Regard de femme sur un mémorial orphelin

Les anciens élèves-maîtres de l’Ecole normale de garçons de  Quimper reconnaîtront aisément le regard  plein de douleur et de tendresse que porte à jamais, sur les stèles du mémorial des instituteurs et institutrices du Finistère Morts pour la France, la  sculpture de Armel Beaufils constituant  l’élément central de ce monument . 
 
       Parmi  ces gaillards normaliens, Jacques Denniélou  protagoniste de la promotion 1954-1958, ayant encore la force de conviction nécessaire pour faire parler  la pierre, lui a prêté un propos plein de sagesse que l’on pourra consulter en cliquant ici.  Qu’il soit remercié pour sa  contribution.
 
    Force est  de constater que  « Sans un regard de femme, que vaut la peine  des hommes ? » (G. Bachelard) , que   « La vérité  est un regard qui va droit à l’âme » (R. Rolland) et qu’en  définitive  » Si un regard est bien souvent une réponse, le silence en est une autre  » (S. Cottin) !

A propos de l’article 24 du projet de loi « sécurité globale » (novembre 2020)

Dans un article publié dans Mezetulle, le Blog-revue de Catherine Kintzler (www.mezetulle.fr) le 7 décembre 2020 , « François Braize éclaircit le débat pour le moins confus qui se noue au parlement autour de l’article 24 de la proposition de loi dite « sécurité globale ». Après une mise au point sur un prétendu « droit d’informer », il analyse et documente la pertinence de créer un nouveau délit de diffusion d’images malveillantes pour protéger les policiers. Mais cette pertinence ne signifie pas, pour autant, que le fameux article 24 soit justifié »…
 
      Dans ce contexte on rappellera quelques moments et textes fondateurs ayant trait à la  liberté d’expression dans notre pays . Ainsi   dès le  26 août 1789, les révolutionnaires faisaient valoir  dans la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen  : 
     


« Article 10. – Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la loi ».

« Article 11. – La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre à l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ».

 
      Ces principes subirent bien des aléas (et des censures)  avant d’être consolidés par la Loi de 1881 sur la liberté de la presse, loi  votée sous le gouvernement Jules Ferry alors que  Jules Grévy  présidait la 3è République . Cette Loi stipulait ,dans son article 29, que:  « Toute allégation ou imputation d’un fait qui porte atteinte à l’honneur ou à la considération de la personne ou du corps auquel le fait est imputé est une diffamation. La publication directe ou par voie de reproduction de cette allégation ou de cette imputation est punissable, même si elle est faite sous forme dubitative ou si elle vise une personne ou un corps non expressément nommés, mais dont l’identification est rendue possible par les termes des discours, cris, menaces, écrits ou imprimés, placards ou affiches incriminés. Toute expression outrageante, termes de mépris ou invective qui ne renferme l’imputation d’aucun fait est une injure. »
         Les deux premiers articles de ladite loi proclamaient aussi :
 
 – L’imprimerie et la librairie sont libres (article 1)
 
– Le secret des sources des journalistes est protégé dans l’exercice de leur mission d’information du public…(article 2)
  •  

         En novembre 2020, nos Assemblées parlementaires discutaient du contenu d’un nouveau projet de loi dite de « sécurité globale » : déposé par deux députés de la majorité gouvernementale et dont le vote solennel à l’Assemblée nationale  réunit  mardi 24 novembre une majorité (388 votes pour, 104 contre) il   prévoit notamment de modifier la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse de la manière suivante : « Est puni d’un an d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende le fait de diffuser, par quelque moyen que ce soit et quel qu’en soit le support, dans le but qu’il soit porté atteinte à son intégrité physique ou psychique, l’image du visage ou tout autre élément d’identification d’un fonctionnaire de la police nationale ou d’un militaire de la gendarmerie nationale lorsqu’il agit dans le cadre d’une opération de police ». 

 
 
        Les visiteurs intéressés  par  le contenu dudit article 24 , sa signification et son devenir entre Assemblée nationale et Sénat pourront  consulter l’article à ce sujet  documenté par  François Braize  à l’URL suivante  :
 
https://www.mezetulle.fr/quelques-reflexions-et-verites-sur-larticle-24-du-projet-de-loi-securite-globale/ »Quelques réflexions et vérités sur l’article 24 du projet de loi « sécurité globale » », par François Braize, Mezetulle, 7 décembre 2020
 
       Ils ne manqueront pas de se rappeler, en  toute humilité à ce propos, les préceptes  de Montesquieu indiquant que « les lois ne doivent pas être subtiles car elles sont faites pour des gens de médiocre entendement  » et soulignant avec humour  que « les lois inutiles affaiblissent les lois nécessaires  » .  Ils conservent leur pleine actualité. 
 
