Auteur/autrice : laurence
Enseignement et mathématiques
Transmettre le goût de l’effort et de la curiosité intellectuelle
Nous reprenons ici le titre de l’article de Thierry Foucart parunle 10 aoùt 2025 dans Mezetulle ,un article important à lire avec attention en cette période de rentrée. Il en ressort que : «
Turpitudes et contreturpitudes eccésiales et cléricales
républicaine.Il s’agit désormais d’une « laïcité-combat » telle qu’elle semble s’imposer aux citoyens ordinaires et que nous avons commencé à documenter sur ce site, sous la pression des évènements.
Qu’est-il arrivé à la laïcité ?
Contre la volonté de ne pas savoir Démystifier l’acétamipride et sa biotoxicité
On s’adresse ici – à tous les visiteurs, citoyens émancipés de la République et notamment ceux d’entre eux, décideurs et législateurs, enclins à régler les problèmes au moyen de lois votées, parfois à la hâte, par la représentation nationale- afin qu’ils prennent en considération quelques commentaires destinés à démystifier l’acétamipride le soi-disant insecticide des jardiniers qui crispe la France par les temps présents. Tous, sans oublier les agriculteurs-utilisateurs, partiellement voire partialement informés des questions posées par son emploi au champ et ailleurs notamment en matière de santé publique, se doivent d’être placés devant leurs responsabilités face à l’émergence de risques majeurs dont les prolongements politiques et sociétaux se dessinent de jour en jour !
Pour y parvenir, mettre en lumière la problématique de l’acétamipride, le biocide tueur d’abeilles et de pucerons dont on occulte avec désinvolture les effets potentiels sur la totalité des composantes de l’environnement et sur tous les protagonistes de la chaîne alimentaire y compris l’Homme, devient une priorité sociétale.
Celle-ci ne peut se régler à bon compte, par la seule bonne conscience dont on peut être porteur après avoir protesté et pétitionné contre la Loi Duplomb censée assurer la réintroduction prochaine du pesticide en France. Elle ne peut pas plus s’accommoder du fait que ledit insecticide est autorisé et utilisé dans les grandes cultures des pays voisins avec les effets dévastateurs que l’on connaît. Ce n’est pas parce que ces derniers ont fait le choix de sombrer dans l’abîme que nous devons –sous l’égide du sénateur Laurent Duplomb et des parlementaires qui ont souscrit à sa démarche –plonger avec eux comme d’écervelés moutons de Panurge.
Il s’agit alors de contribuer à mettre un coup d’arrêt définitif à ce qui s’apparente à un scandale,à l’instar de ceux ayant déjà défrayé la chronique dans des domaines connexes ( chlordecone, glyphosate, cadmium,etc…) tous associés à la pratique d’ une agriculture intensive assujettie aux lobbies de l’industrie des produits phytosanitaires et aux ordres d’un syndicalisme paysan d’un autre temps. Il s’agit de pourfendre, avec toute la probité nécessaire, la liberté de l’ignorance et la propension à la désinformation selon le mode d’un « trumpisme » à la française ;
On ne lève pas impunément les contraintes à l’exercice –en toute liberté- du métier d’agriculteur en autorisant l’emploi au champ de l’acétamipride et d’autres néonicotinoïdes lorsque dans les medias on annonce à l’envi : « Abeilles domestiques en danger ; bébés contaminés !».
On rappellera ici quelques éléments de la doxa qui semblent avoir formaté l’opinion publique en la matière à savoir :
« En 2025, une loi portée par le sénateur Laurent Duplomb est adoptée permettant la réintroduction dérogatoire de l’acétamipride. Cette disposition est réclamée par les producteurs de betteraves sucrières et de noisettes, avançant n’avoir aucune autre solution pour protéger efficacement leurs cultures. La FNSEA et la Coordination rurale dénoncent une « concurrence déloyale » avec les autres producteurs européens et une « porte ouverte aux importations », notamment de noisettes produites en utilisant des pesticides interdits en France. Le texte suscite de vifs débats. La loi fait l’objet d’une pétition réclamant son abrogation,sur le site de l’Assemblée nationale où elle dépasse le cap des 2 000 000 de signatures ».
