Coupures de presse

Quand l’hebdomadaire finistérien Le Citoyen se déchaînait en 1929, dans sa tribune laïque, son carillon républicain et son anticléricalisme

Les visiteurs intéressés sont invités à consulter ici cinq documents susceptibles de les éclairer sur l’ambiance qui régnait à l’époque :

Quand les rubriques « TRIBUNE REPUBLICAINE » et « SONS de CLOCHE » font la une de l’hebdomadaire Le Citoyen de décembre 1929

Les visiteurs intéressés pourront consulter:

26 ans après le vote de la Loi de 1901 sur les Associations, le député Groussau tente de remettre en cause le contenu de l’article 6

Les visiteurs intéressés pourront consulter ici les commentaires publiés dans Le Citoyen du 23 juin 1927 :
La loi sur les associations remise en cause en1927

Dernières nouvelles des Ecoles Normales et des Instituteurs en juillet et août 1927

Les visiteurs pourront consulter ici :
1. Les listes des lauréats et  lauréates des concours d’entrée dans les écoles normales du Finistère de 1927 :
Listes d’admission aux concours d’entree dans les EN de 1927
2. Un article intitulé : Chez les Instituteurs . Leçon de Congrès :
Chez les instituteurs

L’Ecole et la Patrie : Pour les Instituteurs

Les abonnés et visiteurs du site pourront consulter en cliquant ici un « éloquent éloge des instituteurs » prononcé par  Raymond Poincaré (Président de la République de 1913 à 1920) rapporté dans le journal finistérien Le Citoyen du 3 janvier 1924.

Echos lointains de l’affaire du « Catéchisme rectifié »…

Dès 1933, l’évêque de Laval faisait traduire en justice des instituteurs mayennais ayant fait paraître dans leur publication syndicale un tract relatif au catéchisme rectifié… On ne sait s’ils furent condamnés.
Cependant en 1934, leur collègue finistérien René Daniel, soupçonné du même délit, fut condamné à verser 10 000F de dommages et intérêts à l’évêque de Quimper,  condamnation  infirmée par la Cour d’appel de Rennes.
Les visiteurs pourront consulter en cliquant ici l’article à ce propos, publié par Le Flambeau en mai 1933.

Emile Combes – Président du Conseil, artisan actif de la préparation de la Loi de  Séparation de 1905

Fidèle à ses principes fondateurs, l’Association célèbrera, très prochainement,  le 113è anniversaire de la Loi de Séparation DES églises et de l’Etat du  9 décembre 1905. Compte tenu de l’importance de l’évènement et des enjeux présents on rappellera que :

– Cette Loi fut l’aboutissement d’une politique anticléricale initiée dès 1898 lors de la victoire des partis de gauche aux élections législatives, politique renforcée suite à la victoire des Gauches en 1902 et la nomination de Emile Combes à la Présidence du Conseil (du 7 juin 1902 au 1er janvier 1905).

– Elle fut élaborée  grâce à l’activité collective d’une Commission  où se distinguèrent :

Ferdinand Buisson, plume de Jules Ferry, « inventeur »  de la laïcité, grand artisan de la Séparation et créateur des ENS de Saint Cloud et de Fontenay-aux-Roses.

– Aristide Briand, socialiste jaurésien, Prix Nobel de la Paix (1926), 11 fois Président du Conseil, 26 fois Ministre, rapporteur de la Loi devant les Assemblées.

Francis de Pressensé, ardent dreyfusard  il participa à la création de la Ligue des Droits de l’Homme. Il déposa en 1903 une proposition de loi qui fut à l’origine de la discussion parlementaire. Il ne participa pas directement à cette dernière.

– Jean Jaurès, leader du socialisme français, fondateur de la SFIO, créateur de l’Humanité, auteur de « Histoire Socialiste de la Révolution  Française ».

– La Loi fut votée le 3 juillet  1905 par les Députés, et le 6 décembre 1905 par les Sénateurs, Maurice Rouvier étant Président du Conseil depuis la démission d’Emile Combes. Elle fut promulguée le 9 décembre 1905.

Cette promulgation fut saluée en ces termes par Charles Péguy qui  fut un farouche détracteur de la Loi: « J’aurais comme tout le monde constaté que cette séparation s’était faite, au moins à la Chambre, à peu près honnêtement ; (…) qu’elle n’avait point été un exercice de persécution, de suppression de l’Eglise par l’Etat, un essai d’oppression, de domination anticatholique, prétendue anticléricale, mais qu’elle avait révélé un effort sincère de libération mutuelle. »

Les abonnés et visiteurs  plus particulièrement intéressés par l’implication d’Emile Combes dans l’aboutissement de cette Loi pourront prendre connaissance ICI de deux articles parus dans la presse finistérienne suite à la mort du « Petit Père » Combes en 1921.

Création et turpitudes de l’éphémère Ecole Normale congréganiste de Quimper (1872-1880)

Les abonnés et visiteurs du site, intéressés par l’histoire méconnue  de l’irruption de l’Ecole Normale dans le paysage éducatif quimpérois, pourront consulter cinq articles parus dans  la  presse finistérienne de l’époque, dévolus à cette question:

Carillon : la bonne  histoire de Pont-Aven de Albert BAYET(1880-1961)

Albert Bayet qui fut Président de la Ligue de l’Enseignement de 1949 à 1959, avait été le témoin attentif des luttes de pouvoir ayant cours dans nos communes entre le maire et le curé (sans compter l’instituteur) depuis l’adoption de la Loi de Séparation de 1905. Ceci le conduisit notamment à  publier un article révélateur dans l’hebdomadaire Le Citoyen paru le 19 décembre 1929. Les lecteurs intéressés pourront en prendre connaissance en cliquant ici.

Après la mort de Georges Clémenceau, une des plus grandes figures de la 3è République…

Dans Le Citoyen du 28 novembre 1929, Georges Le Bail rapporte quelques uns de ses souvenirs sur l’une des plus grandes figures de la 3è République. Selon Clémenceau (1841-1929) : « il faut agir, l’action est le principe, l’action est le moyen, l’action est le but » !. 
Vous pourrez consulter cet article en cliquant ici.

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