 
      Que Catherine Kintzler  trouve ici nos cordiaux remerciements  pour nous autoriser à reprendre ici cette contribution en ligne dans son Blog-revue.

De l’Ecole Normale aux Facultés des Sciences de l’Education ou de la vocation à la profession au Québec

Le meilleur des système de formation des maîtres, s’il en est un, ne vaut que par  les hommes et les femmes en charge de sa mise en oeuvre.  La force d’une telle évidence  exige cependant  qu’avec humilité l’on tire le meilleur parti  de toutes les expériences du passé d’où qu’elles viennent ,  étant entendu  que la solution miraculeuse n’existe pas . On peut tenter cependant de s’en approcher. C’est le sens à donner à l’article faisant l’objet de cette insertion ayant trait  à  l’évolution de la formation des maîtres au Québec pendant le 20è siècle .
      On rappellera  » que Georges Compayré, philosophe de l’éducation et professeur d’école normale à l’époque de Jules Ferry, concevait l’éducation à la fois comme un art et une science. L’éducation est un art en tant qu’il se développe aux mains des maîtres qui l’exercent, « qui le fécondent par leur initiative, par leur dévouement, qui y mettent chacun l’empreinte de leur esprit et de leur coeur» (cité dans Laprevote,1984). C’est en définitive sur les qualités exemplaires du maître que repose son bon enseignement: le goût de la connaissance, la sûreté d’un esprit juste et bien cultivé, une curiosité toujours en éveil et une faculté d’invention et de création. » (D’après D. Thibaut)
       L’éducation est aussi une science en tant qu’elle se préoccupe d’élaborer au sein d’une théorie des règles de pédagogie que le professeur induit des résultats de son expérience (pédagogie, didactique). Les indices de la vocation pour l’enseignement que les maîtres des écoles normales devaient d’abord déceler puis développer chez leurs élèves pour l’enseignement ont été oubliés en sciences de l’éducation. Les qualités liées à la vocation (esprit cultivé, curiosité intellectuelle) ne peuvent être développées que par l’étude des matières et des disciplines. Mais, pour bien enseigner une matière, il faut bien la posséder et pour cela «avoir baigné dans la science». (D’après D. Thibaut)
      Les visiteurs intéressés pourront consulter à ce propos  l’article de Dominique Thibaut, étudiante  du  Département de Sociologie à  l’Université Laval (Erudit, Les Presses de l’Université de Montréal , Canada ; 1996), en suivant le lien reproduit ci-dessous:  
          https://www.erudit.org/fr/livres/culture-francaise-damerique/culture-institution-savoir/000459co.pdf


      Alternativement ils auront accès au fichier PDF en cliquant ici.

L’Ecole Jules-Ferry (EJF): Ecole normale de l’Enseignement colonial (1902-1912)

D’une pérennité limitée cette école, sans murs, avait  vocation à former des « instituteurs coloniaux »  ou missionnaires laïques devant exercer dans les école publiques des colonies françaises et dans les écoles de  la Mission Laïque Française (MLF)à l’étranger. 
 
     Dans les colonies, l’enseignement officiel ne fut  organisé  qu’à une date relativement récente. Il varie avec les lieux et les circonstances. Il est donné tantôt par un personnel recruté sur place, tantôt par un personnel emprunté aux cadres de la métropole, et régi, soit par les décrets des 16 juin 1899 et 4 février 1906, soit par le décret du 30 octobre 1902, suivant qu’il s’agit, ou non, des instituteurs.
 
      L’initiateur de la MLF  fut Pierre Deschamps (1873-1958) , Directeur de l’Enseignement à Madagascar. Association créée en 1902, elle avait vocation à  « maintenir et étendre l’influence française dans nos colonies et à l’étranger », en propageant l’enseignement laïque. Ses Statuts, votés le 2 juin 1902, stipulaient notamment :
 
        -Pour la formation des instituteurs et des institutrices qui se destinent à
l’enseignement, soit dans les écoles publiques des colonies, soit dans les
établissements créés ou encouragés par la Mission laïque, il est fondé à Paris une
École normale, relevant directement de l’Association et appelée École Jules-Ferry.
 
        -L’enseignement qui y est donné est conçu de manière que les futurs instituteurs
coloniaux puissent être à la fois des éducateurs au courant des conditions de
pédagogie indigène, et des auxiliaires éclairés de l’oeuvre colonisatrice ; aussi son
programme comprend, en outre de l’étude des méthodes de l’enseignement
colonial, des cours d’agriculture coloniale, de médecine pratique, de langues
indigènes, de travaux techniques ; il est essentiellement tourné vers les applications
pratiques, en vue de l’action immédiate. 
 
     Le premier directeur e l’EJF fut Laurent Devina, lui-même Directeur de l’Ecole normale primaire d’Auteuil. Les cours,  donnés 7 jours sur 7 dans les locaux de la MLF aux instituteurs et institutrices sélectionnés, duraient 10 mois. La promotion 1904-1905  fut baptisée « Promotion Paul Bert ». 
 