Notre Association propose dans ce cas de restreindre la liberté et le droit à l’ignorance et d’inciter à revenir aux fondamentaux de l’émancipation tels qu’enseignés par l’Ecole républicaine à savoir la vérité de la Science et de la Raison et l’intelligence des leçons de chose .
En clair et sans prétendre être exhaustif dans tous les domaines concernés on souhaiterait pouvoir faire connaître aux visiteurs de ce site quelques éléments scientifiquement incontournables sur le mode d’intervention de l’acétamipride dans la protection des cultures d’intérêt agronomique et alimentaire et sur les problèmes de toxicité qui en découlent.
On peut sans grand risque considérer que tous les niveaux des chaînes trophiques aboutisant à l’homme sont affectés ou risquent de l’être. Nul ne doit se complaire à ignorer la réalité des agressions en cours dans l’ensemble de la biosphère et tout citoyen responsable se doit de le dire et de protester contre les termes d’une loi scélérate permettant d’amplifier un scandale déjà bien enclenché dans notre environnement imm.édiat.
Les visiteurs pourront à ce propos consulter deux fichiers
Fichier 1. Manifeste de l’ASVPNF pour une agriculture responsable et une protection de la biodiversité et contre la réintroduction de l’acétamipride et des pesticides toxiques.
Fichier 2 . L’acétamipride ; mécanisme d’action sur le système nerveux et effets sublétaux documentés.
Turpitudes et contre-turpitudes cléricales et ecclésiales
La commision d’enquête parlementaire sur les violences à l’Ecole née du scandale du collège-lycée privé de Bétharram présidée par Mme Fatiha Keloua Hachi – les co-rapporteurs étant les députés Violette Spillebout et Paul Vannier a rendu, ce jour 2 juillet 2O25, ses conclusions et formulé 50 recommandations…
On sait déjà qu’il y est pointé le « défaut d’action » de François Bayrou à l’époque, ce qui a pu laisser les violences « perdurer ».
On avance qu’à défaut d’action F.Bayrou avait « les moyens d’engager », alors qu’il était « informé » quand il était ministre de l’Education nationale (1993-1997) et président du Conseil général (1992-2001) .Ces violences « ont perduré pendant des années ».
On sait aussi que les rapporteurs évoquent plus généralement « un véritable déchaînement de violences » à Notre-Dame de Bétharram qu’on « ne saurait réduire à des débordements ponctuels ». La violence « était – pour partie au moins – institutionnalisée » dans cet établissement, indiquent-ils, avec « une communauté de notables au soutien indéfectible », dont des « membres du gouvernement ».
Les co-rapporteurs soulignent en outre que Bétharram était « un cas loin d’être unique », avec souvent les mêmes « logiques à l’oeuvre » dans d’autres établissements, dont des « violences institutionnalisées sous prétexte d’excellence pédagogique »….
Sur France inter, ce mercredi, les deux parlementaires sont revenus sur leur travail en dressant un constat alarmant au sein, notamment, de l’enseignement privé. Rapporté par Huffingtonpost on découvre(https://www.huffingtonpost.fr/politique/article/affaire-betharram-ce-que-conclut-la-commission-d-enquete-parlementaire-sur-bayrou-et-pour-les-victimes_252096.html) :
– « Je ne pouvais pas imaginer ce que j’ai entendu, les actes de tortures, les enfants que l’on prive de sommeil… Je sors humainement profondément marqué, bouleversé par cette commission d’enquête », a expliqué l’élu LFI du Val-d’Oise Paul Vannier.
