’époque directeur du Petit Collège de l’établissement catholique Saint Thomas d’Aquin dans le 7e arrondissement de Paris et reçoit Marc dans son logement rue PerronetMarc mentionne des « frottements, puis des masturbations et des fellations ». Jean-Michel Di Falco visitait régulièrement sa famille et lui offrait des cadeaux, « comme une mobylette ou un dictaphone ». Lors d’un séjour à la montagne auquel la sœur de Marc participe, celle-ci allègue qu’elle ne peut pas empêcher son frère de dormir dans la chambre du prêtre devant l’insistance de ce dernier. À l’époque Marc ne dit rien si ce n’est que le père « l’embêtait ».Marc, alors âgé de 41 ans, indique que plusieurs années de thérapie ont été nécessaires afin de lui permettre de rendre public ces agressions..

En 2002, un deuxième homme, ancien élève du collège Bossuet à Paris, se fait connaître pour des agressions similaires remontant à 1975. La plainte est classée sans suite pour cause de prescription. »

Premières interventions auprès de l’Église

“Marc indique avoir écrit dans un premier temps à Jean-Marie Lustiger, alors archevêque de Paris. Celui-ci lui propose de rencontrer un de ses proches, le théologien jésuite Henri Madelin. Trois rencontres sont organisées entre mai et août 2012. Lors de son audition ultérieure auprès des policiers, chargé de l’enquête, Henri Madelin déclare : « Je suis tombé des nues lorsque j’ai entendu le témoignage de Marc. J’ai été scandalisé comme prêtre qu’il y ait eu des gestes équivoques, et je me suis posé la question de ce qu’il fallait croire de ce qu’il disait. J’ai rapporté au cardinal les contenus de nos entretiens. Il était bouleversé par ce qui était dit sur Di Falco. J’ai compris qu’il était à la recherche d’une solution et qu’il se sentait obligé d’envisager d’autres dispositions concernant sa place dans l’Eglise. ». En effet lors du troisième rendez-vous Henri Madelin informe Marc que Jean-Marie Lustiger a décidé de mettre un terme à la carrière de Jean-Michel Di Falco. Toutefois Marc apprend que Jean-Michel Di Falco est susceptible d’être nommé au Vatican, il décide alors de porter plainte au pénal bien que les faits soient prescrits. »

Procédures judiciaires à partir de 2001

« Une plainte au pénal, pour viol et abus sexuels, est déposée le 14 novembre 2001 à l’encontre de Jean-Michel di Falco auprès du parquet des mineurs du tribunal de grande instance de Paris. Il est alors évêque auxiliaire de Paris auprès de l’archevêque de Paris Jean-Marie Lustiger.

L’enquête préliminaire est ouverte en novembre 2011 et dure quatre mois. Interrogé à la brigade des mineurs, Jean-Michel Di Falco nie les agressions et les viols et déclare ne pas se souvenir d’une relation intime avec Marc. La plainte est alors classée sans suite, suivie d’un refus d’informer en raison de la prescription. La décision est confirmée en appel. Le pourvoi en cassation n’est pas recevable et l’ultime recours de Marc devant la Cour européenne des droits de l’homme n’est pas traité.

L’affaire dévoilée par L’Express et Golias fait scandale. En 2003, Jean-Michel Di Falco, bien que « promis à un brillant avenir dans l’Eglise », est finalement nommé dans le diocèse de Gap dans les Hautes-Alpes.”

Plainte pour dénonciation calomnieuse

« Jean-Michel Di Falco clame son innocence et dépose une plainte contre X du chef de dénonciation calomnieuse. En juin 2004 le tribunal de grande instance de Paris déboute le requérant et rend une ordonnance de non-lieu. Le juge d’instruction estime qu’il est « impossible d’établir avec certitude que les faits dénoncés par Marc, avec lequel Jean-Michel di Falco n’a pas demandé à être confronté, sont totalement ou partiellement inexacts, notamment au vu des témoignages de sa mère et de sa sœur recueillis par les enquêteurs à la suite de la plainte du 14 novembre 2001 ».