     Cette politique de formation d’instituteurs « coloniaux » ne fut pas reconduite à la fin de la Grande Guerre.        
 
      Les visiteurs intéressés pourront consulter, à ce propos, l’article de  Gérard Vigner écrit en 2015 :  
 
      Gérard Vigner« L’École Jules-Ferry, école normale de l’enseignement colonial: une formation pour apprendre à enseigner dans les colonies(1902-1912) », in : 
       Documents pour l’Histoire du Français Langue Etrangère ou Seconde( SIHFLES), 55, 2015, 57-82,  accessible à l’URL suivante :    
 
 

                                  http://journals.openedition.org/dhfles/4273

      Que le  rédacteur en chef de  Documents SIHFLES soit remercié de nous avoir  autorisé  à orienter les visiteurs vers le lien donnant accès à l’article mentionné.

Les Ecoles normales primaires de la 3è République étaient-elles vraiment les casernes de Jules Ferry ?

Réalité ou provocation journalistique …rares sont les occurrences  de la sorte même   si l’assimilation des normaliens  aux Hussards noirs  de l’Escadron  créé  et intégré à l’armée de la  Révolution en 1793  ou plus précisément aux Hussards noirs de  la République chers à Charles Péguy (1913) -en raison de leur tenue -peut donner lieu à des résonances lointaines témoignant d’une discipline  quelque peu militaire  réglant leurs vies d’élèves-maîtres .   
      Quoi qu’il en soit c’est ainsi que se trouvent qualifiées leurs écoles du début du 20 siècle dans un article du journal La Marseillaise soigneusement conservé  et mis à notre disposition  par l’un de nos adhérents. Certes il appelle à la réflexion  et les visiteurs pourront le consulter en cliquant ici
 
       Faut-il rappeler en  cette circonstance que les adolescents concernés  étaient devenus élèves-maîtres , pensionnaires complets de leur école,  suite à un concours dont ils avaient été lauréats?  Ce concours nécessitait, en fait, « plusieurs années de préparation de la part du candidat qui s’orientait vers lui, très souvent, sur les conseils reçus de son instituteur alors qu’il était encore sur les bancs de l’école primaire. Il devenait  ensuite  l’objectif visé pendant plusieurs années de cours complémentaire ou, plus souvent, d’école primaire supérieure et nourrissait  les espérances de tout l’entourage familial. Celui-ci  se situait très fréquemment dans les couches les plus modestes de la population « .
 
        Dans un tel contexte  il n’est  pas surprenant, qu’ayant  pu bénéficier des bienfaits de « l’ascenseur social » lesdits élèves-maîtres étaient d’autant plus enclins à supporter un régime d’études et une discipline sans concession. Ils  étaient, au demeurant, soumis aux règles d’un  engagement décennal contraignant  qu’ils avaient signé avec l’autorisation de leur père 

Lorsque les accommodements raisonnables du Conseil d’état « jettent le voile » et le doute sur la volonté politique d’un élu de la République.

Ce vendredi 11 décembre 2020, deux jours après la célébration du 115è anniversaire de la loi de  Séparation de 1905, la plus haute juridiction administrative de notre pays a statué sur la question de savoir si le fait de « proposer des menus sans porc aux élèves des cantines municipales contrevient  à la laïcité » du service public.
 
       Les visiteurs intéressés tant  par la nature de la  réponse apportée qui fera désormais référence que par ses conséquences pourront consulter ,en cliquant ici , le compte-rendu de cette audience rapporté dans différents medias.
 
      Alternativement ils pourront y accéder en suivant le lien  : 
 
                         

                                        Article original publié sur BFMTV.com

Reconstruire la République laïque!

 Tel est l’intitulé du manifeste  qui fut publié le 4 novembre  2020 par  23 Associations dont on trouvera la liste ci-dessous.  On y affirmait  :
 
        -que  l’Ecole Laïque et Républicaine  est et demeure le creuset de la République,
 
        -qu’aucun accommodement  circonstanciel ne permet  de substituer l’interconvictionnalité à la laïcité,
 
        -qu’au lieu de prôner l’écriture de nouvelles lois aux titres fallacieux il importait d’enfin constitutionnaliser la loi du 9 décembre 1905,
 
         -qu’il était essentiel de former des maîtres pour en refaire les hussards noirs de la République laïque et non des  animateurs prêchant un « vivre ensemble » inconsistant,
 
          -que la laïcité  reste le principe émancipateur des  temps présents.
 
     Les visiteurs intéressés pourront consulter, en cliquant ici,  le manifeste en question . 
 
    Il fut  validé par 23 associations regroupées au sein d’ un Collectif Laïque National ( cf. le lien :contact@collectif-laique-national.org).