-Mêmes mots ou presque pour sa collègue macroniste Violette Spillebout. « Des violences à l’école ont eu lieu dans toute la France, dans des centaines d’établissements, avec des milliers de victimes. On peut dire que c’était systémique », a ainsi estimé l’élue du Nord, en parlant de violences « encore présentes aujourd’hui, dans des établissements privés et publics. »
-Outre la création d’un fonds d’indemnisation pour les victimes ou la « reconnaissance de la responsabilité de l’État », le rapport parlementaire préconise d’effectuer des contrôles « chaque année » dans les établissements avec internats
-« Pendant des décennies, il y a une accusation, un rayon paralysant, celui de la guerre scolaire, qui a été brandi en direction de celles et ceux qui questionnaient la place particulière des établissements privés sous contrat dans notre pays », a pointé Paul Vannier sur France Inter, en ajoutant : « Cette accusation a conduit des ministres à s’autocensurer (…) la puissance publique était terrorisée, il n’y a eu aucun contrôle pendant 40 ans dans ces établissements ».
Comme on pouvait s’y attendre,les charges sont lourdes ! Quel sera le sort accordé par la puissance publique aux cinquante recommandations annoncées ? Et les victimes ? Et les coupables ?
On lira avec intérêt l’article à ce sujet publié par Ouest-France ( Bétharram : on vous révèle ce que contient le rapport d’enquête sur les violences en milieu scolaire
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Ce dossier dont les détails sont attendus constituera une pierre d’achoppement incontournable venant s’adosser au rapport Sauvé dont l’Eglise catholique tarde à se relever. La justice des hommes et de la République gagnerait à y remettre de l’ordre.
Dans cette attente on continuera sur ce site de pourfendre sans faiblesse ce que nous avons convenu d’appeler les « turpitudes et contreturpitudes cléricales et ecclésiales » afin que la vérité ,toute la vérité des faits soit faite avant que les cléricaux réactionnaires n’en aient fait disparaître les preuves(voir à ce propos le point 13 ci-dessous !)
CHARLES PÉGUY ; L’Ecole républicaine et la laïcité, un silence éclairant
L’oeuvre monumentale de Charles Péguy , celle du « rempailleur de textes »,reste d’actualité au point de donner lieu à la première de couverture de La Croix l’Hebdo n°287 du 13 juin 2O25 sous l’intitulé révélateur « Résister avec Charles Péguy« .
Penser contre son camp !
Itinéraire politique d’une intellectuelle de gauche
Tel est le titre paradoxal de l’ouvrage de Nathalie Heinich paru le 15 mai 2025 chez Gallimard.
Selon cet éditeur : « Querelle de l’art contemporain, neutralité des sciences sociales, mariage homosexuel, féminisme, islamisme, censure, wokisme, gauche radicale : autant de sujets qui, depuis une vingtaine d’années, ont beaucoup agité le monde intellectuel français et, en particulier, la gauche, de plus en plus éclatée, voire bouleversée, par des retournements rompant avec ses valeurs historiques – protection des plus faibles, universalisme, laïcité, rationalité, liberté d’expression.
Cet essai propose un retour réflexif sur les prises de position de l’auteure depuis la fin du XXᵉ siècle, controversées par une partie de la gauche et qui, en cela même, témoignent de mutations allant bien au-delà d’opinions personnelles. Ne pas « penser comme nous » : telle est, parfois, la condition pour rester fidèle aux valeurs fondatrices d’une famille politique. »(Cf. Penser contre son camp)
Le propos de l’Association Lacanienne Internationale (ALI) sous la plume de Jean-Pierre Lebrun (28 mai 2025) semble devoir être médité au moment d’aborder un sujet dont l’actualité est d’autant plus évidente que d’autres périls se font jour.
Pour cet auteur il s’agit d’ «un petit livre qui mérite toute notre attention. Il est l’oeuvre de Nathalie Heinich, sociologue émérite au CNRS et s’intitule Penser contre son camp itinéraire politique d’une intellectuelle de gauche. Cet ouvrage est un petit bijou de rigueur éthique où son auteur refait le parcours qui a été le sien en se confrontant, problème après problème, à la façon dont se reniait son entourage de gauche qui a toujours été – et est resté – celui auquel elle s’est sentie appartenir.