Assignation au civil en 2016

“Un des deux plaignants, Marc, décide, en 2016, d’assigner au civil Jean-Michel Di Falco et réclame une indemnisation. Il reçoit le soutien de l’association La Parole libérée qui de son côté attaque en justice le prêtre pédophile Bernard Preynat et Philippe Barbarin pour non dénonciation d’actes pédophiles. François Devaux, président de l’association, déclare : « Nous saluons son engagement et son courage. Il ne le fait pas pour de l’argent mais pour faire avancer la cause . La demande de Marc est déclarée « irrecevable », car « prescrite » quarante ans après les faits allégués”.

 

 Les visiteurs de ce site pourrtont consulter ,en cliquant ici, l’article paru ce jour- 30 septembre 2022- dans la Lettre d’information de Golias Hebdo. Il est intitulé :

 

Affaire Di Falco :

vingt ans après la justice fait son chemin

 

Que Christian Terras ,rédacteur en chef de Golias, soit chaleureusement remercié de nous permettre ce nouvel emprunt.

Les bons petits livres de la rentrée 2022 !

Pour rester informés, les visiteurs sont invités à consulter,  Document 1 , emprunté à Mezetulle le  blog revue de  Catherine Kintzler. Il est intitulé  :

 « Le point sur les idées » :

trois petits livres éclairants publiés

aux éditions Intervalles

URL :https://www.mezetulle.fr/le-point-sur-les-idees-trois-petits-livres-eclairants-publies-aux-editions-intervalles

 Ils  y découvriront  que : » dirigée par Jean Szlamowicz, la collection « Le point sur les idées »(Éditions Intervalles) publie trois petits volumes (signés respectivement par Pierre-André Taguieff, Shmuel Trigano et Hubert Heckmann) qui fourniront des analyses conceptuelles et percutantes  à ceux qui s’interrogent sur les catégories politiques dont il est fait aujourd’hui un usage non-critique ainsi que sur les mouvements « postmodernistes » de « déconstruction », notamment la « cancel culture ». 

 Les trois petits volumes en question ont donné lieu à des analyses   variées ; les lecteurs pourront prendre connaissance de  trois d’entre elles :

 

 1.   Qui  est l’extrémiste ? par P-A. Targuief  :

Selon Babelio :   https://www.babelio.com/livres/Taguieff-Qui-est-lextremiste-/1450680

« La notion d’extrémisme est une notion confuse. Censée permettre une classification, elle est surtout une diabolisation de l’adversaire. Mais ce terme polémique oublie souvent de décrire ce qu’il considère comme le Mal absolu. Pour reconstruire la catégorie d’extrémisme et la rendre opératoire dans l’analyse des attitudes et des comportements politiques contemporains, il faut supposer l’existence d’une connexion entre trois composantes :

1° la légitimation de la violence comme méthode de résolution des problèmes politiques ;

2° l’intolérance et le sectarisme ;

3° le fanatisme, impliquant l’intransigeantisme, le manichéisme et le jusqu’au-boutisme, qui supposent de placer la défense de la Cause au-dessus de tout.

Alors peut-être pourra-t-on redéfinir un horizon politique désirable par-delà les extrémismes en tout genre qui brident nos libertés. Car on devrait pouvoir concevoir des limites légitimes et respectables en sortant du cercle des extrémismes ».

 

2. Le petit manuel de post-modernisme de Shmuel Trigano est ainsi présenté par  Decitre:  https://www.decitre.fr/livres/petit-manuel-de-postmodernisme-illustre-9782369563136.html

« Qu’est-ce qu’une idéologie ? Entre savoir et croyance, les idées qui constituent notre environnement mental ont une pertinence politique. Le cadre de pensée qui surgit aujourd’hui semble remettre radicalement en cause « le monde d’avant » . Déconstruction du réel, post-humain, nouvelles identités, « décolonialisme » sont quelques-uns des thèmes où l’on voit à l’oeuvre des ambitions utopiques d’inspiration marxiste transposées dans les moeurs.La volonté de créer un « homme nouveau » , la déconstruction de la citoyenneté remettent en cause une démocratie qui dépend soudain de sa validation par les médias et les réseaux sociaux. Sous le manteau d’un anti-pouvoir, ce sont bien de nouveaux pouvoirs qui émergent sans contrôle. Avec la précision méthodologique du sociologue, Shmuel Trigano analyse comment ces différentes configurations idéologiques s’articulent en un tout cohérent. L’enjeu : cartographier le postmodernisme comme forme de pensée qui échappe à notre conscience. »