La déclaration internationale sur la laïcité au 21è siècle !

Signée en 2005 par  250 intellectuels de 30 pays différents,  lors du centenaire de la Loi de Séparation de 1905, elle fut rédigée pour la majeure partie par Roberto Blancarte (Mexique) ,Micheline Milot (Canada) et Jean Baubérot (France).  Quinze ans après, elle conserve  une pleine actualité et mérite d’être remise à l’ordre du jour de façon à la rendre universelle.
 
      Constituée d’un préambule  et de  4 titres couvrant 18  articles dévolus à la laïcité, elle en énonce les principes fondamentaux , se propose  comme référentiel des Etats de droit, définit  les débats  sociétaux qui en relèvent  et souligne  son intérêt pour relever  les défis du 21è siècle. 
 
     Au-delà  de la Séparation des Eglises et des Etats et de la neutralité de ceux-ci, la laïcité y apparaît comme institutrice  non seulement de libertés comme  la liberté de conscience mais aussi d’égalité entre tous le citoyens  quelles que soient leurs distinctions de foi et de convictions 
 
    Les visiteurs de ce site pourront consulter  le document 1 correspondant  au   texte élaboré en 2005. 
 
    Ce texte donna lieu à des remarques et commentaires  y compris de la part de certains de ses signataires . On pourra s’en rendre compte en   visualisant le document 2 présentant un article paru à ce propos dans le Journal Le Monde du 9 décembre 2005.
 
   Puisse cette déclaration contribuer  à éviter les » crispations et  phobies »(Jean Baubérot) qui entourent  le plus souvent la recherche  de solutions pertinentes aux défis actuels de nos sociétés.
 
 
                 Document 1. Déclaration universelle sur la laïcité au 21è siécle.
 
                 Document 2. Déclaration universelle sur la laïcité : quelques  commentaires.

9 décembre 2020 Célébrons le 115 è anniversaire de la Loi de Séparation des Eglises et de l’Etat et Exigeons sa mise en application sur tout le territoire de la République.

Dans le contexte  des évènement dramatiques  ayant récemment  ébranlé les fondements mêmes de  nos préceptes républicains et celui des menaces incessantes  relatives aux libertés fondamentales acquises au débit de la 3è République les visiteurs pourront consulter, en cliquant ici un article explicite sur les enjeux et défis du moment à cet égard.
 
      Intitulé   » La loi  de 1905 a 115 ans » et  rédigé par Pascal Langlois militant au CREAL (Comité de Réflexion et d’Action Laïque de Seine Maritime), il interpelle sur les dangers  d’une revision du texte de la Loi au prétexte d’avant-projets aux libellés aussi  énigmatiques que :  « loi sur les séparatismes » , « loi confortant les principes républicains » ou autres n’ayant pour vocation que de semer la confusion.
 
     Il s’agit, plus simplement, de réclamer, selon des cheminements démocratiques,  des moyens accrus pour faire appliquer la Loi de 1905 avec toute la rigueur nécessaire de façon à faire respecter ses dispositions sur la police des cultes (Titre V, Art. 25 à 36), l’incitation à la haine  et  toutes les discriminations.
 
     Que Pascal Langlois soit remercié pour sa contribution fondatrice et  pour nous avoir autorisé à la reproduire en vue de sa mise en ligne sur ce site.

Combattre avec des caricatures ; surtout ne pas renoncer !

 Dans son dernier article de la rubrique « Questions de confiance » dans Pour La  Science (2020,  518, 22 ), Virginie Tournay  nous fait part de sa réflexion, avec humour,  sur les implications diverses  des établissements publics d’enseignement et  de la hiérarchie académique dans le combat à mener auprès notamment des professeurs en charge de l’enseignement moral et civique  pour que la liberté d’expression puisse continuer de s’exprimer et ne fasse pas l’objet d’autocensure .
        Le visiteurs intéressés pourront consulter, en cliquant ici, l’article de cette auteure. Elle nous a autorisé à le reproduire et à le mettre en ligne sur ce site . Nous l’en remercions vivement.
        A propos des caricatures, il est rappelé  Sandrine   Maurotpasteur de l’église protestante de Roubaix, a lancé un appel  dès le 17 octobre 2020 à tous les croyants  quelle que soit leur confession et à tous les non-croyants, à partager leurs  caricatures :
 
« Amis musulmans, juifs, catholiques, orthodoxes, évangéliques, bouddhistes, agnostiques et athées, à vous de jouer. Je serai heureuse de découvrir vos caricatures ! »
  
      Il s’agit donc de ne pas céder à la peur et de poursuivre l’enseignement de la laïcité et de la liberté d’expression en France en apportant un soutien sans faille aux professeurs dans leurs établissements.
 
 LIEN  :       
                                 
Combattre avec des caricatures