L’ouvrage témoigne d’un courage que l’on ne peut qu’imaginer et admirer pour garder le cap de la perception éthique de l’auteur au travers des grandes questions qu’elle aborde chapitre après chapitre dans son livre comme autant de sujets relevant de son travail de sociologue au CNRS : l’art contemporain, le statut d’artiste, le pacs et le mariage homosexuel, le féminisme, l’islamisme, la censure, le wokisme… pour finir par énoncer qu’elle a dû apprendre à penser contre son camp au risque d’être reniée par une partie de sa famille politique.
Car, effectivement, c’est au travers de ses prises de position dans des articles et interventions auxquelles chaque fois elle renvoie, que Nathalie Heinich – qui nous a fait le plaisir de venir à l’ALI récemment – fait entendre son trajet, les problèmes qu’elle rencontre avec une gauche tentée par le communautarisme en même temps que demeurée arc-boutée à l’antiracisme de la génération d’avant. Bref avec une gauche à l’agonie [1] qui ne veut continuer à penser qu’en restant dans le sillage de ce qui a fait hier sa fortune, que Jean-Pierre le Goff , sociologue auteur de Mai 68, l’héritage impossible [2], a qualifiée de gauche culturelle – ou sociétale – pour la distinguer de ce qu’elle aurait pu et dû rester : une gauche politique soucieuse du social plutôt que du sociétal.
C’est la rigueur sans coup férir de Nathalie Heinich qui lui fait tenir sa route au milieu des problèmes de société qui n’ont fait que se suivre les uns les autres depuis un demi siècle. Et c’est en cela que son livre constitue un véritable exemple de rigueur éthique, car c’est ce souci qui lui fait tenir envers et contre tout, jusque dans son propre milieu, de ne pas penser comme tout le monde mais au contraire de peaufiner sa propre perception des enjeux multiples auxquels elle se trouve confrontée et de garder inexorablement le parti de rester fidèle à elle-même.
Ce livre risque néanmoins de passer inaperçu, tant l’ampleur de ce qu’il vient mettre en cause est d’importance. On sera tenté de s’en débarrasser comme d’un ouvrage encombrant, simplement parce qu’il témoigne clairement qu’il est toujours possible de tenir le cap de sa parole même dans un air ambiant qui ne laisse quasiment plus de place à l’énonciation.
Le livre de Nathalie Heinich est à cet égard remarquable et démontre à merveille que s’énoncer est toujours possible, même dans un monde où tout invite à se soumettre aux idéologies ambiantes. Il suffit – façon de parler – d’un peu de courage ! N’est-ce pas Czermak qui disait que c’est ce “un peu de courage” que l’on était en droit d’attendre d’une cure analytique.”
[1] J.P. Le GOFF, La gauche à l’agonie, 1968-2017, éditions Perrin, 2017
[2] J.P. Le GOFF, Mai 68, l’héritage impossible, La découverte, 1998-2015
Penser contre son camp tel est donc le défit que les défenseurs convaincus (s’il en reste) d’une gauche républicaine doivent avoir le courage de relever s’ils souhaitent pouvoir un jour reprendre en main les destinées du pays, préserver les libertés essentielles et promouvoir le progrès social. Il ne s’agit pas pour autant de penser contre soi-même mais de continuer de le faire par soi-même.
On devine ainsi le contenu fondateur de l’ouvrage de Nathalie Heinich, la nécessité de le lire et d’en connaître les analyses . Le visiteurs de ce site pourront d’ores et déjà consulter la recension qu’en fait Phillipe Foussier dans un article mis en ligne dans Mezetulle le 28 juin 2025 .
Elle est accessible en cliquant ici .