 

3.   Cancel ! De la culture de la censure à  l’effacement de la culture de  Hubert Heckmann est ainsi présenté chez Gallimard :https://www.librairie-gallimard.com/livre/9782369563143-cancel-de-la-culture-de-la-censure-a-l-effacement-de-la-culture-hubert-heckmann/

« Que désigne-t-on par l’anglicisme « cancel culture » ? S’agit-il seulement d’une « culture de l’effacement », selon la francisation recommandée par l’Académie française ?

L’histoire de la cancel culture depuis son émergence dans les mouvements progressistes américains de défense des minorités, mise en perspective dans une histoire plus large de la censure des opinions et des oeuvres, permet de comprendre les dangers qui menacent aujourd’hui, en France, le débat d’idées et l’art.

L’expression « cancel culture » peut bien avoir un usage polémique, elle n’en décrit pas moins une réalité : celle d’une culture de la censure qui est en train de s’instaurer sous nos yeux au nom des meilleures intentions”.

 

Cependant l’analyse d’ouvrage du Comité laïcité  République souligne  :

« Pour l’art contemporain, l’œuvre ne réside plus dans l’objet mais dans l’expérience que l’objet va provoquer, et donc dans le discours qui conditionne et accompagne cette expérience, ce qui peut conduire à brouiller les frontières entre l’œuvre et la personne de l’artiste. Appliquer cette conception de l’art aux œuvres du passé, c’est céder à l’anachronisme. L’artiste en tant que personne ne doit pas pouvoir se soustraire au jugement moral, mais cela n’affecte pas le jugement esthétique, d’une tout autre nature, que l’on porte sur son œuvre. Savoir que Michel-Ange était d’un tempérament exécrable ne me conduit pas à préférer à ses œuvres les peintures et les sculptures d’artistes plus gentils… […]

Si les œuvres sont réduites à un rôle de message, alors il faut en effet ou bien les « aimer » (dans le sens très restreint du like des réseaux sociaux, qui est la manifestation d’une adhésion), ou bien les réprouver. » : https://www.laicite-republique.org/h-heckmann-la-montee-en-puissance-de-la-cancel-culture-entraine-la-menace-d-un.html

 Y-a-t-il vraiment une menace d’effacement de la culture  et si oui  est-elle de nature à fabriquer une génération d’ignorants ?  Cf. https://www.lefigaro.fr/vox/culture/la-cancel-culture-fabrique-t-elle-une-generation-d-ignorants-20220831

 
On en saura davantage en consultant la recension  de cet ouvrage par Catherine Kintzler :

 

 « Cancel ! » de Hubert Heckmann, lu par Catherine Kintzler.

Publiée dans Mezetulle le  14 septembre 2022 elle est accessible en cliquant sur Document 2 ou directement à l’adresse  https://www.mezetulle.fr/cancel-de-hubert-heckmann-lu-par-catherine-kintzler/

Dans son analyse C. Kintzler souligne  : » le petit livre de Hubert Heckmann Cancel ! De la culture de la censure à l’effacement de la culture ne se contente pas de définir la « cancel culture » ni d’en démonter les mécanismes : il montre en quoi, au-delà même des pratiques d’ostracisation des personnes et des œuvres qu’elle vise, elle s’emploie à effectuer un véritable effacement de la culture entendue comme le domaine de l’activité intellectuelle et artistique. Mais il faut bien prendre conscience que son pouvoir repose sur la seule intimidation ».

Quoi qu’il en soit on devine la gravité des problèmes posés !

Que Catherine Kintzler soit assurée de toute notre reconnaissance pour avoir autorisé ces nouveaux emprunts.

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