On retiendra ici que pour ceux qui sans ambages, se réclament de la gauche républicaine de progrès, que la laïcité doit demeurer la garante de la liberté de conscience contre l’enrégimentation par toutes les bigoteries de la création.
Que Catherine Kintzler soit une nouvelle fois remerciée de nous avoir permis ce nouvel emprunt à Mezetulle.
La disparition du Professeur Guy DESBIENS
Après le décès d’Edith Fuchs et celui de Jean-Michel Muglioni, celui de Guy Desbiens affecte profondément Mezetulle et attriste les défenseurs de l’instruction publique. J’adresse mes condoléances et ma sympathie à tous ses proches. »
Charles Péguy et les Hussards noirs de la République
Né en 1873 à Orléans, Charles Péguy fut l’un des grands écrivains de la Troisième République, poète engagé, républicain fervent et témoin lucide des transformations politiques et sociales de son temps. Élève de l’école annexe de l’École normale d’instituteurs d’Orléans, il grandit dans un environnement où l’éducation était perçue comme le levier de l’émancipation.
Portrait de Charles Péguy vers 1908.
Collection personnelle ASVPNF
Dans son texte L’Argent, publié en 1913 dans les Cahiers de la Quinzaine, Péguy évoque avec émotion les jeunes élèves-maîtres — formés dans les Écoles normales — qu’il croisait dans la cour ou dans les classes de l’école annexe. Ces jeunes gens, habillés de noir, disciplinés, porteurs de l’idéal républicain, allaient devenir les instituteurs de la France rurale et urbaine. Leur mission : faire reculer l’ignorance, transmettre les savoirs fondamentaux, mais aussi former les esprits libres et les cœurs civiques.
Extrait de L’ARGENT , 1913
« Nos maîtres étaient de pauvres gens comme nous, mais ils étaient d’un autre ordre que les riches. Ils n’étaient pas riches ; mais ils n’étaient pas pauvres comme nous.
C’étaient nos maîtres. On respectait nos maîtres. On les respectait comme on respecte un prêtre, un soldat, un juge, un chef. […]
Ces hussards noirs de la République avaient une allure, une tenue, une honnêteté. On reconnaissait au premier coup d’œil, à la coupe de leur redingote, au port de leur tête, qu’ils n’enseignaient pas seulement à lire, à écrire, à compter. Ils enseignaient le respect, le courage, la dignité. »
Par cette évocation lyrique et grave, Péguy rend hommage à une génération de maîtres qui incarna l’École de la République dans ce qu’elle avait de plus noble : austérité, rigueur morale, transmission du savoir comme acte de foi laïque.
Dans le contexte de l’École normale d’Orléans, où l’enfant Charles fut élève, ces « hussards noirs » passaient devant lui, silhouette droite et manteau noir, en route vers leur mission. Il ne les a jamais oubliés.
Note :Ce texte de Charles Péguy est désormais dans le domaine public. L’extrait provient de L’Argent, publié en 1913 dans les Cahiers de la Quinzaine. Version intégrale disponible sur : https://fr.wikisource.org/wiki/L%E2%80%99Argent_(P%C3%A9guy)
Les visiteurs de ce site pourront consulter 4 fichiers dévolus à Charles Péguy et à quelques aspects de son œuvre :
Fichier 1. Les hussards noirs de Charles Péguy (1913)
Fichier 2. Péguy. L’Argent ou le parti pris du témoignage
Fichier 3. Résister avec Charles Péguy (Article de Jean de Saint-Chéron dans La Croix L’Hebdo n°287)
Fichier 4. Charles ,Péguy . Note de Samir Siad dans Théâtre Montansier.
Comment ne pas rappeler au final de ces préliminaires dévolus au « rempailleur de textes » qu’était Chales Péguy le propos singulier de Bernanos à son intention « C’était un homme qui, mort, reste à portée de voix qui répond à chaque fois qu’on l’appelle ».
